Personne

Théo

Théo n'arriver pas à dormir, la pluie m'arteller ça fenêtre, telle qu'il ce demandé si elle tiendrait la nuit. Il avait pris son livre du moment, et s'était assis dos au chauffage électrique. Mais la pluie l'empêcher aussi à ce concentré sur l'histoire qui pourtant l'intéressé beaucoup. Fatigué et énervé, il posa son bouquin à côté de lui et pris de sous son oreiller son portable et chercha à tâtons ses écouteurs sur ça table de chevet, pensant qu'un peut de musique le détendrais sûrement.
La pluie dehors était si forte qu'il l'entendait toujours à travers ses écouteurs, il avait pourtant montais le son au point d'en avoir mal à la tête. C'était comme s'il était sous cette pluie tonitruante. Une goutte gelée glissa sur son front. Théo leva la tête exaspérée en voyant une petite fissure au plafond :

"Cette appart est un taudis !"

Sur ses mots, il se leva pour aller chercher de quoi contenir les prochaines gouttes qui ne tarderont pas à couler. Mais il s'arrêta aussitôt, il était trempé et ses pieds patauger.

"Merde une inondation ! Je suis pourtant au 3e étage... Et il y a encore 4 étages au-dessus de moi comment mon toit peut fruité?..."

Il se retourna vers la fuite, un énorme trou remplacer la petite fissure et de l'eau ce déversé dans son appart comme un robinet ouvert.

"Putain, ce vieux fou devrais être interné !"

Sur ses mots Théo sortie de chez lui en trombe et monta au 4e étage.
Le vieux fou était le seul voisin avec qui il avait eu des problèmes. Tout le monde dans le quartier évité ce vieil homme, il était orné de nombreux surnoms et de rumeurs toutes aussi folles que ce personnage.
Quand Théo avait emménagé dans l'immeuble, il avait fait l'erreur de le saluer, depuis ce jour l'homme âgé, c'était attaché à lui comme une sangsue qui s'accroche aux seule fou qui s'est approché trop d'elle.
Chaque soir l'homme l'attendais devant chez lui avec une boîte qu'il n'ouvrait jamais et ce pressé de lui raconter encore un conte faites pour endormir les enfants. Mais le pire, c'étaient les innombrables dommages que le fou faisais chez lui, c'était encore étonnant que l'immeuble ou lui puisse tenir debout. L'homme avait laissé plus d'une foi la chaudière allumée durant la nuit, il avait réussi à faire brûler la moitié de son lit avec de l'encens et son mur comporté d'innombrables trous. Théo, c'était toujours demander pourquoi le propriétaire ne disait rien ni n'appeler la police, et lui ni les voisins n'en faisait rien non plus. Une telle négligence allée m'être lui, le vieux fou et l'immeuble entier en danger !

"M. Dantie de l'eau traverse mon plafond ! Qu'est-ce que vous avez encore fait ? Ouvré s'il vous plaît"

Théo frappé la porte énervé et inquiet, cette fois, c'était la goutte d'eau.
La porte s'ouvrit, mais personnes ne se trouver derrière.
L'appart était comme le sien, mais il paraissait beaucoup plus grand, sûrement dû-fait qu'il n'y avait aucune décoration ni même de meubles, comme si personne n'avait vécu ici. Le sol quant à lui était sec et ne comporter aucun trou.

"Ce n'est pas possible!! M.Dantie ?"

Théo était perdu, il était sûr d'avoir vu de l'eau s'écouler de son plafond et l'appart du vieux était vide, il était venu plusieurs fois et il avait toujours était encombré de décoration toute farfelue.

"M. Dantie où-êtes-vous ? Demanda Théo de façon non assuré.

-Ça fait 1 semaine qu'il n'est plus là !

Théo se retourna d'un coup, une jeune femme le fixer, sur le pat de la porte.

-Il est mort vous n'étiez pas au courant?

Théo ne répondit pas, il regarder cette femme comme si c'était un fantôme, bien que sa peau pâle, sa longue robe de chambre blanche et ses cheveux or et bouclé qui tomber sur ses épaules, pouvais donner l'impression qu'elle en était un.

"Allô, tu dors ? Si c'est le cas, je te conseille de retourner te coucher.

-Depuis 1 semaines?

Demanda Théo toujours le regard bloqué sur elle.

-Oui

- Ce n'est pas possible ! Aujourd'hui encore, il était venu me raconter une de ses histoires pour enfants.

La jeune femme le dévisagea puis tourna les talons et s'en alla.

-Attends-je dit la vérité !

Théo bougea enfin et lui couru après. Mais quand il passa la porte, aucune femme n'était là, il était tout seule dans le long couloir noir de l'étage.