Chapitre 16. [Corrigé]

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J'étais la seule a être encore debout évidemment. Quelle bande de tapettes ! 

J'essayais de voir d'ou le son provenait quand un autre coup de feu retentit. Il venait des arbres.

- Aaron, appelle ton père et dit lui qu'on s'est fait attaquer. Et que je vais bientôt attraper le coupable. Enfin, les coupables, dis-je à Aaron, affalé sur le sol. 

Je m'élançai vers les arbre et je me jetai sur la provenance des coups de feu.

Un homme inconnu pointa son AK 47 sur moi.

- On veut la jouer comme ça ? dis-je.

- Ne vous approchez pas sinon je tire, dit le guignol qui ne me faisait absolument pas peur. 

Mais quand l'homme aux cheveux noir apparut à ses côtés, une expression amusée sur la face, le premier homme eu le temps d'envoyer une balle et elle m'effleura la jambe. 

- Malade lui ! criai-je.

Je fus déstabilisé par la présence de celui dont j'avais normalement confiance, et la fureur coula dans mes veines. Ce trou de balle avait juste profité de moi ! 

"Oh chérie si tu savais..." susurra une voix doucereuse dans ma tête. 

Je sursautai presque, et je me rendis compte que la voix venait de l'homme aux cheveux noir. Qu'est ce que c'était que ce bordel ? 

- Zach tu l'attrapes et on se barre ! cria le premier homme. 

Le susnommé Zach paru ennuyé, mais ne discuta pas. 

Ils sautèrent sur moi au même moment, et mirent tout leur poids sur moi afin de me faire basculer. J'en fit valdinguer un plus loin, le plus vieux, et le prénommé Zach était toujours sur moi à essayer de trouver une brèche dans ma défense. Je finis par le prendre par le côté de la tête, et je l'écrasai contre un arbre, perdant patience. 

Pendant ce temps, l'autre eu le temps de s'enfuir.

Je traînai Zach sur le sol, n'étant pas assez forte pour le porter, et quand Aaron me vit arrivée, il couru vers moi.

- J'ai cru que t'avais un problème, me dit-il finalement, nerveux. 

- Moi ? Un problème ? Voyons Aaron ,c'est mal me connaître.

- Ou est le deuxième humain ?

- Ce bâtard à réussit a s'enfuir.

- Pas grave, on peut interroger celui-là.


Un peu plus tard, une fois rentré au palais royal, j'avais emmener Zach dans une salle aux cachots. Je lui avait enlever sa chemise, si je devait lui faire mal pour qu'il avoue. J'avais bien attendu qu'il se réveille des bras de Morphée, pour qu'il soit encore plus choqué de l'endroit ou il se trouvait. 

Quand je le vis papillonner des yeux, je souris sadiquement. La vengeance pouvait commencer. Je me levai de la chaise ou j'étais assise depuis plusieurs heures, et m'approchait de celle de Zach, alors que celui-ci ouvrit totalement ses yeux doré. 

- Bonjour mon mignon, enfin réveillé ? 

Il ne dit rien. 

- Tu as décidé de jouer au plus con avec moi ? sifflai-je en m'agenouillant devant lui. 

- Je ne parlerai pas beauté, me dit-il simplement. 

- Pourquoi avez-vous créée ces balles? dis-je subitement, sans faire attention à son affirmation. 

Il ne dit toujours rien. 

Ça suffit. Je frappe du poing sur la table appuyer contre un mur de la pièce, et je revins vers lui, décidée à en finir. 

- Je répète ma question. Pourquoi avez-vous créez ces balles, dans quelle but ?

- Tu ne veux pas plutôt savoir pourquoi ton corps réagit aussi violemment en ma présence ? me demanda t-il d'une voix doucereuse, alors que ma bouche s'assécha. 

C'est vrai que depuis qu'il était avec moi, mon excitation était montée sans raison. Ma bouche était sèche, on m'avait demander plusieurs fois pourquoi mes yeux brillaient ainsi depuis que j'étais revenu de mission, et j'avais une horrible envie de me jeter sur lui. Son aura devint plus chaude, et je compris que comme moi, il était excité. Et la bosse apparente sur son pantalon en disait long. 

- Comment avez vous créez les balles. A partir de quoi ? continuai-je sans me laisser démonter. 

- On a réussis à égratigner un garde et à prendre une goutte de son sang, après on a fait plusieurs tests avec différentes matières et quand on a vu que le fer fondu détruisait les cellules de votre sang en seulement quelques minutes, on a essayer sur toi et Albert, contente ? me dit-il simplement, comme si la technique n'était pas un secret. 

- Comment avez vous réussis a sortir ? 

- On a creusé un trou en dessous du mur de béton. 

- j'aurais dû m'en douter.... Comment connais-tu Albert ? 

- Je te réserve cette histoire pour plus tard ma belle, souffla t-il, en me souriant lubriquement, je sais que tu as des questions à me poser toi aussi... 

Je restai dubitative.

- C'est tout, pour aujourd'hui, finis-je par dire en me dirigeant vers la sortie. 

- Attends juste un instant, pourquoi tu n'es pas morte ? me questionna t-il, alors qu'il avait reprit tout son sérieux. 

- Je suis une guérisseuse.

Il écarquilla les yeux, et sourit mystérieusement.  

- Je savais que tu avais quelque chose de spécial en toi, finit-il par lâcher, en faisant la moue. 

Il déglutit quand je me penchai sur lui, de sorte à ce qu'il ai une belle vue sur ma poitrine. 

- D'ailleurs, tu sens très bon, et ton sang est divin. 

Je souris et le fixai de mes yeux d'un rouge sang.

Je ne m'étais pas attarder sur son physique parce que j'étais occupée à lui faire avouer, mais je dois dire qu'il ne me laissait vraiment pas indifférente.

Il ouvrit faiblement la bouche, en comprenant ou je voulais en venir. 

Je m'approchai encore plus de lui, et je passai derrière lui en faisant glisser ma main le long de son torse musclé. Je me baissai et je mis ma tête dans son cou en effleurant sa peau fragile de mes canines.

- Tu sais, je peux faire absolument tout ce que je veux de toi. C'est moi qui t'ai capturé, alors tu es mon prisonnier...

Je chuchotai ces derniers mots à son oreille. Je léchai légèrement sa clavicule et je mordillai son épaule, en faisant attention à ne pas trouée sa peau.

- Arrêtes... murmure-t-il faiblement, alors que ses yeux doré brillèrent encore plus. 

- Pourquoi, tu n'aimes pas ?

Il ne formula pas de réponse, mais je la savais déjà à la bosse qui avait grossit un peu plus sous son jean.

- Je le savais... chuchotai-je sur sa gorge. 

Je revint devant lui en le regardant dans les yeux et j'écartai ses jambes. Je me positionna entre les deux et je m'accroupis.

Son pouls s'était accélérer je pouvais l'entendre. 

Il avait des pectoraux mais pas trop, des cheveux noir bouclés légèrement humide à cause de l'atmosphère pesante, une mâchoire carré, des dent blanche, une barbes de quelques jours, des lèvre charnues, un nez légèrement retroussées. 

Le portrait du parfait beau gosse. Mes tripes se serraient de désir devant ce mâle. Il me fait plus d'effet que n'importe quel mec que j'avais rencontrer au cours de ma vie. 

Mais qu'est ce qu'il était pour moi ? 

La guérisseuse vampire. [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant