Est-il possible d'avoir envie d'étrangler cette individu à chaque fois que je le vois mais de le désirer plus que tout...?
Chaque secondes sans sa présence autour de moi est une put*in de torture, comme si on arrachait nos membres un à un.
Je suis v...
« Une fois arrivé, je monte dans ma chambre, saute sur mon lit et m'endors. »
Je me réveille, j'ai vraiment l'impression de n'avoir dormi que 2h. Cette journée avec Max et Esteban m'a achevé. J'ai enfin pu être tranquille au moins. Je me lève, passe devant la chambre d'Esteban. Oooh tiens j'vais aller le réveiller. J'ouvre la porte et prend mon élan avant de sauter sur lui. Il pousse un grognement grave signe que je dois le laisser tranquille mais manque de chance j'suis pas ce genre de personne. Je rigole et le secoue pour l'embêter.
"Tu veux vraiment jouer à ça Allison ?" me dit Esteban.
Je fais moue de réfléchir et après fausse réflexion.
"Huuum oui j'suis sûre."
Il sourit puis se jète sur moi comme si j'étais sa proie. Il se met à califourchon puis commence à me chatouiller. Faut que je tienne. Faut que je tienne ! Aah nan point sensible le ventre. Maudit frère soit t il. Je rigole à ne plus pouvoir respirer, je me débats pour pouvoir lui échapper mais rien. Rien. Je gigote dans tout les sens jusqu'à me retrouver par terre.
"AAAAH AH AHHH T'ES TROP NULE TOI ! T'ARRIVES À TOMBER PAR TERRE !" se moque mon demi frère.
"Ouais mais j'en ai pas finit avec toi, saches le."
Je quitte la pièce souriante, j'adore commencer les journées comme ça. Je me rends à la cuisine, fais la bise à Marine et prépare mon déjeuner. Je parle de tout et de rien avec elle et je remonte me préparer. Je pars dans ma salle de bain, prends au passage mon pull fila, mon jean troué avec mon collant à résille puis les converses rouges. J'entre dans la salle de bain et constate les dégâts qu'à commit Esteban hier soir. Je partage de temps en temps la salle de bain avec Esteban. De temps à autre il vient dormir avec moi ou inversement, du coup ses affaires sont dans ma salle de bain et il a simplement la flemme de les déplacer.
"ESTEBAN TON SLIP S'IL TE PLAIT ! T'ES CHIANT À LAISSER TRAÎNER TES CALBUTES !" criais je dans la maison.
"OOOH CA VA HEIN !"
Je soupire, pousse avec mon pied son caleçon Calvin Klein. Je m'habille, me maquille, ondule mes cheveux puis me les coiffe d'une queue de cheval basse.
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J'enfonce mon bonnet sur ma tête. Et oui nous sommes en automne, ma saison préférée. Le paysage d'automne ne fait toujours autant rêver chaque fois qu'il est de retour. Depuis toute petite j'aime l'automne et je suis toujours fasciner à ces variantes de couleurs de feuilles dans les arbres qui s'apprêtent à mourir et à virevolter dans les airs jusqu'à atteindre le sol. J'ai tant de souvenir à cette saison. Surtout avec mon frère Théo et ma mère à cheval... J'enfonce mes écouteurs dans mes oreilles puis mets ma musique à fond. Je dépose mon skate à terre puis monte dessus. De la où j'habite, j'en ai pour 10/20 minutes de trajet en skate. J'prends des raccourcis que Marion m'avait montré si j'avais envie d'aller au lycée à pied. Avec la voiture c'est kiffe kiffe car avec les sens interdit, les détournements, les ronds points j'en reviens au même temps.
