Chapitre 2

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3 septembre 2013.

Premier jour d'école. La porte des grands, grande ouverte, le coeur qui bats très très fort, Je monte les escaliers.
Arrivant dans une grande salle ou toute les classe étaient mélangées, tout le monde assis, les mains moites, je fais tombé mon bic. Je m'installe dans le fond et je regarde le monde qui était assis.
En tournant la tête, un garçon, un déclic quelque chose que je n'avais jamais eu, j'ai essayer de ne pas y penser et j'ai continué à écouter ce que l'éducateur expliquait.

En rentrant, Je me tourne et je vois un groupe de garçon me suivre, sans faire attention, je continue à marché.

J'habite dans une cité. Un genre de face à face de deux bâtiments et un terrain au milieux. Que ce que j'aime pas ce quartier !

En arrivant devant ma porte, une voix, c'était le garçon ; 
⁃ "Tu habite ici ?"
⁃ "Oui .."
⁃ "Je ne t'es jamais vu .."
⁃ "Je ne sors pas souvent .."

Première conversation, Et je lui est déjà mentis. Je ne sortais jamais, sauf pour acheter du pain, et encore je devais attendre que mon père dorme pour aller en acheter. Je ne pouvais rien faire, j'étais enfermée. Ma mère, avait tellement peur de mon père qu'elle le laissais imposer ces lois sur nous en nous regardant malheureuses. Mes sœurs, ma mère et moi on en pouvais plus. On voulais que sa se finisse mais comment ? Personne n'arrivais à l'affronter. Il avais tellement un regard froid que quand nos yeux se croisaient j'avais comme des larmes. Je ne sais pas pourquoi, je le craignais , et je n'était pas la seule.
Mon père était l'aînée de çes frères et sœurs et celles-ci étaient comme esclaves pour lui, quand il demandais quelque chose tout le monde devais s'y mettre, mème sa propre mère.
A l'époque il était réputé dans son quartier et même après s'être marier avec ma mère, cette réputation lui collais encore au cul.

Revenons au garçon, il avais un charme incroyable. Il avais ces manières et ces façon de parler, il n'était pas très renfermer, on aurais pu dire qu'il avais déjà l'habitude de parler au filles.

5 septembre 2013

On étaient toujours assis dans cette salle, pendant que les professeurs fessaient les présences, je discutait avec une fille, Roxelle qui étais à côté de moi, pendant les récréations on apprenais à se connaître et je lui es viser du doigt le garçon et elle m'a répondu qu'elle le connaissais. J'étais entonné. C'était des gens qui se connaissais du quartier, quelque chose que je ne connaissais pas. Il habitais à une rue de chez moi. Et ensuite, le professeur a citer son prénom, Nasser, voila comment il s'appelait.
Mon nom a suivis, on ces retrouver dans la mème classe.

Plus les semaines passaient plus je passait du temps avec lui, j'étais comment dire, comme son bras droit. On étais amis mais cela sautait au yeux qu'on étais bien plus. Après 1 mois, j'étais amoureuse, c'était la première fois. C'est arriver très vite, j'y connaissais rien et je ne savais pas comment m'y prendre. On a tenté quelque chose moi et Nasser, se fut court. Un soir moi et Nasser ont s'envoyait des textos, et il m'a demander de lui envoyer une photo, une photo pas comme les autres, quelque chose que je n'aurais jamais crue qu'il me demanderai. Une photo en sous vêtements. J'y es réfléchis, et pour c'était hors de question. Je lui est dis :
"Si je ne le fais pas que ce qui ce passera ?"
Et il m'a répondu d'une manière agressive que tout s'arrêtera la, que je n'allais plus jamais étendre parler de lui. Après 10 minutes j'ai sélectionner la photo et il a eu ce qu'il voulait.
C'était hors de question pour moi d'en arrêter la.
J'étais aveuglée.
Le l'en demain matin, je rentre en classe et Nasser n'étais pas là.
Au cours de néerlandais il avais une place précise et il n'y étais pas, et donc à la fin du cours j'ai été demandée à un ami à lui pourquoi il étais absent et il m'a répondu qu'il étais renvoyée de l'établissement. Je savais qu'il étais insolent avec les professeurs mais de là à être définitivement renvoyée j'imaginais pas.
J'étais choquée. Je savais pas comment sa allais se passer vu qu'il étais plus la.
Quand je suis rentrée j'ai chercher à comprendre il ne voulais pas me donner d'explication je lui es supplier de tout faire pour revenir, mais rien à faire son avis était définitif.

Sourire sous les larmes. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant