Aube

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A la montagne sacrée,

Pointe au jour se lever,

Le Soleil,

S'émerveille,

Semble-il,

De cette beauté gracile.


J'observe les roses,

Le temps d'écrire,

Le souffle coupé d'une prose,

Les jeunes pousses sont loin de flétrir.


C'est leur naissance, 

Elles sont en effervescence,

La rosée du matin,

Touche à sa fin.


Les oiseaux,

Jouissent dans l'eau,

C'est la saison du renouveau,

Il fait si beau.


D'un air de mélancolie,

Je repense à lui,

Les fleurs,

Ont l'air d'envier mon ardeur,

La rosée du matin,

S'en va au loin.


Quelques gouttes tombent sur l'écrin,

Que je porte avec soin,

Comme une preuve de mon chagrin.


Et peut-être qu'à l'aube d'un jour,

Je verrais la fin de cet amour,

Espérance,

Insouciance d'une enfance.


L'aube pointe au jour se coucher,

Quant à mes sentiments s'éterniser,

Néanmoins j'espère,

Voir une nouvelle air,

Se lever,

Et que je puisse enfin dire adieu à mon bien aimé. 


Ivresse nocturneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant