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Je me dirigea vers eux et je me fis retenir par Nina. Je la regarda impuissant de la situation. Elle était décontenancé de la situation. Elle cherchait mon regard mais je ne pouvais le lui rendre. Je serais le poing. A fille que j'aimais rigolait avec le guitariste et je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher. J'avais laissé filer la perle rare en partant en Italie.
Nina : Mattéo ça n'en vaut pas la peine.
Je comprenait ce qu'elle disait. Luna n'était qu'un pari. Je lui avait dit au téléphone. Pourquoi j'avais aussi mal au cœur. Pourquoi je ressentais le besoin d'avoir ma livreuse près de moi tout le temps. Je regarda Nina, j'avais les larmes aux yeux mais je devais montrer que je n'étais pas atteint même si j'avais l'impression d'être martyriser à chaque fois que je me retournais vers elle. Je lâcha la main de Nina, pris la direction des casiers, regarda une dernière fois en direction de Luna. Nos regards se sont croisés. Elle avais l'air surprise que je sois là. Son regard si beau se transforma en haine. Je n'avais même pas la force de rivaliser avec elle. Je me rendis au casiers, m'assois sur le banc. Je mis mes mains au dessus de ma tête et réfléchis à pourquoi on en était là. Je ne me regardait pas que je sentit les larmes me monter. J'entendis des pas venir au casiers. La personne s'arrêta devant moi et se mit à ma hauteur.
??? : Mattéo.
Moi : La livreuse c'est toi ?
??? : J'aimerais bien mais ce n'est que moi, ton meilleur ami gaston.
Moi : Qu'est ce que tu fais là.
Je lui avais peut être parlé trop sèchement mais il m'avait fais de la peine à ne pas me croire. J'aimais Gaston depuis l'enfance on s'entendais à merveille et on s'étais juré de toujours se croire peut importait les circonstances. Il avait fallu de ce petit incident pour qu'il n'est plus confiance en moi. Je releva la tête et le vis malheureux de la situation. J'aimais pas qu'il soit triste.
Moi : Qu'est ce qu'il t'arrive, tu n'as pas l'air bien ?
Gaston : j'aime pas te voir triste.
Moi : A qui la faute ? Tu ne m'as pas cru. Cela me faisait mal que mon meilleur ami me tourne le dos.
Gaston: Mattéo.
Je ne lui laissa pas le temps de répliquer que je me jeta dans ses bras. J'avais besoin de lui parler mais avant tout qu'il soit là pour moi. Je pleurais à chaudes larmes dans les bras de mon meilleur ami. Lui qui avait pas l'habitude de me voir pleurer et d'autant mois pour une fille. Voir la livreuse avec le guitariste m'avais fait plus mal que de perdre Gaston.
Moi : Je suis désolé Gaston.
Gaston : Non, c'est à moi de m'excuser. Je ne t'ai pas cru et j'aurais du. Je comprends tout. Nina m'a envoyé un message expliquant tout. C'est vrai que j'ai trouvé ça gros mais après tout je dois te soutenir et accepter tes choix.
Moi : Tu as une petite amie en or Gaston.
Gaston : J'en ai bien conscience.
Moi : Je ne sais pas quoi faire pour récupérer Luna.
Gaston : Attends tu compte la récupérer ?
Moi : Oui je ne peut pas laisser comme ça la situation. Je dois au mois lui parler.
Gaston : Je ne suis même pas sur qu'elle te laisse lui parler.
On était toujours dans les bras l'un de l'autre lorsque soudain des patins tombèrent au sol. On se décrocha et on regarda la personne qui était arrivé. Non Luna, que faisait elle la ? Avait elle entendue ma conversation ? la livreuse eu un air qu'elle avait vu un fantôme et qu'elle voulait lui échapper.
