Ronan et Olympe - Tome 1

Chapitre 41

Ronan se réveille, Robespierre est à ses côtés
Maximilien Robespierre : Salut Ronan
Ronan : Salut Maximilien
Maximilien Robespierre : Comment tu vas?
Ronan : Je vais mieux
Camille, Danton et Marat et sa famille vont voir à tour de rôle Ronan
Solène Mazurier : On a une bonne nouvelle à t'annoncer
Ronan : C'est quoi?
Louis Mazurier : On va travailler ici
Ronan : Super
Sébastien Mazurier : Oui
Jean-Paul Marat : Ronan
Ronan : Oui Marat
Jean-Paul Marat : Tu dormiras ici cette nuit
Ronan : D'accord, Marat
Jean-Paul Marat : Oui
Ronan : Je peux avoir une feuille, de l'encre et une plume
Jean-Paul Marat en souriant : D'accord, tu veux écrire un L'Ami Du Peuple
Ronan en souriant : Oui Marat
Jean-Paul Marat en souriant : D'accord
Marat lui donne une feuille, de l'encre et une plume
Jean-Paul Marat : J'ai publié ton neuvième et dixième numéro de L'Ami Du Peuple
Ronan : D'accord merci Marat
Jean-Paul Marat en souriant : De rien Ronan
Ronan écrit le onzième numéro de L'Ami Du Peuple
"L'Ami Du Peuple N°11

Prélude

Je tiens à remercier mon patron Jean-Paul Marat d'avoir publié mon neuvième et dixième numéro de L'Ami Du Peuple. Dans ce onzième numéro qui se comporte en deux paragraphes et demi, je vais parler dans la premier paragraphe de ce qu'il s'est passé aujourd'hui, dans le deuxième paragraphe de ma réconciliation avec ma sœur Solène et dans le demi-paragraphe, je vais parler de mes frères et sœurs qui travaillent avec moi chez Marat.

Aujourd'hui, je me suis fais tirer dessus par "l'assassin" car je ne voulais pas que ma soeur se fasse tuer comme mon frère Édouard, "l'assassin" et moi avons fais un marché, enfin surtout moi, ce marché s'était que "l'assassin" prenne ma vie et laisse le reste ma famille en vie. Et j'aurais bien failli mourir, si mon patron Marat ne m'avais pas enlevé la balle, je remercie Maximilien, Camille, Danton et ma soeur de m'avoir maintenu en vie.

Hier, ma soeur est venu chez Marat pour me présenter ses plus sincères excuses, que j'ai accepté volontiers.

Solène, Louis et Sébastien vont désormais travailler chez Marat, je suis très heureux qu'ils travaillent avec moi, c'est très sincère.

Le 27 juillet 1788

Ronan Mazurier"
Solène Mazurier : Tu veux que j'y donne à Marat
Ronan : Oui merci
Solène Mazurier : De rien
Solène donne le onzième numéro de son frère à Marat qui le publie.