Ronan et Olympe - Tome 1

Chapitre 26

Ronan écrit son huitième numéro de L'Ami Du Peuple

"L'Ami Du Peuple N°8

Prélude

Je tiens à remercier mon patron Jean-Paul Marat pour avoir publié mon cinquième numéro de L'Ami Du Peuple. Dans ce huitième numéro, je vais adresser une lettre à celle que j'aime

Chère Olympe,
tu es rayonnante, tu me fais chaviré par ta beauté, ton sourire, tu es mon rayon de soleil, mon cœur bat de cent mille à l'heure, tellement je suis fou amoureux de toi, je serais prêt à tout les sacrifices pour toi, rien ni personne ne nous sépara, tu es ma lumière dans l'ombre. Je n'ai pas de mot assez fort pour définir ce que je ressens pour toi ma luciole, je peux pas vivre sans toi. Mes sentiments que j'ai pour toi sont forts que je pourrais passer ma vie à tes côtés. Tu es comme une étoile, tu brilles de milles feux et jamais je ne cesserai de te regarder dans le ciel et je n'aurais pas de mal à te trouver parmi ces étoiles car tu es celle qui attire mes yeux. Tu es mon amour à moi, j'ai simplement envie de t'avoir dans mes bras à chaque instant pour te câliner tendrement, amoureusement. Ce que je ressens pour toi est vraiment unique et jamais je ne pourrai aimer quelqu'un d'autre comme je t'aime toi, j'ai tellement envie de prendre soin de toi, de m'occuper de toi car je suis sûr qu'avec Lazare, tu dois te sentir mal, je sais à quel point c'est un monstre. En parlant de celui que je surnomme "l'assassin" comme tu le sais, il a assassiné mes parents et aujourd'hui mon frère Édouard, je vais te dire ce qu'il s'est passé après ma deuxième arrestation, tu étais sûrement convaincu qu'il allait me libéré le soir de mon attestation, mais pas du tout, il ne m'a pas libéré, il a tenté de m'assassiner en me noyant dans le fleuve, la Seine, mais j'ai été sauvé de justesse par mes deux meilleurs amis Maximilien Robespierre et Camille Desmoulins. Fais très attention à ce monstre, crois moi. Je sais qu'il me tuer, je t'aime comme un fou. Ronan

Le 25 juillet 1788

Ronan Mazurier"

Maximilien Robespierre : J'aime beaucoup ton septième numéro

Ronan : Merci

Maximilien Robespierre : De rien, je peux lire ton huitième numéro

Ronan : Oui bien sûr

Maximilien Robespierre lis

Ronan : Alors, tu en penses quoi

Maximilien Robespierre : J'aime énormément, c'est très touchant

Ronan : Merci Maximilien

Maximilien Robespierre : De rien

Ronan : Demain après le mariage de Camille, on retourne bosser chez Marat

Maximilien Robespierre : Oui effectivement

Ronan : J'ai hâte

Maximilien Robespierre : Moi aussi, j'ai hâte

Soudain Ronan pense à ses parents, ils lui manquent, Maximilien s'approche de son jeune et meilleur ami Ronan

Maximilien Robespierre : Ronan, qu'est ce qu'il ne va pas

Ronan : Mes parents me manquent

Maximilien Robespierre : Oh Ronan, je sais que ce n'est pas facile pour toi

Ronan : Je me demande pourquoi cet homme a tué ma mère, je n'étais encore qu'un enfant

Maximilien Robespierre : Tu sais de nombreuses personnes se posent cette question, même si leur parents meurent différemment

Ronan : Comme qui par exemple?

Maximilien Robespierre : Regarde notre ami Danton, il a perdu son père très jeune, il va sûrement t'en parler

Ronan : D'accord

Maximilien Robespierre : Il y a aussi notre ami Camille, qui lui a perdu sa mère très jeune, il va sûrement t'en parler

Ronan : D'accord

Maximilien Robespierre : Et il y a également notre patron Marat qui lui a perdu ses deux parents très jeune, il va sûrement t'en parler

Ronan : D'accord et toi

Maximilien Robespierre : Bien sûr moi aussi je me pose très souvent cette question, tu vois, j'ai perdu ma mère quand j'avais six ans et mon père avait quitté le nid familiale quelques temps après

Ronan : D'accord

Quelqu'un toque à la porte

Maximilien Robespierre : Je vais aller ouvrir

Ronan : D'accord

Maximilien ouvre la porte

Maximilien Robespierre : Bonjour Saint-Just

Louis-Auguste De Saint-Just : Bonjour Maximilien

Maximilien Robespierre : Entre

Que pensez vous de la lettre de Ronan à Olympe?