Zelda Ocarina Of Time : Link et l'Esprit

5 Une rencontre inattendue

Le grand squelette brandit sa longue épée près à me donner le coup qui pourrait m'être fatal. Je me protégeai avec mes bras mais je savais que c'était fini pour moi. Soudain j'entendis le squelette mourir, avec quelques fracas d'ossements. Je regardai les os du squelette, je levai la tête et j'aperçu un garçon qui avait un grand sourire au lèvres. Il me tendit la main, je la pris et il commença :

- Est-ce que ça va ? me demanda t-il d'un air inquiet.
- Oui. Enfin je crois... dis-je d'une voix tremblante, pas encore remis de mes émotions.
- Ha ha ha ha ha ha ha !!! Ne t'inquiète pas tu es hors de danger. Je m'appelle Paco. Et toi c'est comment ?

Il alla chercher mon épée que le squelette avait fait voler.

- Je m'appelle Link.
- Link... Enchanté Link. Tiens. me dit-il en me tendant mon épée.
- Merci.
- Qu'est ce que tu faisais là ?
- Je... je faisais un feu de camp pour... euh... je faisais un feu de camp dis-je pas encore en confiance avec lui.
- Pour... ?
- Pour demain allez à Cocorico.
- Pourquoi tu veux aller à Cocorico ?

Oh mais il m'énerve à me poser des questions tout le temps.

- Pour après aller au Mont du péril.
- Au Mont du péril ? Mais il fait chaud là-bas ! Et...
- Et pourquoi je veux aller au Mont du péril c'est ça que tu vas me demander ? dis-je agacé par toutes ses questions.
- Oui, si c'est pas trop indiscret.
- Pour trouver la pierre ancestrale du feu.
- La pierre ancestrale du feu ?
- Oui, en fait...
- En fait...?
- Est-ce que je peux te faire confiance ?
- Oui. Et puis je t'ai sauvé la vie après tout. On pourrai devenir ami, non ?

Je ne savais pas quoi dire. Est-ce que je devrais devenir son ami ? Oh, et puis pourquoi pas.

- Oui je veux bien et merci pour toute à l'heure.
- De rien.
- Bon écoute-moi bien !
- D'accord.

Puis je lui racontais toute l'histoire, L'arbre Mojo, Zelda.

- Oh, d'accord. Moi aussi je vais à Cocorico. Si tu veux on peut y aller ensemble ?
- Oui, pourquoi pas.

Paco avait le même âge que moi. Il avait les cheveux chatains, les yeux verts et il était habillé avec un tee-shirt rouge avec un logo, un pantalon noir et des bottes. Puis on parla pendant toute la nuit. Au petit matin, on partit pour Cocorico. Donc on arriva enfin au village Cocorico. Il était assez grand et il y avait plein de personnes. On entra dans le village.

*******

Quand on entra, on vit un homme, les bras croisés en train de chuchoter des choses. Paco lui demanda :

- Qu'est ce qui ne va pas monsieur ?
- Je suis le chefs des ouvriers, engagé par Impa pour transformer le village en grande ville ! Mais les jeunes gens d'aujourd'hui n'ont aucune ambition... Mes ouvriers se baladent toute la sainte journée ! Alors le travail prend du retard et ça me rend dingue... Même mon propre fils ne travaille pas. Il fiche sa vie en l'air ! Inutiles et paresseux ! TOUS !

Voyant que l'homme allé s'énerver Paco me dit :

- Viens on le laisse tranquille. Il ne vaut mieux pas l'embêter plus longtemps.
- Oui tu as raison.
- Impa c'est pas la fille dont tu m'as raconter ?
- Oui, c'est la nourrice de Zelda.
- Ah, oui c'est vrai. Bon on continue d'explorer ce village ?
- Oui !

On tomba nez à nez avec une jeune femme qui pleurait :

- Vous avez un problème, madame ? lui demandai-je.
- Que dois-je faire ?! Mes cocottes sont perdues ! Aidez-moi, mes petits ! Déposez toutes les cocottes dans cet enclos ! dit-elle en montrant l'enclos qui se trouvait à côté d'elle. Je vous en supplie !
- D'accord, madame on va vous aidez, dit Paco avec enthousiasme !
- Oh, merci mes petits, vous êtes choux !

