Pdv reader
Nous étions à l'entrée des bas-fonds, j'étais accompagnée d'erwin, de mike, ainsi que qutres autres soldats. Nous devons capturer un voleur et ses deux compagnons pour les inciter à rejoindre nos rangs qui souffrent d'un manque cruel. Je rejoins le groupe qui capturera le bras droit du chef du groupe et nous nous élançons alors, nous faisons passer pour des membres des brigades.Après quelques pirouettes que j'ai jugé d'inutiles, le garçon tombe au sol et se fait attrapé par un soldat qui le ligote puis lui ramène au côtès d'erwin, ce dernier en pleine discussion avec le bandit, du moins, leurs lames discutent. Dès qu'ils nous voient, ils arrêtent et mike immobilise le chef qui se fait interroger par erwin, en attendant, je suis assignée au groupe qui doit s'assurer que le retour se passera sans accroc.
Je survole les bas-fonds: les maisons mornes aux murs de briques recouvertes de poussières, l'infrastructure fragile qui cause de lègers haussements sous l'effet des pas des voleurs, les petits regroupements d'amis qui s'échangent alcool, drogue ou argents, des amis hein... L'un des soldats qui patrouillent avec moi, jourdin si je me rappele bien, me juge du regard avant de sourire narquoisement, prêt à saisir l'occasion pour me rabaisser.
Jourdin: alors? On ressent de la nostalgie pour les bas-fonds espèce de chat de goutière?
Moi: c'est vrai que ça me rappelle quelque chose mais certainement pas mes origines, si tu veux tout savoir, ca me rappelle les moments où je plantait mes lames dans le cou de mes victimes, tu veux essayer?Il déglutit péniblement et je tique avant de sauter sur le prochain toit. C'est vrai que je n'ai plus tué d'humains depuis un bon bout de temps et je m'en sors pas mal, vu qu'à part ce que les gens appelent une violence exécive, le fait d'avoir été un assassin ne me fait ni froid ni chaud. Je lance un regard à mon épaule et soupire en voyant le tatouage des tueurs d'état comme si je m'attendais à ce qu'il ait disparu, puis rejoins erwin en bas, alors qu'ils sont sur le point d'atteindre la dernière marche, je bandis devant tout ce petit monde tel un chat, et remarque enfin le visage du voleur.
Moi: yo, ackerman! Erwin, dis dis, je peux les avoir dans mon escouade?
Erwin: je ne sais pas [t/p], tu viens à peine de devenir chef d'escouade, je ne pense pas que le major acceptera.
Moi: bof.... Bon j'y vais!Je leur adresse un léger signe de main avant de m'apprêter à sauter quand quelqu'un m'arrête en m'attrapant pas la queue.
Moi: erwin espéce de sala**! Ça fait mal 'tin!
Erwin: comment tu as su que c'était moi?
Moi: t'es le seul assez suicidaire pour oser me toucher.
Erwin: bon, revenons en à nous moutons, où comptais-tu aller?
Moi: au QG bien sûr.
Erwin: et pourquoi ne pas nous attendre?
Moi: je n'ai aucune raison de le faire, en plus je suis sûr que tu m'obligeras à m'assoir à côté de jardin.
Jourdin: jourdin! C'est jourdin!
Moi: est-ce que j'ai l'air d'avoir quelque chose à en cirer?
Jourdin:...
Erwin: bon, cessez ces enfantillages! [t/p] tu peux partir avant nous dans ce cas.
Moi: de un je n'allais pas attendre ta permission et de deux ne t'avises plus jamais de me retenir si c'est pour me faire perdre mon temps.Puis je sautai pour disparaître derrière l'un des nombreux batîments de la capital, avant de traverser la porte au calme sous les regards choqués des brigades spéciales dont les membres sont interpellés par mon apparence.
Ellipse de quatres mois:
Bon, pour en revenir au présent, me voici dans le bureau d'erwin, major depuis deux mois environ, poings fermés et mâchoire serrée.Moi: non erwin! Je n'arrive toujours pas à comprendre ce qui te pousse à prendre une décision aussi absurde! Je suis du même niveau que levi alors pourquoi ce n'est pas moi qui va être promu au rang de caporal-chef?
Erwin: je te l'ai répéter plusieurs fois, levi a une chose qu'une tu n'as pas...
Moi: à part son enjin, je vois pas trop ce qu'il a et que je n'ai pas!
Erwin: la confiance [t/p].
Moi: je pense que y'a un soucis, tu sais bien que je ne manque pas de confiance en moi-même, c'est tes sourcils qui pourrissent ton sens d'analyse ou quoi?
Erwin: je ne parle pas de TA confiance, mais de celle de tes camarades. Même après six mois dans nos rangs, tu n'as aucun ami.
Moi: levi non plus!
Erwin: peut être, mais lui au moins à gagner leur confiance alors que toi, tu ne leur inspire rien d'autre que de la peur, ils te craignent tous, voilà la différence.
Moi: un bon chef se doit d'être craint!
Erwin: je ne pense que nous ayant le même synonyme de craindre on dirait. Ils ont peur que tu les tue [t/p], pas que tu les punisses.
Moi: c'est du grand n'importe quoi!Je sors en claquant la porte aussi fort que je peux et avance dans les couloirs tandis que les soldats s'écartent quand je passe, jusqu'à ce que l'un deux se plante devant moi me bloquant ainsi le passage.
Moi: oï levi, tu es la dernière personne que j'ai envie de voir alors conseil de survie, bouges ton c** de là!
Levi: n'oublies pas que je suis caporal-chef maintenant, alors hiérarchiquement, ton supérieur, tu me dois respect et obéissance. Je suis celui en situation de force.
Moi: depuis quand est-ce que le gibier se révolte? N'oublies pas que si je t'avais tuer ce jour, tu ne serais pas là maintenant, et je t'assures que c'est une des rares choses que je regrettes dans ma vie.
Levi: et bah quand je t'aurais cassé la gueule, tu regretteras aussi de m'avoir tenu tête.
Moi: n'oublies pas une chose levi, je suis le chasseur et tu es la proie, n'essaie pas d'inverser les rôles.
Levi: c'est ce qu'on verra.Voici le premier chapitre de ce levixreader même si sa sortie à prit de retard! Je m'en excuse vraiment et j'espère qu'il vous a plu! En attendant la suite, dîtes moi tout!
~caporal neko
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Kuro Neko (levixreader) [EN PAUSE]
FanfictionElle, c'est une tueuse d'état, connue pour être une machine à tuer. Lui, c'est un voleur des bas-fonds, connu pour être le chef d'un puissant groupe de trois pilleurs. Ils se rencontreront un jour, et alors qu'ils croyaient qu'ils ne se reverraient...