Chapitre 25

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Ronan écrit son septième numéro de L'Ami Du Peuple

"L'Ami Du Peuple N°7

Prélude

Aujourd'hui, j'ai perdu l'un de mes grands frères Édouard Mazurier tué par le Comte de Peyrolle

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens coupable de la mort de mon frère et de la mort de mon père aussi, je peux l'avouer, j'ai provoqué le Comte de Peyrolle, le jour de la mort de mon père, j'ai failli perdre la vie si mon père ne s'était pas détaché pour venir me secourir.
Et aujourd'hui quand j'ai vu l'horrible scène qui m'a rappelé l'assassinat de mes parents, je me suis proposé à me faire tuer à la place de mon frère, les soldats de l'assassin de mes parents, commencent à m'emmener à la Bastille où je devais mourir, j'avais entendu un coup de fusil, je me suis retourné et j'ai vu mon frère au sol, "l'assassin" m'autorise à aller vers lui, voici sa dernière parole avant de me laisser seul
Édouard Mazurier mourant : Chut, tu as voulu bien faire, en donnant ta vie contre la mienne, si jamais tu t'en sors, fais moi la promesse que tu mèneras ta révolution au sommet
Bien sûr, je lui ai promis, il meurt dans mes bras, à ma plus grande surprise, "l'assassin" m'épargne de la mort, il m'avertisse que la prochaine fois ça ne se passera pas comme ça, j'ai tout raconter à mes amis.  Au moment où j'écris ces quelques lignes, je pense à mes parents et mon frère qu'ils reposent en paix au paradis. "L'assassin" me payera au jugement dernier et descendra en enfer.

Je surnomme désormais le Comte de Peyrolle, "l'assassin".

Le 25 juillet 1788

Ronan Mazurier"

Ronan : J'ai fini un des deux numéros de L'Ami Du Peuple

Maximilien Robespierre : Je peux lire

Ronan : Oui, je vais commencer mon huitième numéro

Maximilien Robespierre : D'accord

Ronan et Olympe - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant