Chapitre 5

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Lazare est sur place avec deux de ses soldats dont un qui s'appelle Nicolas et trois prisonniers dont le père de Ronan
Nicolas : Lazare , tu peux emmener les condamnés
Lazare commence à emmener les détenus à la charette pour les conduire aux galères , tout à coup , le dernier fils de Maurice apparaît , il a un regard différent que les autres , un regard de lueur , un regard d'espoir et un regard de révolution , il lance un regard noir à Lazare , il court vers son père
Ronan : Père , père
Maurice Mazurier : Ronan ne t'en mêles pas , sauve toi
Lazare lui donne une violente gifle et le force à reculer , Ronan se tourne vers les paysans pour les mener dans sa révolte
Lazare : Au nom du roi obtempérez
Ronan : Jamais
Les Paysans : Jamais
Ronan : Tire si c'est l'unique réponse de ton roi
Cette phrase n'a que pour effet de rendre Lazare fou de rage , il prend son fusil et vise Ronan , avant de tirer , les deux hommes se défient du regard
Lazare : Très bien , vous l'aurez voulu
Lazare s'apprête à tirer , Ronan au sol recule pour éviter d'être tuer , son père qui ne veut pas que son fils adoré risque sa vie pour lui se libère
Maurice Mazurier : Ronan ne fais pas ça
Lazare le voit et tire dans la poitrine , Maurice meurt sur le coup , Ronan se sent coupable de la mort de son père qui aimait tant , Lazare et ses soldats rentrent sans faire de prisonnier et les villageois rentrent chez eux , Solène , Sébastien , Édouard et Louis se dirigent vers Ronan
Solène furieuse contre son plus jeune frère : Ronan , mais qu'est ce que tu as fais ?
Ronan en larmes : Je n'ai jamais voulu que notre père meurt
Solène furieuse : Peut-être , mais notre père est bel et bien mort , et c'est à cause de toi
Ronan en larmes : Je suis vraiment désolé
Édouard Mazurier : Ronan ce n'est rien
Ronan en larmes : À cause de moi , nous n'avons plus de parents et de terre
Sébastien Mazurier : Ronan , au sujet de la mort de maman , tu n'es pour rien , tu avais seulement six ans , ainsi que la mort de notre père , je sais que tu tenais à le protégé et de même pour notre terre , c'est le Comte de Peyrolle qui a causé les pertes
Un vent souffle , Ronan déterminé sait que son père sera toujours présent pour ses enfants , il se met à prier sur le corps de son père
Ronan priant son père : Père , je vous fais le serment de venger votre mort , de faire de la France un nouveau monde , je ne sais pas comment je vais le nommé , mais je trouverais
Il fait une minute de silence , il enterre son père à côté de sa mère , et dit l'air très déterminé à ses frères et sœurs
Ronan : Partons à Paris , c'est notre seule chance , je connais un ami qui pourra peut-être nous hébergé
Louis Mazurier : Allons y
Ils partent à Paris.

Ronan et Olympe - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant