Ronan et Olympe - Tome 1

Chapitre 10

Georges Jacques Danton et Solène se sont rencontrés il y a deux jours, à genoux Danton lui demande

Georges Jacques Danton : Veux tu m'épouser?

Solène Mazurier en souriant : Oui avec plaisir

Danton ravie met la bague à Solène

Georges Jacques Danton en souriant : Je vais te présenter à mes amis

Solène Mazurier en souriant : Avec plaisir

Georges Jacques Danton en souriant : Super allons y

Solène Mazurier en souriant : Oui

Chez Camille Desmoulins qui a invité Maximilien Robespierre chez lui pour commencer leur deuxième numéro de leur journal ainsi que Ronan

Maximilien Robespierre : Ronan

Ronan en souriant : Oui Maximilien

Maximilien Robespierre en souriant : Peux tu aller chez Marat et lui demander si on peut lui emprunter des feuilles

Ronan en souriant : Combien de feuilles?

Maximilien Robespierre en souriant : Une centaine

Ronan en souriant : D'accord

Ronan va à l'atelier de Marat, il toque à la porte, Marat ouvre

Jean-Paul Marat en souriant : Bonjour Ronan, que veux tu?

Ronan en souriant : Bonjour Marat, est ce que je peux t'emprunter une centaine de feuilles?

Jean-Paul Marat en souriant : Oui pour quoi faire Ronan?

Ronan en souriant : On va s'avancer sur nos journaux

Jean-Paul Marat en souriant : Très bien sage décision

Ronan en souriant : À demain Marat

Jean-Paul Marat en souriant : À demain Ronan

Ronan entre chez Desmoulins avec les cent feuilles qu'il réparti en trois tas, 33 feuilles pour Camille Desmoulins, 33 feuilles pour Maximilien Robespierre et 33 feuilles pour Ronan Mazurier

Ronan en souriant : Qui commence?

Maximilien Robespierre en souriant : Moi

Ronan en souriant : D'accord Maximilien

Camille Desmoulins en souriant : D'accord Maximilien

Maximilien De Robespierre commence le deuxième numéro de son journal La Sentinelle

"La Sentinelle N°2

Prélude

Le premier numéro est publié par mon patron, je le remercie. Pour ce deuxième numéro, je vais parler des 12 ans d'amitié que j'entretien avec Camille Desmoulins, depuis la première année au Collège Louis-Le-Grand.

Camille et moi, on s'est rencontré il y a 12 ans au Collège Louis-Le-Grand, on était dans la même classe, il est vraiment généreux, adorable, rempli d'une gentillesse extrême, toujours prêt à aider ses amis, il est avocat, mais quand il parle pour défendre un accusé, malheureusement, il bégaie énormément, donc il jamais pris. Je le remplace tout le temps, dans les tribunes, j'entends souvent les juges dire du mal de mon ami, et ça me fais beaucoup de mal, je suis près à défendre mon ami pour tout. Au delàs d'être quelqu'un d'une gentillesse extrême, il est très sensible par rapport aux avis de juges et des tribunaux. Mais il a trouvé autre chose, grâce à notre patron commun Jean-Paul Marat, il est journaliste, je vois que Camille est heureux dans ce nouveau travail.