La guérisseuse vampire. [TERMINÉ]

Chapitre 13. [Corrigé]

Oui ! J'y allais comme ça. 

Après que Aaron m'ait fait sa réflexion, je m'étais précipitée vers la porte, et j'étais sortis de la chambre sans m'être changée. 

Mes poils s'hérissèrent et tous mes sens se mirent en alerte quand j'entendis des voix à l'autre bout de la maison. Oui je pouvais entendre à travers les murs et plus loin que la plupart des vampires, mais j'étais la seule. Mes parents en étaient incapable et les autres aussi.

- Je sent son aura, elle est très... imposante et puissante. Mais elle n'a que 18 ans ! Comment peut-elle...? entendis-je grâce à ma très bonne ouïe. 

- Les guérisseuses majesté... répondit une deuxième personne. 

- Vous pensez qu'elle est une guérisseuse?

- Oui, les guérisseuses se crées un peu près tous les millénaire, elle sont très rare, et si elle est sur le point de mourir, elle tombe dans le coma pour se soigner. J'avais pensé à cette possibilité quand elle est restée dans le coma.

Alors j'avais faillis mourir... Albert était mort sur le coup, parce qu'il n'étais pas un guérisseur ! 

J'avançai vite, et quand j'arrivai dans une grande salle noire, le roi et un autre homme se tenait côte à côte.

- Nom de dieu ! chuchota le roi en me regardant arriver. 

Le roi n'était pas très impressionnant. Les cheveux gris, une petite barbe, un corps grassouillet de noble aristocrate vampire, et son frère Lorenzo... et bien tout pareil. 

- Je vous ai entendu. maugréai-je en fixant le roi et son frère, Lorenzo. Si ce que vous dites est vrai, si je suis une guérisseuse, les gens qui se prendront ces balles mourront instantanément. Mon ami, Albert l'avait prise dans un poumon, il pouvait guérir très facilement, et quand il est mort, je ne savais pas pourquoi. Vous n'êtes pas en sécurité tant que nous n'auront pas découvert qui a crée ses balles.

- Quelles balles ? me demanda le roi, soudain très intéressé par ce que je racontais. 

- Des balles remplit d'argent liquide, qui va dans le sang, et qui vous fait mourir presque instantanément. Enfin... moi j'ai souffert le martyre, pendant trois jours,  ensuite je brûlais au soleil quand j'allais dehors. Si Aaron ne m'avait pas porter à l'intérieur, je serais morte carbonisée comme une vulgaires côte de porc ! ET POUR LA DERNIÈRE FOIS JE N'AI PAS ATTAQUER VOTRE NIÈCE OU VOTRE FILLE, ELLE M'A ÉNERVER ET LA BIEN MÉRITER ! PAS LA PEINE DE ME POURCHASSER A TRAVERS LE PAYS TOUT ENTIER !

A la fin de mon monologue, je senti mon énervement grandir, le souffle court. 

- Tu ne m'avait pas mentis Lorenzo ! Elle est bien une guérisseuse ! Arrêtez, ne vous énervez pas, votre aura est très agressive lorsque vous êtes en colère, nous pouvons discuter comme deux personnes civilisées enfin ! s'exclama le roi en parlant et à son frère, et à moi. 

Je me calmai un peu, pour éviter de faire une bêtise, mais pas totalement satisfaites.

- Tout d'abbord, je vous ai fait pourchassé comme cela au début car j'étais aveuglé par la colère de mon frère et de celle de ma nièce, celle-ci à d'ailleurs la fâcheuse tendance à extrapoler. Elle nous a dit que vous l'aviez tabasser et que vous lui aviez arracher les cheveux... Mais quand nous avons, après une enquête rondement menée, qu'elle avait exagéré les propos, eh bien nous voulions simplement nous excuser et vous inviter au palais. 

- Et c'est pour ça que vous avez tué mes parents ? sifflai-je, cette fois ci en sentant ma colère revenir à grands pas. 

La tête du roi se teinta d'incompréhension.

- Nous n'avons jamais tué vos parents.

Quoi ? Mais je les avait vu mort le lendemain du drame... 

- Parlez moi encore de ces balles, Mademoiselle Garett, me demanda le roi, en s'enfonçant dans son fauteuil, en voyant que je ne rajoutais rien. 

- Vous savez mon nom ? demandai-je, méfiante. 

- Bien sûr ! Cela fait plus de 3 ans qu'on parle de vous à la radio et dans les médias, comment pourrais-je ignorer cela ! 

- Ah... Vous savez, vous pouvez m'appelez Debby.

- Très bien Debby, alors ces balles ?