Édith :
Je sorti du magasin les bras chargés de sacs de courses. La capuche rabattu sur la tête je courais presque pour rentrer chez moi sans finir complètement trempée.
Presque arrivé à l'entrée de mon immeuble qui ce trouvais au croisement de la rue un miaulement strident me sortit de ma course contre la pluie.
Je tournais la tête et je vis un carton où la phrase Servez-vous était marqué au feutre noir. Je m'approcha de cette boîte et vis un petit chaton de trois semaines à peine trembler de froid et recroqueviller sur lui même. Son poil noir était trempé par l'averse. Il miaula une seconde fois. C'était le coup de foudre. Je débarrassais une de mes mains pour ouvrir mon gilet, j'attrapais le chaton le mit à l'abri dans mon habit et courru chez moi.
Dans mon studio je posais mes sacs retira mon gilet trempé, posa le chaton sur la table et j'allais chercher deux serviettes dans la salle de bain. Une pour lui et une pour moi.
J'entortillais la serviette sur ma tête pour sécher mes cheveux et je déposais le chaton sur l'autre. Je saisis un pan de la serviette pour sécher son poil de bébé. Lui perdu miaulait, reniflait l'air et ouvrait et fermai les yeux.
Il entreprit de marcher jusqu'à moi, mais il était assez lent et il trébuchait du à son manque d'expérience et surtout sa trop grande jeunesse pour être déjà séparé de sa mère et de sa portée.
Il arriva jusqu'à mon ventre et commença à grimper en miaulant.
Je l'attrapa avec douceur, retira ses griffes de mon t-shirt et le porta au niveau de mes yeux. On ce dévisagea plusieurs minutes et il miaula. Je souris les larmes aux yeux. Qu'il était beau. J'avais envi de casser la gueule à ceux qui l'avait laissé dans un carton sous la pluie avec une phrase Servez-vous comme si c'était des vulgaire jouets!
Le petit chaton miaula. Il fallait que je lui trouve à manger si ça ce trouve cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait pas mangé! Mais non il serait mort sinon!
Je posais le chaton dans sur une couverture et couru à la pharmacie la plus proche. Je pris un biberon et du lait pour chaton que je pris au supermarché que je venais de quitter.
En rentrant je fis un trou dans le biberon grâce à une aiguille je mis du lait, pris le chaton et le nourris.
Il mangeait avec appétit. Donc oui cela faisait longtemps qu'il n'avait pas mangé. Il ronronna et avec ces pattes avant il appuyait sur mon bras comme il l'aurait fait avec les mamelles de sa mère.
Quand il n'y plus faim je le posais sur mon lit et parti ranger mes courses.
Ensuite je troquais mes vêtements mouillés pour mon pyjama, un grand t-shirt qui s'arrêtait aux cuisses. Je m'allongea sur mon lit en évitant d'écraser le petit chaton.
Il commença à m'escalader. Je le soutien pour ne pas qu'il tombe et une fois sur mon ventre il ne bougeait plus. Il tourna sa tête vers moi. Il était super beau. Le bout du museau blanc, le bout d'une oreille blanche et ses deux pattes avant blanches, les bout de sa queue également blanche mais tout le reste était noir. Vraiment magnifique. Il s'approcha de mon visage en humant l'air et de cala contre mon coup sa minuscule tête pose sur mon coup. Je tendis la main et le caressa, il ronronna instantanément.
Je souris. Ça y est, j'ai ma collection. Mon studio n'était plus vide, et j'étais maman d'un petit chaton magnifique que des salopards avait failli le faire crever en le laissant sous la pluie.
J'envoyai un message a Luca pour lui dire mon petit bonheur de la journée en lui précisant que demain il viendrait chez moi car je ne pouvais pas laisser mon petit chaton tout seul. Même si je devrais me laisser pour travailler.
VOUS LISEZ
Édith et Luca [EN PAUSE]
RomansaTout découle d'une amitié ou d'une liaison plus ou moins amicale entre deux personnes. Dans notre cas tout découle d'une histoire d'amitié entre deux personnes. Bienvenue dans l'histoire pleine de rebondissements d'Édith et de Luca.