Puis Paco me dit :

- Bon tu viens on a des cocottes à ramener !
- Oui, j'arrive.

Puis il attrapa une cocotte qui était tout près de l'enclos et la jeta dedans et il dit :

- Et une cocotte dans l'enclos ! Une !

Je lui souris et on partit trouver les autres cocottes manquantes. On vit une cocotte mais avec Paco on était trop petit pour l'avoir donc Paco pris la cocotte qu'il avait placé et il sauta d'un toit pour arriver là où se trouvait la cocotte. Il me lança une des cocotte et me dit :

- Tiens, garde là on n'en aura peut-être besoin.
- Ok.

Il alla replacer la cocotte dans l'enclos puis il me dit en montrant du doigt une barrière où on voyait une autre cocotte :

- Regarde là-bas il y en a une ! Avec ta cocotte saute de l'escalier près du moulin et tu y arriveras.
- Oui.

Donc comme avait dit Paco, je me plaçai un peu plus loin que l'escalier et je sauta. J'arrivai donc sur la barrière. Paco me lança :

- Génial, passe moi la cocotte que tu tiens, je vais la mettre dans l'enclos.

Je lui passai ma cocotte puis je descendis les escaliers pour en attraper une à nouveau. Je lui lançai celle que je venais d'attraper et au moment où je voulai partir. Je vis une échelle, et comme j'étais curieux je la montai. J'entendai Paco me crier :

- Mais qu'est ce que tu fais ? Reviens !
- Attends, je vais voir si il n'y a rien par ici.
- Tu crois vraiment qu'une cocotte puisse se cacher ici ?

Je ne lui répondis pas et je continua ma route. Puis au coin de la maison, j'aperçu un couple en train de danser. Mais à côté il y avait une cocotte. Comment étais-elle arrivait là ? Je fis tirer de mes pensées par la voix de Paco :

- Link, où où. Reviens !

Je sortis de ma cachette la cocotte à la main. Je sautai et j'atteris dans l'enclos où je déposai la cocotte. Paco vient à moi en courant :

- Mais comment une cocotte est arrivé là ? dit-il tout essoufflé.
- Je ne sais pas, bon on continu ?
- Oh que oui. J'en ai vu une près de l'entrée du village.
- Ok, vas-y, je vais en chercher d'autres.

Il partit en courant récupérer la cocotte. De mon côté, j'essayais d'en trouver d'autres. Je montais un escalier puis un autre et qu'est ce que je vis ? Une cocotte ! Je la rapportai à son enclos où je trouvai Paco. Il me dit :

- Tu en as trouver une !
- Oui.

Puis je demandai à la dame :

- Combien reste t-il de cocottes ?
- Il vous en reste une.
- D'accord.

Paco me demanda :

- Mais où il peut y en avoir d'autres ?
- Je sais pas mais on va bien le savoir, si on cherche bien.
- Tu as raison.

On chercha, on chercha, mais aucune traces de cocottes. Soudain on entendit une cocotte. Mais on ne savait pas d'où ça venait. Je m'approchai d'une caisse et j'entendis la cocotte à l'intérieur. Je cassai cette caisse. Ce qui dévoila une cocotte. On l'a ramena et la dame, nous dit :

- Merci d'avoir retrouvé mes cocottes. Mon allergie aux plumes est vraiment pénible ! Voici un petit quelque chose pour vous remercier...

Et elle nous donna une potion rouge à chacun. Cette potion sert à retrouver de l'énergie quand on est blessé.

- Merci, madame ! disons en choeur Paco et moi.
- Non, c'est moi qui vous remercie.
- Au revoir, madame.
- Au revoir.

Puis on la quitta pour continuer notre exploration dans le village. On trouva une maison avec la porte entrouverte. On entra et on vit quelque chose vraiment horrible.