Peter et Malia rebrousserent chemin et retrouvèrent la voiture. Peter espérait pouvoir repartir avec.
Hélas, celle ci faisait déjà l'objet de la curiosité du shérif, sa voiture était garée devant et un homme en uniforme équipé d'une lampe torche tentait de voir l'intérieur du véhicule.
Malia, tous crocs dehors fit mine de se jeter sur lui, Peter l'arrêta.
- Malia non. Si tu le tues, on va se retrouver avec toute la ville aux trousses.
Il entraîna la coyote dans la forêt.
Ils trouvèrent une maison isolée, en bordure de la forêt.
A la faveur de la nuit, ils s'en approcherent discrètement.
Peter se glissa à l'intérieur par une fenêtre ouverte, il remercia la canicule qui sévissait actuellement sur tout le pays.
La maison était vide, mais pas les armoires, il trouva des vêtements à sa taille et se changea, puis, il ouvrit à Malia. Elle muta et trouva aussi des vêtements à sa taille. Peter trouva un peu d'argent, et de la nourriture. Ils dormirent dans la grange.Le lendemain matin, ils se rendirent en ville, de très bonheur.
- Tu sais pourquoi ces chasseurs nous ont emmenés ici ? Demanda Malia.
Après un court silence, Peter répondit
- Non.
- Mais tu as dit qu'on devait pas rester là, pourquoi ? Tu es déjà venu là ?
Il soupira.
- Non, mais j'en ai entendu parler.
Elle leva un sourcil.
- Et ?
- Tu poses toujours autant de questions ? Grogna t'il.
- Tant que j'ai pas les réponses, oui.
- Et tes amis le supportent ?
- Styles aussi pose beaucoup de questions.
- Hum, et il cause aussi beaucoup de problèmes, et un jour, il te mettra en danger, une fois de trop.
- Il fait partie de ma meute. Et puis c'est toi qui nous met en danger pour le moment, et je ne sais même pas pourquoi
- Crois moi, c'est mieux comme ça.
- Je comprends mieux pourquoi ça n'a pas marché entre toi et ma mère.
- Ta mère est une psychopathe.
- Et pas toi ?
- Non, moi j'essaie seulement de survivre.
- C'est pas ce que dit Styles.
- Styles, mais tu n'as que ce nom à la bouche.
- Il...
- Fait parti de ta meute, j'ai compris. Coupa Peter agacé.
Elle se tut, et ils marchèrent en silence.
- C'est encore loin ? Reprit elle quelques minutes plus tard.
- J'en sais rien. Répondit Peter.
Mais les premières maisons apparurent enfin.
Ils marchaient depuis plus d'une heure.
Ils entrèrent au Mystic grill et s'installetent à une table.
Peter jetait des regards inquiets autour de lui.
Malia se jeta sur la nourriture que le serveur lui apporta, soit, un double cheesburger et une portion de frites.
- Et maintenant ? Qu'est ce qu'on fait ?
- Déjà on ne parle pas la bouche pleine. Ta mère adoptive ne t'a donc rien appris ?
Elle avala si rapidement qu'elle manqua s'étouffer.
- Et maintenant ?
Il soupira.
- On fait profil bas, et on cherche un moyen de contacter Scott.
Elle fronça les sourcils.
- Pourquoi ? On va devoir se battre ?
- J'espère que non. Mais il faut qu'il nous aide à quitter cette ville. On a pas d'argent, pas de voiture, et pas de papier.
- Il faut trouver un téléphone. Conclue t'elle.
- Je peux peut être vous aider.
Peter se retourna comme si un serpent l'avait mordu.
Deux hommes se t'aiment près de leur table, ils avaient surgit de nulle part et les dominaient de toute leur taille. L'un d'eux portait un costume deux pièces de chez Hermany et une chemise en soie italienne. Il était grand et bien bâti, brun, des cheveux coupés courts, un port altier et fier, le second était vêtu d'un sweet shirt noir et d'un jean, chataing, plus petit que le premier, et tout en lui sentait l'arrogance.
- Je vous demande pardon ? Demanda Peter.
- Mon frère et moi nous vous avons entendu dire que vous n'aviez ni papier, ni argent, vous avez été agressé peut être ? Demanda le plus petit.
- Oui. On nous a volé notre voiture avec nos papiers et notre argent.
- C'est regrettable. Mais j'ai entendu dire qu'on avait trouvé une voiture abandonnée à la sortie de la ville, peut être est ce la votre.
- C'est possible.
- Dans ce cas nous pourrions vous accompagner jusqu'au garage, c'est là que le shérif Donovan l'a fait remorquer.
- C'est gentil, mais je pense que vous avez sûrement mieux à faire que de nous servir de guide.
- Justement non. Si vous voulez bien nous suivre.
- Ecoutez, on veut pas d'histoire, ma fille et moi on traversait le pays pour se rendre à l'université, on a croisé une voiture en panne. On s'est arrêté pour aider, et là, trois voyou nous sont tombés dessus, ils nous ont pris notre voiture avec tout ce qu'il y avait dedans. Voilà.
Alors je ne sais pas ce que vous nous voulez, mais si vous ne nous laissez pas tranquille, je serais contraints d'en faire part au shérif.
- Veuillez pardonnez mon frère, intervint le grand brun, il était absent, le jour du cour sur les bonnes manières, je m'appelle Elijah Mickaelson, et ce grossier personnage, est mon frère Klaus.
Peter s'apprêtait à boire une gorgée d'eau, le stress lui avait asséché la gorge, il recracha violemment la gorgée, manquant s'étouffer à l'annonce du nom de leurs interlocuteurs.
Elijah lui tapotant l'épaule.
- Oui, l'évocation de notre nom fait souvent cet effet. Avoua t'il.
Klaus sourit.
Le regard inquiet de Malia passait de son père aux deux inconnus.
- Bien, reprit Elijah, maintenant que nous nous sommes présentés, peut être pourriez vous en faire autant.
Peter avala sa saliver.
- Peter Hâle, et ma fille, Malia Tâte.
- Et vous venez d'où ?
- De BEACON Hills, en Californie.
Klaus et Elijah se kancerent un regard entendu.
- Et bien monsieur Hâle, maintenant que vous savez qui nous sommes, reprit Elijah, je vous suggère de nous suivre sans faire d'histoire.
- D'accord, répondit Peter, mais laissez partir ma fille.
- Désolé, répondit il, mais je m'en voudrais de séparer un père et sa fille.
Amère, Peter réalisa qu'ils n'avaient pas le choix. Ils se levèrent et suivirent les deux hommes.
Une fois dans la voiture, une grosse berline noire aux vitres teintée, Malia se tourna vers Peter.
- Qui est ce ? Tu les connais ? Qu'est ce qu'ils nous veulent ?
Il soupira.
- Et c'est reparti pour les questions. Oui, je sais qui ils sont, enfin de réputation, j'ai eu la chance de ne jamais les rencontrer, jusque là. C'est dingue comme la malchance s'acharne sur moi depuis queue t'ai rencontré.
Elle fronça les sourcils.
- Vas y, dis que c'est de ma faute si deux types ont surgit dans le loft pour nous enlever et si on a atterrit ici.
- J'ai pas dit ça. Et moins fort tu veux, ils vont nous entendre.
Elle haussa les épaules et se mura dans un silence boudeur.
Il soupira de nouveau.
- Bon, Malia, il faut que je te parle de nos hôtes. Tu m'écoutes ?
Elle tourna vers lui un regard noir.
- Me regarde pas comme ça. C'est pas moi qui t'ai demandé de venir dans le loft.
- Je suis venu voir mon père, mais apparemment c'était pas une bonne idée.
- Non, effectivement, d'autant plus que chaque fois que j'ai un problème, tu es toujours dans le secteur.
- Excuse moi d'exister. Mais si tu voulais pas de moi, il fallait pas me mettre au monde, je t'ai rien demandé.
A ce moment là, Klaus se tourna vers eux.
- Vous pouvez pas la mettre en veilleuse, tous les deux ?
- C'est de sa faute. Dirent ils d'une même voix, en se désignant l'un l'autre.
Puis, ils se muterent de nouveau dans le silence.
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DE BEACON HILLS A MYSTIC FALLS
FanfictionMalia a mystérieusement disparu, la coyotte garou est introuvable, des indices vont mener Scott, Styles et Lydia à Mystic Falls. leur présence risque d'être mal perçue par les habitants.