Et elle tourne, l'horloge ancienne
Répandant son souvenir dans mes veines
La substance s'effrite entre mes doigts
Son fantôme est là, il griffe mes brasLa fumée n'est qu'un écran temporaire
La musique est un crucifix sommaire
Le couteau pénètre, sa lame maudite
Versant mon sang comme de l'eau béniteLa nuit me recouvre et cache les gouttes
Ternissant la pierre ; sans l'ombre d'un doute
L'apparition a fui et je suis seule
Le froid me rattrape et un vieux chat feuleEt elle tourne, l'horloge ancienne
Répandant son souvenir dans mes veines
La substance s'effrite entre mes doigts
Son fantôme est là, il griffe mes bras.
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le deuil de l'amour
RandomHistoires sans rien, sans fin, sans virgule ni point, échos décousus d'un amour interrompu.