Au début de la rentrée, personne ne me voyait.
Vers le milieu, on me brimé.
Jusqu'a la fin, on m'a brisé.
Quand tu l'as découvert, tu m'as défendue.
Après deux ans, tu as du partir.
Je ne voulais pas que tu partes, mais je ne voulais pas être égoïste.
Quand tu es partie, tout a recommencé.
À chaques coups, chaques insultes, chaques brimades... Je voulais que tu me sauves.
Mais tu étais déjà trop loin.
Alors chaque jours, j'ai enduré jusqu'à me renfermé.
Je ne voulais pas tout gâcher, alors je me suis tue et j'ai encaissé.
Ton futur compte plus que ma vie, alors je n'ai rien dit pour pas t'inquiéter.
Mais j'ai eu le coup de trop, je n'ai pas put m'en empêcher.
J'avais craqué.Je n'en pouvais tellement plus que j'en ai fini.
Je vous ai tout dis dans cette petite lettre, j'espère que tu me pardonneras...Mon ancienne protectrice que j'avais tant aimé.
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La nuit des regrets
PoesiaChacun a quelque chose à évacuer avec des façons différentes. Moi, je le fait en écrivant.