Chapitre 4 :

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Alexis m'a laissé en bas de l'immeuble dans lequel j'habite, un immeuble assez moderne et pas très haut contrairement aux autres de New-York.
J'ai lancé mon sac sur le premier palier de l'escalier de secours extérieur sous l'œil étonné d'Alexis.

- Tu ne prends pas l'ascenseur ?

- Jamais !

Et j'ai commencé à escalader la gouttière pour rejoindre mon sac.

- T'es pas obligé de me regarder comme ça ! Lui ai-je lancé.

Il a rit.
J'ai continué de monter l'escalier de secours jusqu'au 11e étage.
Alexis s'éloigna.
Une fois arrivée, j'ai sortis les clés du cadenas de ma fenêtre et suis rentrée dans ma chambre.
J'y ai posé mes affaires et j'ai entendu des «chut !» venant du salon.
Nan, mon père n'avais pas osé quand même !
Et bien si. En entrant dans le salon, j'ai entendu une foule de «Joyeux anniversaire Ariane !!»
Ne croyez surtout pas que je déteste les anniversaires surprise. Au contraire, mais mon père est aussi discret qu'un vivant qui voudrait se cacher en Enfer. J'aime mes anniversaires parce qu'ils me permettent de voir toute ma famille :
- Mes parrains Piper et Jason
- Leur fille, Lucy, ma meilleure amie, que je vois tous les jours au lycée mais tant pris
- Grover le meilleur ami de mon père
- Frank et Hazel qui sont la plus part du temps au Canada ou je ne sais où
- Léo l'oncle le plus cool du monde et Calypso sa femme qui ne m'aime pas trop je pense.

J'ai embrasé le front de ma demi-sœur Lana, âgée de 2 ans.
Rachel, ma belle-mère, m'a tendu un cadeau.
J'aime bien Rachel, mais elle essaie de remplacer ma mère, une femme qu'elle ne pourra jamais Ô grand jamais remplacer.
J'ai pris le cadeau qu'elle me tendait. C'était une jolie petite boîte cadeau. Quand je l'ai ouverte, j'ai trouvé un bracelet fin en argent avec mon prénom gravé au centre.

- Waouh... ai-je laissé échappé. Merci à tous

Je l'ai passé à mon poignet.

- Et maintenant, le gâteau ! A crié Léo.

Piper lui a donné un coup de coude dans le ventre.

- Aïeuh ! S'est-il plaint.

- Léo, arrête de faire le gamin ! T'as passé l'âge de réclamer du gâteau, a-t-elle dit avant de rire doucement.

- Mais j'ai faim moi !

- C'est bon il arrive, est intervenue ma tante Hazel.

Elle tenait dans ses mains un gâteau magnifique. Je n'en avais jamais vu un aussi beau.

- Il est magnifique ! Me suis exclamé.

Je me suis assise autour de la table et elle l'a posé devant moi.

- Fais un vœu Ariane, et qu'il puisse de réalisée, m'a dit Piper.

Alors j'ai fermé les yeux, je me suis concentrée et j'ai souhaité :

Je voudrais enfin savoir comment ma mère est morte.

J'ai réouvert les yeux et j'ai soufflé les quinze bougies.
Je fus alors prise de migraine et j'ai eu l'impression que la Terre se secouée. J'ai fermé les yeux à cause de la douleur.

Quand je les ai réouvert, la douleur était partie, ainsi que ma famille et mon gâteau.
J'étais dans une forêt. Il y avait des grognements d'animaux, de grosse taille je pense.
Tout à coup, la douleur est revenue. Mais c'était une nouvelle douleur, cette fois-ci logée dans mon épaule.
Je me suis tournée en vitesse et l'a, j'ai vu une créature indescriptible. Mais je vais quand même essayer de vous la décrire : son corps était celui d'un lion et d'un homme à la fois. Ses yeux était jaune et elle avait une queue de scorpion qui lançait une de ses choses que je m'étais prise dans le bras.
D'instinct j'ai attrapé le gros bâton qui se trouvait à mes pieds et j'ai commencé à me battre avec sa queue. Ridicule. Mais la douleur s'accentuait.
Soudain, un jet de feu à tué la créature qui s'est réduite en cendre. J'ai tourné la tête vers mon ou ma sauteuse qui n'étais autre qu'un dragon.
J'ai cligné des yeux et me suis pincée, mais je ne rêvé pas. C'est alors que j'ai senti la douleur me prendre encore une fois, j'ai revu le dragon et je me suis évanouie.

Un souhait pourrait tout changerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant