Chapitre 8~l'acusée et la victime

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Et je suis de retour! 'Fin après deux mois de pause, je commençais à me faire chier...Bon passons, j'espère que vous aller bien! Vous m'avez tellement manqués! Pour me faire pardonner de cette longue absence, je suis revenu avec de nouveaux levixreader:
~comme de la fumée
~la recette de l'amour
~l'autre moi
~Quand Nos Regard Se Sont Recroisés (Tome 2 de "le jour où nous nous sommes revus)
Ainsi que des travaux à part comme:
~you'll be saving mine (1D fanfiction)
~le chat et la princesse {miraculous fanfiction}
J'epsère que ça suffira à me faire pardonner ^^'
Pour toutes les nouveautés, j'ai créer un compte Instagram dévoué à ce compte, il porte le même nom et je compte y poster des infos concernant les sorties en avance en plus d'extraits des chapitres à venir!
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Bon passons, j'espère que vous aller bien! Vous m'avez tellement manqués! Pour me faire pardonner de cette longue absence, je suis revenu avec de nouveaux levixreader:~comme de la fumée~la recette de l'amour~l'autre moi~Quand Nos Regard Se Sont Re...

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Pour la fréquence de publication, je n'en aurais pas vraiment une, mais ce sera minimun une fois toutes les deux semaines et maximum une fois par semaine! =3= bonne lecture mes petits nekos!

Pdv Levi
Je serais la brune aussi fort que si ma vie en dépendait. Elle ne me rendit pas mon étreinte, je m'en foutait. Elle sourit faiblement, moi aussi. Et pour finir, elle me serre à son tour.

Je nichai ma tête dans le cou de ma bien aimée et m'enivrai de ce parfum. C'était comme un déclic pour moi, dès que je l'ai entendu parler ainsi d'elle même, comme si elle était un vulgaire déchet m'avait révolté et ouvet les yeux, j'ignorais comment, mais j'étais tombé amoureux de celle que tous prénoment Kuro Neko.

Je pris ma montre à gousset et inspecta l'heure: neuf heures trente. Les portes du QG seront fermés dans une demi-heure, il fallait par conséquent se presser. Je me relevai et aidai [t/p] à faire de même puis nous prîmes tout les deux le chemin du QG.

Depuis, c'était devenu une habitude: chaque jour, avant le crépuscule, on essayait de nous libérer pour se retrouver içi. Chacun racontait sa journée puis on s'installaient sur l'herbe et on se reposaient simplement, profitant du calme. Puis un jour, elle était venue en colère, encore une fois contre Jardin qui l'avait humilié devant tout le monde. Il était allé tellement loin cette fois que je comptais m'occuper personnellement de son cas, et une bonne fois pour toute, dès que nous serons rentrés au QG.

Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. [t/p] m'avait interdit de lui parler ou de le toucher, elle disait que c'était inutile et qu'elle en avait marre, et j'ai dû me faire violence pour ne pas lui régler son compte quand même.

Je n'arrivais toujours pas à croire qu'il lui a mit un coeur encore sanglant dans le plat en disant que c'était ce que les tueurs aimaient plus que tout au monde: le sang, la mort et les coeurs arrachés du torse de leurs victimes.

La brune, d'habitude froide et calme était au nord des larmes. Ça l'avait vraiment affecté, à tel point qu'elle a voulu rentrer plutôt et aller se réfugier dans sa chambre. La nuit, vers cinq heures du matin, quelqu'un poussa un cri strident. C'était la fille à qui [t/p] avait cassé un bras l'autre jour, Emiare. Tout le monde avait accouru à l'endroit d'où provenait le cri.

Une chambre.

Celle de Jourdin.

Ce dernier était dans un état critique, un couteau enfoncée dans le torse. L'assaillant avait raté le coeur de peu et le blessé a été tout de suite conduit au urgences. Tout le monde accusait une seule et même personne: Kuro Neko. Tout laissait à croire que c'était elle la coupable, que ce soit sa haine envers Jourdin où l'allusion qu'il a fait en lui parlant ce matin du coeur arraché du torse des victimes.

-"Hanji, selon l'analyse du corps, quand est-ce qu'il a été blessé?"demandai-je.

-"vers trois heures du matin."

-"alors c'est impossible que ce soit elle qui ait essayé de le tuer."

-"et pourquoi donc?! C'est fille, non, ce monstre est le seul assassin entre nous! C'est elle qui l'a blessé, j'en suis sûre! Elle m'a cassé le bras l'autre jour, rien ne l'aurait empêché de....de faite ce qu'elle a fait...Personne d'autre n'aurait pû le faire! Jourdin était tellement gentil avec tout le monde..."se lamenta l'autre emerdeuse.

-"je sais que c'est impossible car â cette heure, elle était avec moi."

C'était bien évidemment un mensonge, mais je savais que [t/p] ne pouvait être celle qui avait tenter de l'assassiner. Je l'ai cotayé assez longtemps pour savoir qu'elle n'en était point capable, mais ce n'était pas mes pensées qui allait servie de preuve logique de son innocence, alors en attendant d'en trouver une, le mensonge était la seule solution à laquelle je pouvais opter.

-"et que faisiez vous?"questionna Erwin, interloqué.

-"En tant qu'ancien chef d'escouade et membre actuel de la mienne, c'était la seule personne capable de m'aider à remplir les papiers de merde que tu me colles."

Tout le monde me regardait avec des yeux ronds. Personne ne s'attendait à entendre ce que je venais ce que je venais de dire, même moi je ne m'attendais à débaler tout ces mensonges avec un ton aussi neutre comme si je disais que les sourcils d'Erwin était aussi grand que le tas de crasse présent dans la chambre de l'autre folle aux titans. Cherchez pas, je suis nul en comparaison.

Mais mes arguments -si on peut les appeler ainsi- n'était pas suffisant pour calmer l'inquiétude des soldats, alors pas mesure de sécurité absurde, les brigades spéciales qui enquêtaient sur l'affaire avait décidé [t/p] devait rester enfermée dans une cellule dont toutes les issues seront condamnés.

Je me faisais un sang d'encre pour elle, mais personne n'avait le droit d'aller lui parler, même pas les hauts-gradés. Deux jours était passé et ne pouvant plus supporter plus longtemps cette situation, je m'en allais vers sa chambre en pleine nuit pour ne pas avoir affaire aux protestations d'Erwin.

En arrivant près de la porte, je n'entendis aucun son, mais en collant mon oreille à la porte, je pus distinguer des sanglots.

-"[t/p]?"

Aucune réponse.

-"[t/p]? Réponds moi."

Rien.

-"Oï gamine de merde, arrêtes de m'inquiéter comme ça et parle avant que je ne défonce cette foutue porte."

-"J-je...je suis désolée Levi...mais je...n'en peux plus..."annonca t-elle d'une vois entrecoupé par les sanglots.

Me dîtes qu'elle compte faire une connerie!

J'observais la porte renforcé qui remplaçait la porte ordinaire des cellules, et sans penser à mon acte, je hurlai hors moi.

-"Je t'interdis de faire quoi que ce soit! Tu m'entends? C'est un ordre!"

Ne recevant aucune réponse, j'envoyai mon poing dans la porte qui ne bougea pas d'un pouce, mais qui céda après une avalanche de coups.

Je croyais être venu à temps pour empêcher la catastrophe.

Mais ce n'était pas tout à fait le cas.

~caporal Neko

Kuro Neko (levixreader) [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant