Chapitre 36

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Marat va vers ses employés, d'abord vers Ronan
Jean-Paul Marat en souriant : Ronan
Ronan en souriant : Oui Marat
Jean-Paul Marat en souriant : J'ai publié tes deux numéros de L'Ami Du Peuple
Ronan en souriant : Super
Jean-Paul Marat en souriant : Tu pourras venir à la fin du travail?
Ronan en souriant : Oui maman
Jean-Paul Marat : Maximilien
Maximilien Robespierre en souriant : Oui Marat
Jean-Paul Marat en souriant : Nous allons débattre sur ton discours
Maximilien Robespierre : D'accord
Jean-Paul Marat : Nous t'écoutons
Robespierre se met debout, tenue impeccable, naturel et commence à prononcer son discours
Maximilien Robespierre : Français, Françaises,Les ennuis causés par le Comte de Peyrolle ne peuvent plus durer, il fait peur à tout le monde, surtout au Peuple Parisien. Il tue que des innocents, je sais qu'il veut détruire notre révolution, et garder la monarchie, mais on va mener cette révolution encore plus haut. Vive La Révolution! Vive la République! Vive la France!
Ils applaudissent Maximilien
Jean-Paul Marat : Alors qu'en pensez-vous?
Camille Desmoulins : Maximilien a raison, le Comte de Peyrolle est un danger pour nous
Jean-Paul Marat : Danton
Georges Jacques Danton : C'est pareil que Camille
Jean-Paul Marat : Et toi Ronan
Ronan : En ce qui me concerne, le Comte de Peyrolle à causé la mort de mes parents et plus récemment celle de mon frère Édouard, je sais qu'il sera prêt à tout pour me tuer
Jean-Paul Marat : Bien comme tu sais Maximilien, c'est seulement moi qui te donne l'autorisation d'annoncer ton discours à Versailles ou à le retravailler avec ton club
Maximilien Robespierre : Je sais Marat
Jean-Paul Marat : Tu peux y prononcer à Versailles
Maximilien Robespierre : Merci Marat
Ronan : Marat je peux te parler
Jean-Paul Marat : Oui bien sûr
Ils vont dans le bureau de Marat

Ronan et Olympe - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant