Maddie.

Faisons la fête. (2)

Mackenzie, Abigail et moi venions tout juste d'arriver à la fête de Jimmy O'Kelghan.

C'était un des camarades de Steve et de Tony.

II avait organisé cette fête depuis plusieurs semaines. Tout le monde était au courant et tout le monde voulait y aller.

Mais il fallait entrer par invitation.

Heureusement que nous étions les amies ou petites-copines de Steve et de Tony.

Donc, les filles et moi étions arrivées et nous venions tout juste de voir Steve au loin.

Abigail marcha d'une vitesse absurde et alla vers Steve.

Quand elle le vit, elle l'embrassa.

Nous, nous attendions que cette embrassade prenne fin pour pouvoir saluer les autres.

Je saluais mes amis d'une bise, simple et efficace.

Steve et Abby étaient tout le temps collés l'un à l'autre, c'était donc obligé qu'ils allaient la passer à deux.

Nous allions donc être trois, avec Tony.

Mais visiblement, Tony avait envie de faire la fête avec d'autres personnes.

Mackenzie et moi allâmes donc danser, ensemble.

C'était ma cavalière de danse.

Et elle dansait plutôt bien.

"- Tu penses que je devrais commencer à tourner la page dès maintenant, me cria-t-elle à l'oreille étant donné que le son était très élevé.
- Comment ça, dis-je à mon tour.
- Draguer d'autres personnes, faire connaissance.
- Ce n'est pas parce que tu n'est pas en couple que tu dois directement te précipiter sur le premier venu. Prends ton temps, ne va pas vers l'amour, c'est l'amour qui viendra à toi.
- Mmh, j'ai soif. Tu veux boire quelque chose ?
- Oui je veux bien un jus d'orange."

Mackenzie me laissa seule, sur la piste de danse et elle alla nous servir à boire.

Elle revint quelques instants plus tard.

Après avoir bu nos verres, nous étions prêtes pour continuer à danser toute la nuit.

Mackenzie et moi étions désormais fatiguées.

Nous avions trop dansés.

Et puis, Steve, Abby et Tony avaient disparus de la circulation.

Nous étions donc partis les chercher.

Il y avait tellement de monde maintenant.

Les gens avaient commencés à venir au fur et à mesure du temps mais là c'était limite invivable.

Trop de monde tue le monde !

J'avais enfin trouvé Tony.

Mackenzie et moi nous étions séparés pour faire nos recherches.