L'APPART DU TROISIÈME Tome 2 (ancienne version)

CHAPITRE 18 Fabio

A peine elle ouvre la porte de sa belle maison, que j'envahis sa bouche de ma langue à nouveau sans même prêter attention au lieu, ni à la décoration dans lequel nous sommes. Ma seule préoccupation étant celle qui se trouve dans mes bras.

Je lui enlève son manteau et le dépose sur une boite en carton dont je ne me soucis guère, car mon regard est tout simplement ancré sur celui de ma divine partenaire.

Je fais glisser mes mains sous son chemisier ce qui lui procure un doux et délicieux frisson d'excitation. Elle m'ôte de mon blouson en cuir et déboutonne mon jean afin d'insérer au mieux ses mains sous mon caleçon et toucher la peau de mon appétissant derrière.

Elle a un énorme sourire dessiné sur son visage lorsque j'effleure sa généreuse poitrine du bout de mes doigts. Je lui dégrafe les premiers bouton de son haut puis lui fait enlever comme si il s'agissait d'un pull. Elle se débat un peu avec les manches mais finit par le jeter à terre. Je fais glisser une main sous son soutien-gorge, Luisa se contracte, puis elle retire ses mains de mon corps et d'un coup d'un seul me retire mon pull-over. Je dépose mes lèvres sur les siennes et dans un grognement de plaisir je sens ma belle princesse se laisser aller...

— Où est ta chambre ? je lui demande entre deux baisers fougueux.

Reprenant à peine son souffle, elle me désigne l'étage de la tête.

Je la bascule sur mon épaule et lui donne une petite tape sur ses fesses. Un air de déjà vu... Je me rappelle soudain la fameuse nuit où je lui ai ouvert mon cœur.

— Aïe ! crie t-elle son mécontentement. Je t'ai déjà dit que ce n'est pas comme ça qu'on porte une jolie demoiselle ?

Arrivant à l'étage je la repose à terre et lui réponds :

— Non ! En effet... Mais la dernière fois que j'ai fait ça j'en garde un merveilleux souvenir. Surtout de ce joli popotin ! je lui désigne en effleurant délicatement son derrière.

Luisa devient rouge tomate. Cette fameuse nuit n'a pas le même impacte sur elle. Moi j'en garde un merveilleux souvenir alors qu'elle non. Elle se sent gênée et c'est compréhensible. Qu'elle genre de femme se pose nue sur un plan de travail d'une cuisine ? Personne à part ma délicieuse Luisa !

— Et que s'est-il vraiment passé cette nuit là ? me demande t-elle toujours les yeux rivés vers le sol.

— Ne fait pas ton ignorante ? je la préviens.

— J'ai presque tous les éléments mais il me manque certaines parties, m'annonce t-elle.

— Entendu ! Je te les dévoilerais si tu es sage mais maintenant dis moi où se trouve ton lit ?

Le temps qu'elle m'indique sa chambre je me mets à imaginer ce que je vais bien pouvoir lui faire dans les minutes qui viennent. Et rien que d'y penser j'en ai déjà l'eau à la bouche.

Elle me montre de sa main gauche la porte au fond du couloir. Je l'attrape par la taille et la prends dans mes bras, mécaniquement elle entoure mon bassin de ses longues et sublimes jambes. Je me précipite vers sa chambre. Mon caleçon étant devenu trop étroit pour mon pénis, il faut qu'il sorte avant que j'explose.

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Vont il enfin coucher ensemble ? La suite au prochain épisode...

A tout de suite !