Chapitre 2
J'avais raison, du moins je crois. Des gens, habiller en costume d'armer, descendent d'une voiture noir qui repart aussitôt. Qu'est-ce qui se passe? Un attentat? Une tuerie? Aucune idée mais l'anxiété me prend tellement que le prof commence a s'inquiéter.
- Voyons donc Ether, qu'est-ce qui se passe?
- Rien monsieur, rien...
(Biiiiip)
Chers élèves de l'école, veuillez ne pas angoisser si des gens de la sécurité national cogne a votre porte. Ils savent se qu'il font. Merci de votre attention.
(Biiiiip)
C'est de plus en plus bizarre. Mais putain QU'EST-CE QUI SE PASSE!?! Et qu'est-ce que la sécurité national vient faire dans une petite école secondaire, public en plus? J'ai peur, j'angoisse comme dit la secrétaire.
- C'est pour ça que tu as peur Ether? C'est vrai que c'est bizarre.
Je le savais, ça va pas bien là! Je... Je, calme toi putain Ether Jones! Sur 400 élèves, combien sont les chances que tu les voient? Deux ou trois? Calme-toi.
Je n'entend ni cri, ni coup de feu, ni bombe atomique. Je crois que j'ai peut-être exagéré trop vite non? Je n'entend même pas de pas s'approcher de notre porte ou de toki woki qui parle le japonais. Juste le prof parler de participe passé.
(Boom)
C'était trop beau pour être vrai. Une gang d'agent de la sécurité national sont devant la porte. M. Français va leur ouvrir la porte comme si ne rien n'était. Il se fait immédiatement pousser.
- Attrapez-les.
Un troupeau d'agent en uniforme s'avance a travers les bureaux. Un petit homme s'arrête devant moi.
- Levez-vous mademoiselle.
- Quoi, mais qu'est ce qui se passe?!?
- Levez-vous mademoiselle!
Je me levais et aussitôt fait il me pris les poignets dans les menottes. PARDON?!? Mais j'ai fais quoi moi?!? Il me prend le cou et me fait avancer. J'entends le prof qui crie a travers la classe.
- Mais qu'est-ce que vous faites!?! Vous n'avez pas le droit!
- Nous avons tout a fait le droit monsieur.
Les cris des autres élèves furent la dernière chose que j'entendais avant que la porte se referme.
- Mais qu'est-ce que vous faites?!? Lâchez-moi!
- Vous allez nous suivre.
Il nous firent descendre les escaliers et nous traînait a travers les corridors. Nous... Nous sommes 8! Je n'ai pas la tête a savoir c'est qui mais je le sais que nous somme 8. Je me débat mais il me sert de plus en plus fort. Ils nous amène a notre casier.
- Prenez toute vos choses, vous ne reviendrez pas.
Comment ça ON NE REVIENDRA PAS?!? C'est très louche ton affaire mec!
- Allez vite!
Je prends ma veste, mon manteau, mes bottes et mes souliers de rechange dans un sac et mon sac d'école.
- Pas besoin de ça.
Je le laisse tombé et prend mon iPod. Je ne partirai pas sans lui. Je referme mon casier et le barre pour ne pas que Rosalie, la fille avec qui je partage mon casier, ne se fassent voler ses choses. Le même idiot me menotte de nouveau les mains et le manège reprends.
- Où allons-nous?!?
- Quelque part.
- C'est précis.
- La ferme et suivez!
On entrait au bureau du secrétaire.
- C'est ceux-là? Demanda-t-elle.
- Oui, allons-y!
Elle nous regardais d'un air piteux sans que je puisse savoir pourquoi, du moins pas maintenant, et ça m'attriste beaucoup. C'est une vielle dame pleine de bon sens et une joie de vivre extraordinaire. Je versais une larmes et elle des dizaines. Je n'eu que le temps de la voir faire au revoir que je fus amener dehors. Ils nous amenèrent dans l'autobus scolaire stationner à la hâte en effet. De la classe en haut, des gens criaient et pleurais. Je dû embarquer rapidement et m'assoir à côté de la première personne que je reconnu. Betty?!? Une bonne amie quoi. Je... Elle fout quoi ici? Plus les gens passaient, plus je les reconnaissais. Jennie, une genre de pute mais vraiment sale gueule. Elle me traite toujours de salope et tout ces noms. Si elle a fait quelque chose, bien fait pour elle de s'être fait attraper. Mélissa, pute. Pas besoin de vous dire que c'est la meilleure amie de Jennie et qu'elle a le même caractère de merde. Et il y a... Non, pas elles! Pas Amanda et Rachel! Elles ont fait quoi? Hein? Et il y a Evan le gars populaire que toute les filles aime avec derrière lui... Oh non! Thomas. Tu m'énerve la sécurité national.
Je vois les agents en costume entrée dans une camionnette. Il s'en vont. Mais où putain! Le commandant entre en compagnie de son adjoint dans l'autobus. Ils se postent devant nous avec une mine grave. Sans qu'il s'y attende, le commandant demande à son adjoint de faire une tâche.
- Détachez-les...