Chapitre 9

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Camille Desmoulins toque à la porte du bureau de Marat

Jean-Paul Marat : Entrez 

Camille Desmoulins entre dans le bureau

Camille Desmoulins : C'est pour te donner le premier numéro de mon journal

Jean-Paul Marat : Sublime, dis moi Danton est toujours absent 

Camille Desmoulins : Il est toujours absent Marat

Jean-Paul Marat : C'est pas possible ça fait trois semaines qu'il est absent 

Camille Desmoulins : J'espère qu'il aura une bonne excuse 

Jean-Paul Marat : Je l'espère aussi

De l'autre côté, après avoir donner quelques conseils à Ronan pour débuter son journal, Maximilien De Robespierre commence le premier numéro de son journal qu'il baptisé La Sentinelle

''La Sentinelle N°1

Prélude 

Je m'appelle Maximilien Robespierre, j'ai 30 ans, j'habite à Arras avec mes soeurs et mon frère, je suis célibataire et je suis père adoptif d'une petit fille de huit ans, j'ai trois amis dont un que je me suis fait aujourd'hui qui se nomme Ronan que j'apprécie énormément et un patron que j'apprécie beaucoup, je travaille dans un atelier je suis aussi avocat et journaliste. Je suis né le 6 mai 1758, j'ai perdu ma mère lorsque j'avais six ans et mon père a quitté le nid familial quelques temps après, j'ai étudié douze ans au Collège Louis-Le-Grand, j'ai été dans la même classe que mon ami Camille Desmoulins. Dans ce journal, je publie que mes discours et pour des jours exceptionnel, décès et fêtes célèbres.

Discours du 13 juillet 1788 au Club des Jacobins

Français, françaises, nous devons changer le monde et pour cela nous devons unir nos forces, nous devons plus avoir de roi, plus de privilèges. Nous devons avoir des droits et des devoirs pour survenir à nos besoins. Depuis 1774 où le roi a pris place au trône tout va mal, nous devons payer les impôts mais la Noblesse et le Clergé doivent aussi payer les impôts mais ces messieurs sont protégés par Sa Majesté pendant que son dangereux officier rode sur Paris cherchant peut-être des personnes à emprisonné à la Bastille cette immense prison symbole du roi ou pire à tuer, le roi n'aurai jamais du lui donner carte blanche. Nous devons nous méfier de lui.

Le 16 juillet 1788

Maximilien De Robespierre"

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Il va vers le bureau de Marat, Maximilien Robespierre toque à la porte du bureau
Jean-Paul Marat : Entrez
Maximilien Robespierre entre dans le bureau
Maximilien Robespierre : C'est pour te donner le premier numéro de mon journal
Jean-Paul Marat : Super Maximilien
Ronan toque à la porte
Jean-Paul Marat : Entre Ronan
Ronan entre
Ronan en souriant : Marat, je pense que j'ai le titre pour mon journal
Jean-Paul Marat en souriant : Dis moi
Ronan en souriant : L'Ami Du Peuple
Jean-Paul Marat en souriant : Je l'avais déjà pris pour mon journal
Ronan en souriant : Je suis désolé, je ne le savais pas
Jean-Paul Marat en souriant : Mais tu peux le prendre, je vais trouver un autre
Ronan en souriant : Merci Marat
Jean-Paul Marat en souriant : De rien Ronan
Ronan en souriant : Marat, si dans le prélude, je parle de moi c'est grave?
Jean-Paul Marat en souriant : Non c'est plutôt intéressant de parler de toi, après si c'est long ce n'est pas grave, je suppose que tu as beaucoup de choses à nous raconter
Ronan en souriant : D'accord merci Marat
Jean-Paul Marat en souriant : De rien voyons Ronan c'est normal
Ronan baptise son journal L'Ami Du Peuple et commence le premier numéro de son journal

Ronan et Olympe - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant