Réactions et Imagines Kpop

Imagine - Kihyun (Monsta X)

Commandé par : BaekInHo~

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Aujourd'hui, tu te réveillais après le cours de mathématiques, probablement soporifique, que tu as avais loupé.

-T/P, t'interpela ton professeur, j'aimerai te parler deux secondes.

Tu te rendis alors devant le bureau du prof. Une fois tous les élèves partis, il te demanda :

-As-tu des problèmes chez toi ?

Chez toi ? Il osait demander si tu avais des problèmes, chez toi ? Alors que tout se déroulait sous ses yeux ?

-Non tout va bien, te contentas-tu de répondre.
-Pourquoi dors-tu alors ? Tout allait très bien l'année dernière pourtant. J'espère que tu ne te relâche pas car sache que l'école est un lieu rempli de connaissances et non pas de lits. Si tu continues comme ça je vais devoir appeler tes parents T/P.
-Ok.

Un blanc s'en suivi après ta brève réponse. Jusqu'à cette année, tu avais le profil de l'élève modèle, mais sans que tu ne puisses rien contrôler, tout se dégrada. Ton monde s'effondrait.

-T/P, je ne sais pas si c'est une rébellion que tu me fais là mais c'est ridicule. Tes notes pâtissent de tes siestes pendant mes cours. Reprend toi car je sais que tu peux faire...

Et hop. Tu n'écoutais plus rien. Une question te préoccupait : tes bourreaux t'attendaient-ils ? Pas vraiment paniquée à cette idée mais plutôt embêtée, tu y songeais sérieusement, regardant le grin de riz coincé dans la barbe du monsieur qui parlait beaucoup trop.

-Je laisse passer aujourd'hui mais la prochaine fois, je prends rendez-vous avec tes parents.
-D'accord.

Il soupira devant ta réaction pas très... réactive ? Tu redressas ton sac sur ton dos avant de partir en traînant des pieds. Comment était-il possible que personne ne remarque ce changement soudain chez toi ? Ton état de presque dépression ? Ton mal-être ? La disparition de tes, sois disant amis ?

-Mais qui voilà ? T/P la dépressive !

Tu tentais de continuer ton chemin mais c'était impossible face aux trois idiots plantés en face de toi. Quelle chance de se retrouver dans l'étage où le moins de personnes passe après l'école. L'un d'eux attrapa ton col alors que tu avais essayé de les contourner.

-Tu vas où toi ? Viens par là.

Les deux autres imbéciles se mirent à rire après que l'autre t'ait faite tomber dans une classe vide. Celui-ci tendit sa main vers toi, quémandant de l'argent. Tu le regardais droit dans les yeux, sans bouger. Une gifle résonna dans la pièce. Tu ne pris pas la peine de poser ta main sur ta joue rougie, tu ne ressentais plus rien à dire vrai.

-T/P, dépêche toi j'ai pas toute la journée. Traîner avec toi va me rendre dépressif aussi.

Les trois couillons éclatèrent de rire comme si c'était la blague du siècle. Après cette bonne tranche de rigolade passée, un couillon proposa :

-On a qu'à chercher nous-mêmes alors.

-Ouais bonne idée !

Ils s'approchèrent dangereusement de toi, des sourires vicieux sur le visage.

-J'ai pas d'argent, lâchas-tu.
-On va vérifier et si tu mens...

La peur te prit au ventre. Cela faisait bien longtemps que tu n'en avais pas ressenti. D'émotion.
Allait-il simplement te frapper ou aller... Plus loin ?
Un des couillons tira sur ta veste tandis que tu te debattais sans réelle envie. Ton vêtement te fut finalement arraché dévoilant tes hématomes sur tes bras.

-Les gars on fait une œuvre d'art là !
-Waouh tout ça de bleus ! Tu dois souvent tomber dans les escaliers.
-Arrêtez elle va pleurer.
-Fais pas comme ta mère hein !

Et ils rigolaient encore.
En quoi avoir une mère dépressive et suicidaire te faisait mériter cela ? Ce traitement inhumain ? Perdre une mère est déjà horrible, alors, agrémenté de moqueries, de perte d'amis, de coups, te ne savais même plus pourquoi tu n'avais pas rejoins ta mère.

-Y a rien ici.
-On la frappe juste alors.

Un coup. Un autre. Puis une avalanche.
En position fœtale, tu te protégeais comme tu le pouvais.

-Qu'est-ce qu'il se passe ici ?! Cria une voix inconnue.
-T'es qui toi ? Demanda sauvagement un idiot.
-Qu'est-ce que- Mon dieu ! Mais vous êtes fous ! J'appelle la police bande de dégénénés ! Nan mais ça va pas ou quoi ?!
-Putain ! On se casse ! On se casse, vite !

Les trois couillons foncèrent sur l'invité surprise. Tandis que tu te levais, voulant savoir qui étais enfin intervenu.

-Dégage ducon !
-Restez là ! Bande de c- Mais- Aie !

Le pauvre homme s'était retrouvé poussé en même temps que la porte.

-Merde !

Un râle se fit entendre avant un gros bruit. Tu marchais jusqu'à cette cacophonie. Ton prof de sport, M.Kim, se trouvait là, le seul debout des 5 hommes présents, dont 3 gémissaient en se tortillant. La tête du sportif avait l'air renfrognée.

-Si je trouve celui qui m'a volé mes ramens... Gronda-t-il en partant.

Ton réel sauveur se leva avant de se tourner vers toi qui n'avais pas quitté ta position.

-Euh... Salut, moi c'est Kihyun. Je viens d'arriver ici. Tu es...
-Une dépressive.

Il te toisa avant de reprendre.

-Bah non.
-Si je t'assure.
-Tant que je serai là, je t'assures que non, annonça Kihyun avec assurance en souriant.

Une vague d'émotions te submergea subitement. De l'espoir, de la tristesse en passant par la colère. Tout ce que tu n'avais pas ressenti pendant une année avait refait surface à l'aide de ce... Bel homme, il fallait l'avouer.
Cependant tu pris peur à la simple pensée que ces mots pouvaient être vides. Mais une sirène retentit au loin, te poussant à abaisser tes barrières. Tout était fini ?

-Tu pleures ?! Tu... Tu veux un câlin ?

Depuis combien de temps n'avais-tu pas reçu un signe d'affectation ? Ni une, ni deux, tu te retrouvais dans les bras de ce héros pas très fort. Mais il l'était assez pour être intervenu dans la vie de :

-T/P. Je m'appelle T/P.

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Il est pas super long ? Les gars j'suis censé réviser pour mon oral de français mais bon, j'étais inspirée. Et j'ai la flemme surtout. Brefouille, voilà voilà j'espère que tu kiffes sa race.