Chapitre 8 : La nuit !

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Cc tout le monde voici un nouveau chapitre de cette fanfic .
J'espére qu'il vous plaira !
Bon Lecture...



Pdv Astrid

Il devait être vers 20:00 , j'étais avachi sur le canapé munis d'une couverture en laine de couleur beige et de pop corn mais aussi d'une télécommande dans mes mains pour changer les programmes télé .
J'étais seule et tranquille avec mon énorme ventre de femme enceinte .
Oui... ça fait maintenant 8 mois que je suis enceinte et on s'approche peu à peu de l'accouchement.
Je n'ai pas changé d'avis et de plus Stoik s'est bien occupé de moi . On a même trouvé une bonne famille pour mon petit garçon . C'est la famille qu'il lui faut et cela se voit qu'ils vont l'aimer , je le sens au fond de mes trippes et c'est aussi l'instinct d'une mére en même tant..... enfin je suppose .
Les filles en ce moment sont sortie avec leur petit-amis , en tout cas elle profite de leur jeunesse alors que je suis cloîtrée chez moi avec une envie pressante toutes les cinq minutes . Donc impossible pour moi de sortir quelque part . Heureusement que je reçois de la visite tous les jours . Malgré cela j'ai encore des remords , j'ai peur de faire une erreur et apparemment personne n'apprécie mon choix de mettre mon fils dans une famille d'accueil.

-"Je fais ça pour ton bien mon chérie ." dis-je en caressant mon ventre et en lui parlant , cela peut paraître fou et idiot mais ça m'aide à être en forme et à me sentir proche de lui.

-"Tu sais que maman t'aime tellement et qu'elle fait tout ça pour ton bien ? tu ne serais pas heureux avec moi mon ange . Je t'aime ! "
On pourrait penser que j'étais folle en parlant comme-ci il m'entendait. Mais tout-à-coup je reçu un gros coup de pied , on dirait qu'il avait comprit ce que j'avais dit , ce qui me fit légérement rire.
Mais je fus interrompu par un gros bruit venant d'en haut. Être toute seule dans une maison gigantesque et sans personne c'est pas l'idéale quand on est une femme enceinte de 8 mois , je vous en parle pas . Je ne suis plus aussi agile qu'avant à présent et j'ai du mal à me relever lorsque je m'assis.
Je me levai difficilement en fermant la télé et prit mon flingue qui reposait à l'intérieur d'un tiroir du salon et je continuai à marcher tout doucement le long des  marches des escaliers qui menaient à l'étage.
Je n'étais habillée que d'un débardeur et d'un pantalon pyjama et j'avais des frissons par ce froid de début d'hiver.
Mon arme était devant moi , mes mains le serrant fort et mes bras tendu comme-ci ma vie en dépendait , en même tant d'un côté c'est vrai car ma vie en dépendait. Je devais protéger ce petit gars .
Je commençais vraiment à avoir peur , se sont de nouveau ses hormones car ça ne m'arrive jamais d'habitude de m'inquiéter comme cela et d'avoir aussi peur. Mais ce n'est pas pour ma vie dont je m'inquiéte mais celle de mon bébé   donc je trouve que c'est un peu normal que je sois remplie d'angoisse.
J'envoyai tout de même un message à Thuggory pour lui demander de venir car on ne sait jamais ce qu'il peut se passer .... où peut-être que je me fais juste des illusions une nouvelle fois .
J'allumai la lumière du couloir et ne vit personne , aucun mouvement , en fait rien de suspect , c'était calme même vraiment trop calme et assez flippant pour être honnête.
Je me retournais pour descendre les escaliers et descendit les marches toujours avec autant de difficulté.
Quand j'arrivai en bas , la fenêtre était complétement entrouverte , je  fermis la fenêtre et regardais une nouvelle fois la piéce pour voir si des choses ou objets avaient bougés ou changer de place .

-"Montrez-vous , je sais que vous êtes là ! qui que vous soyez arrêter de vous cachez .
Personne , je n'entendais aucun bruit , c'était trop silencieux . Mais d'un coup un objet tomba au sol et un tir d'arme se dirigea vers moi , mais heureusement que j'avais encore de bon réflexe et j'évitai la cible de quelques métres . J'avais eu chaud !
Je courus le plus rapidement possible dans la salle de bain et fermis la porte à clée , je mis mon dos contre la porte et restai là quelques instants pour reprendre mon souffle car j'étais prise de fatigue mais surtout éssoufflait .
Le poignet bougea férocement plusieurs fois.

Detective in Beurk cityOù les histoires vivent. Découvrez maintenant