Chapitre 11

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Ronan et Camille Desmoulins se réveillent en même temps

Ronan en souriant : Bonjour Camille

Camille Desmoulins en souriant : Bonjour Ronan, tu veux un café?

Ronan en souriant : Je veux bien si te plaît

Après avoir bu leur café

Ronan en souriant : On y va

Ils arrivent chez Marat

Ronan en souriant : Bonjour Marat

Jean-Paul Marat en souriant : Bonjour Ronan

Camille Desmoulins en souriant : Bonjour Marat

Jean-Paul Marat en souriant : Bonjour Camille

Ronan en souriant : Maximilien ne va pas tarder

Jean-Paul Marat en souriant : Bien Ronan merci

Ronan en souriant : Et Danton également

Jean-Paul Marat en souriant : D'accord merci Ronan

Maximilien arrive chez Marat

Maximilien Robespierre : Bonjour Marat

Jean-Paul Marat en souriant : Bonjour Maximilien

Maximilien Robespierre en souriant : Bonjour Camille

Camille Desmoulins en souriant : Bonjour Maximilien

Maximilien Robespierre en souriant : Bonjour Ronan

Ronan en souriant : Bonjour Maximilien

Georges Jacques Danton arrive chez Marat

Georges Jacques Danton en souriant : Bonjour Maximilien

Maximilien Robespierre en souriant : Bonjour Danton

Georges Jacques Danton en souriant : Bonjour Camille

Camille Desmoulins en souriant : Bonjour Danton

Georges Jacques Danton en souriant : Bonjour Ronan

Ronan en souriant : Bonjour Danton

Georges Jacques Danton en baissant les yeux : Bonjour Marat

Jean-Paul Marat en rage : Bonjour Danton, tu peux venir dans mon bureau

Georges Jacques Danton : Oui Marat

Georges Jacques Danton va dans le bureau de Marat, Marat claque la porte

Ronan : Ça va gronder

Camille Desmoulins : Oui

Marat gronde Danton, et sortent du bureau

Jean-Paul Marat en souriant : Je peux vous voir dans mon bureau tout les trois

Ronan en souriant : D'accord c'est pour les journaux

Jean-Paul Marat en souriant : Oui

Ronan en souriant : Génial

Ronan, Camille Desmoulins et Maximilien Robespierre entrent dans le bureau

Jean-Paul Marat : Tu écrit le premier numéro de ton journal

Georges Jacques Danton : D'accord

Jean-Paul Marat entre dans son bureau

Jean-Paul Marat en souriant : Je suis très fier de vous trois, de vos premiers numéros, ils ont beaucoup de succès, je vous offre 4000 livres chacun

Ronan en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Ronan

Camille Desmoulins en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Camille

Maximilien Robespierre en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Maximilien, et vous donne une semaine de vacances

Ronan en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Ronan

Camille Desmoulins en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Camille

Maximilien Robespierre en souriant : Merci Marat

Jean-Paul Marat en souriant : De rien Maximilien

Ronan, Maximilien Robespierre et Camille Desmoulins sortent de l'atelier de Marat

Jean-Paul Marat : Danton toi tu n'auras pas de vacances pendant trois semaines

Georges Jacques Danton : D'accord

Jean-Paul Marat : Tu as écrit ton premier journal

Georges Jacques Danton : Euh non

Jean-Paul Marat furieux : Tu te fiches de moi ou quoi, alors d'une tu arrives après trois semaines d'absence et en plus tu n'écris pas ton numéro

Georges Jacques Danton en baissant les yeux : Je ne sais pas quoi écrire

Jean-Paul Marat furieux : Je ne veux rien savoir, tu me le fait pour demain

Georges Jacques Danton en baissant les yeux : Bien Marat

Ronan et Camille Desmoulins entrent chez eux

Ronan en souriant : Je vais dormir dehors

Camille Desmoulins : D'accord

Ronan en souriant : À demain

Camille Desmoulins en souriant : À demain Ronan, bonne nuit

Ronan en souriant : Bonne nuit Camille

Ronan sort de la maison de Camille, et s'endort sur un banc.

Ronan et Olympe - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant