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- « J'ai vu comment tu étais avec moi de jours en jours. » lui dit-je.
- « Et ? »
- « Et je vois bien que je ne te suis pas indifférent.»
- « Pas faux. »
- « Val, dit moi sérieusement les choses.»
- « J'ai rien à dire... »
- « Tu as peur de quoi exactement ? »
- « Du rejet. »
- « De ma part ? »
- « Oui. »
- « Tu ne vois donc rien. Depuis la semaine dernière je n'arrête pas de te coller. »
- « J'me suis dit que c'était moi qui me fessait des idées. »
- « Moi aussi j'arrêtais pas de me le répéter. »
- « Je sais pas si je peux être comme ça. »
- « Comment ? »
- « Aimer les garçon. »
- « Bordel Valentin qu'est-ce qu'on en a à faire. »
- « Je sais pas... C'est pas moi, ça ne me ressemble pas. »
- «... »

Je ne dit plus rien, je part m'assoir sur le canapé et me scotch à mon portable.
Valentin s'approche doucement...

- « Ecoute laisse moi du temps, tu veux ? »
- « D'accord, de toute façon je ne peux rien faire d'autre, que veux tu que je fasse. »
« Je vais rentré de toute façon. »
- « Comme tu veux... »

Je prend mes affaires et rentre chez moi a contre coeur. En rentrant j'enlève mon pantalon et m'enroule dans les draps de mon lit.

Je devais tourner aujourd'hui et je n'est pas la force de sortir une vidéo.
Je poste un tweet disant que la vidéo seras retardée, sans donner d'explications.
Je finis par m'endormir alors qu'il est quatre heures de l'après-midi.
Je me sens mal, je ne peut rien faire, attendre est la seule option. J'ai mon portable à côté de moi comme si j'attendais désespérément qu'il m'appelle pour me dire qu'il veux que moi et qu'il oublie tous.

J'attend, encore, et encore...
Qu'il me fasse un signe pour me dire se qu'il veux vraiment.

Je me réveille en sursaut 3 heures plus tard, je jette un oeil sur mon téléphone, 6 appelle manqués, et 3 messages de lui :

- « Je suis désolé, j'ai juste besoin de temps. »
« S'il te plais ne m'ignore pas. »
« Clément..? »

Je ne sais pas si je doit lui répondre... Je n'arrive pas à lui faire la tête et l'ignorer.

- « Je suis la, je me suis endormi... »
- « Tu veux que je te dise, je n'arrive pas à dire les choses en face. »
« Alors je te le dit la, je ressent des choses pour toi. »
« Oh... Ça me touche vraiment.. »

J'ai la réponse à ma question, il a des sentiments... je ne rêve pas ! Je l'aime encore plus...

Je l'attendrais, même si je n'est pas de patience.
Je sort de mon cocon, et descend voir se qu'il reste dans mon frigidaire.
J'ouvre prend; Un peu de tous, la bouteille de schweppes, et repart dans mon lit, m'assoie et m'empiffre, oui on peu le dire je déprime légèrement .

J'ai qu'une envie, m'allonger avec lui en mode larve dans un lit et ne plus bouger.

Après avoir finis tout ça, je redescend, prend mon pot de glace et une cuillère, je mange tous ça devant la télé dans mon lit.

Je n'est jamais était comme ça. En tous cas pas que je m'en souvienne...
Je pense à lui de plus en plus, de jour en jour...

📞[Appelle Valentin]📞

«Allo.. »
«Clément je tiens plus. »
«Qu'est-ce qui se passe ? »
«J'ai trop besoin de toi... »
«Oh mon dieu Valentin me dit pas ça... »
«Pourquoi ? »
« Tu va me faire mourir t'es fou. »
«Et puis merde j'en ai marre moi aussi, je veux te voir. »
«Quand ? »
- « Tout de suite. »
- « C'est à dire que la... »
- « Que la ? »
- « J'vais pas te mentir j'étais en mode "Déprime" »
- « Oh non je veux pas que tu déprime pour moi... »
- « T'en peu rien... »
- « J'arrive. »
- « Quoi ? »
- « J'arrive. »
- « J'avais compris. Mais je suis pas prêt, rien n'est prêt. »
- « J'en ai rien à faire je veux juste te voir. »
- « Bon si tu insiste. »
- « Ah moins que tu ne veuille pas. »
- « Le jour ou je voudrais pas te voir, je pense que je serais gravement malade. »
- « Alors je peut venir. »
- « Oui viens je t'attend. »

Bip*

Je me dépêche de débarrasser tout mon bordel, enfile un pantalon. 5 minutes plus tard il sonne à la porte.

Je vais ouvrir et Valentin me saute dans les bras, il me sers fort et ne ma lâché plus.
J'avais rêvé de se moment.
Toujours dans ses bras il me dit ;

- « Clément je suis désoler si je t'ai fait du mal. »

Je ne repond pas, je ne sais pas quoi dire en fait.
Il se détache de moi et me regarde fixement.

- « Dit quelques chose ? »
- « Oh euh, c'est juste que ça fait vraiment bizarre de te voir comme ça, et c'est aussi très plaisant. »
Il me souris... Je le prend par la main et lui dit de venir.

- « Suis-moi. »

Il ne dit rien et me suis, je l'emmène jusque ma chambre je m'allonge et lui dit de venir, il s'installe avec moi, j'allonge mon bras et il se couche contre moi. Puis nous nous endormons...

C'était la plus jolie nuit que je pouvais imaginer l'avoir contre moi et pouvoir le serrer fort.
Je n'oublierais pas tous ce qu'il ma dit...

Le lendemain Valentin dors encore quand j'ouvre mes yeux, il et toujours dans mes bras. Je me décale doucement, et sort du lit, je vais faire du café et sort des gâteaux.

Je sent une de ses main arriver au niveau de ma taille et une autre de l'autre côté, puis elles se rejoignent jusqu'à mon ventre pour qu'ensuite il me sers dans ses bras.
Il est derrière moi, je ne le vois pas mais je sais qu'il est la, il le fait sentir par sa présence, il me sers tellement fort...
Je me retourne et lui souris.

- « C'est prêt mon cher. »
- « Hum, je vais m'assoir alors. »

Je me sers du café dans un bol, et lui prend c'est gâteaux, nous sommes face à face, je suis complètement plongée dans son regard...

J'ai tellement envie d'l'embrasser bordel... Mais je vais doucement je veux pas le brusquer, je vais à son rythme.

Entre Amis ¹Où les histoires vivent. Découvrez maintenant