My galley. :)

Conséquences

  - Je vais rester, décidai-je avec un sourire déterminée et à l'intérieur de mon esprits, la nouvelle moi sautait de joie et elle tacla l'ancienne moi qui n'existait plus désormais.

Je regarda derrière elle mais Joey avait disparu, je remercia alors l'infirmière et retourna en cours. Moi qui ne voulais pas me faire remarquer dés le premier jours...

J'ouvris la porte et et tout les regards se braquèrent sur moi, génial je passe maintenant pour la fille dérangée qui fait des crises tout le temps. Le professeur me fit signe de m'asseoir et je m'installa a côté d'une fille qui avait l'air sympa puis le cours reprit.

- Salut, commença t-elle, heu... sa t'arrive souvent de faire sa ?

- Non jamais avant, c'est sans doute le stress de la rentrée ou un truc du genre, sa arrive a tout le monde.

- Dacc, au passage je m'appelle Rose et j'adore les fringues.

Je m'en fichais totalement.

- Génal, je m'appelle "personne" et je m'en bat les inexistantes de toi !

Evidemment je ne dit pas réellement ça.

- Génial je m'appelle "personne" et j'adore la lecture, souris-je gentiment.

Finalement nous fîmes copain-copain et mise à part l'incident de ce matin, tout se passa plutôt bien et je rentra assez heureuse de ma journée, ce qui était rare.

- Maman je suis rentrée, criais-je après avoir fermer la porte.

- Maman, sa va ?... toujours pas de réponse.

Je rentra dans le salon et la vit enfin, allongée sur le canapé ... une bouteille vide de vodka sur la table basse ... et un couteau dans la main ...

J'essaya de m'éloigner discrètement mais elle se réveilla et me sauta dessus.

- C'est ta faute si il est parti, fille de l'enfer !!!!

Elle me pris soudain en chasse a travers la maison, elle, bourrée, un couteau dans la main et moi craignant pour ma vie, les larmes coulants sur mes joues, encore une fois.

- MAMAN, ARRETE!! sanglotais-je en courant dans le jardin.

- Tu ne mérite pas de vivre, va dont rejoindre celui que tu a tuée !

Je rejoignis enfin la rue et elle abandonna la poursuite mais continua a m'injurier jusqu'à ce que je sois or de porté de sa voix.

Je ralentis et me réfugia dans un coin de rue, a l'abris des regards et pleura doucement, j'avais beau savoir que ces accusations étaient fausses, cela faisait toujours aussi mal...

Flash-back:

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