Chapitre 6
Je me réveille en sursaut. Sur mon cadran, 3h30. Je suis où? Ah, c'est vrai. On s'en va se faire tuer. J'ai tellement de la difficulté à l'accepter. Je n'y crois pas. Je ne suis pas sur Gaïnna. Je ne vais pas me battre au côté de mes amis. Je n'ai pas désamorcer une bombe. Thomas ne dort pas à mes côtés. Non mais, il fait que je revienne à la réalité. Ce n'est qu'un rêve. Je vais me réveiller.
Bon, calme-toi Ether. On n'y peut rien. Ce stupide de Sventon et son hasard. Je me lève et vais sur le bord de ma fenêtre. C'est magnifique! Le soleil se lève tôt ici! Mais les teinte rose, orange et bleu du ciel sont magnifique. De toute ma vie, c'est du moins la plus belle chose que j'ai vue. Mais qui dit que je vais le revoir. Chaque jour, la mort me tend la main. Je ne sais pas si je pourrai la repousser plus longtemps.
Un murmure se fit entendre dans la chambre. Je sais que c'est Thomas mais je ne veux pas me retourner. Je ne veux plus jamais le voir.
- Tu es réveiller?
- D'après toi!
- Wow, calme-toi.
- Monsieur veut qu'on le traite en roi? Après tout ce que tu m'as fait, laisse-moi te parler comme je veux.
- Hey la salope...
- Tu vois? Tu n'as aucun sens de la moral. Ne crois pas qu'on va être polie avec toi si tu ne l'ai jamais été.
Et là, il se l'a l'ai fermer.
Je me retourne vers la fenêtre et continue de regarder les étoiles.
- Tu es belle.
- Quoi?
- J'ai dit: "tu es belle."
- Tu es idiot.
- Non, honnête.
- La ferme.
Il se leva et vint me prendre par les hanches. Je frissonna.
- Je te fais tant d'effet que ça?
- Lâche-moi tu veux!
- Non, je ne veux pas.
Il. M'énerve. Tellement. Mais. Je. L'aime.
Il me retourne et me regarde droit dans les yeux.
- Allez, va te coucher salope.
- Ah, je te déteste.
Je me glissais sous les couvertures et m'endormie rapidement.
(Bang, bang, bang!)
- Ahhh &@?%,~>#€!!!!!
- Hey Salope, arrête d'être vulgaire.
- Regarde donc qui parle.
- Arrêter les enfants, il faut s'entraîner.
Nous déjeunons puis, Sventon nous amena dans une salle remplis de matériel d'entraînement.
- Trop cool!
- Bon, allez-y!
Je couru pour me prendre un fusil avant que tout les gars ne les prennent.
Je tira vers les cibles, des imitations de soldat de l'armée ennemie.
Je les tirais tous d'un coup. Ceux-ci se tordaient de douleur.
- Ahhh! Il était vivant!
- Plus maintenant, lança Thomas en m'applaudissant, bien jouée.
J'était perturbé par ce que je venais de faire. Mais je dois me ressaisir. Pleurer, c'est moche.
Je vais allez désamorcer des bombes, c'est mieux.
Puis, dès que j'aperçus la vrai bombe près à être activer, j'abandonna.
- Je crois que je vais allez dans ma chambre.
- Comme tu voudras.
Je passais près de Thomas qui murmura dans mon oreille.
- À plus Beauté.
