Sourire sous les larmes.

Chapitre 18

C'était vendredi, dernier jour avant la semaine de Toussaint.

Arrivé chez Siham

Moi :
_ Ouvre je suis en bas

Elle est descendu m'ouvrir.

Siham :
_ Sa vas toi ?
_ Oui sa vas
_ Reste habillée
_ Quel est ton plan ?

On attraper un fou rire.
Avec Siham c'était devenu une habitude, on devais faire quelque chose. On restais jamais à la maison comme de vrai filles, à regarder un film sur Netflix. Non, les journées et les soirées étaient pleinement chargées.

Siham :
_ On vas à saint guidon
_ Y'a quoi la bas ?
_ Rien mais on vas faire un tour
_ Vasi

On c'est remis de la poudre. Beaucoup de poudre. Elle avait cette habitude de mettre un rouge à lèvre rose Barbie qu'on remarquais de loin ét moi je m'étais toujours du bordeaux.
Moi :
_ Tu me prête ta chemise Burberry ?
_ Ouais vasi mets la
J'avais mis un jeans noir une chemise Burberry crème et elle un jean clair et un décolleté blanc. On avais la même doudoune noir et les mêmes baskets qui n'étais plus très blanche.

On est sortie pour attendre le bus. Il étais 17h. Mais comme on arrivais en hiver il fessais nuit quand il était encore tôt.

Assise dans le bus
_ Meuff tu sais j'ai vue Nasser il m'a dis que c'est finis avec Miriam ..
_ Arrête !!! Enfin il a compris lui ! Il avait vraiment de la merde dans les yeux.
_ Arrête
_ Quoi arrête ! Cette fille te l'a bien mise à l'envers
_ Ouais ...

Elle avait raison. Je continuais à avoir pitié d'elle. Après tout les coups qu'elle m'a fais je continuais à défendre l'indéfendable.

Siham :
_ Maintenant stop on vas aller acheter un paquet de cigarettes ét on vas se mettre bien.

J'avais tellement hâte. J'en avais besoin. C'était pour décompresser. Quand je fumais, même si c'était une cigarette sa me détendais, à cette période de ma vie j'étais en stresse, je voulais des réponses à des questions, je voulais changer de vie, je voulais qu'on me laisse vivre alors je fumais et je buvais.

Moi :
_ C'est loin saint guidon ?
Elle était même plus choquée par mes questions, elle savais que j'avais jamais bouger de chez moi.
_ Nan 20 minutes comme sa

On a commuée à discuter sur le trajet de tout et de rien.

Siham :
_ Ton père reviens quand ?
_ Je sais vraiment pas. Il a pas de date précise.
_ Il te manque ?
_ Pas du tout.
Siham savais tout ce que mon père me fessais endurée. Elle comprenais mon ressentis juste en se mettent à ma place.
Moi :
_ Il a cette haine sur moi depuis que je suis petite. Je comprends pas pourquoi sa m'est tomber dessus, pourquoi il me fais vivre tout sa !
_ J'en sais rien Ines. Mais j'espère que sa vas s'arranger parce que sinon t'es mal barrée pour plus tard.
_ J'espère aussi. De toute manière je compte me cassé un jour ou l'autre.

On est arrivé à saint guidon

On c'est tout de suite assise à l'extérieur de la station.
Après 5 minutes une bande de garçons nous ont abordée.

_ Wsh les miss vous faites quoi la
_ On est la et vous ?
_ C'est notre quartier, on rode.

On a commencer à parler, à rigoler ils étaient trop sympa. Aucun d'eux nous voulais du mal. Ils ont été correct tout ce qu'il voulais c'était rigoler.

On est rester la
30 minutes, 1 heure, 2 heures sans se rendre compte du temps qui passait.
On s'amusait tellement. On inventais des rap, j'avais un peu cette mentalité de garçon, sa leur fessais bien rire.
On se fessais des selfies, on s'échangeait nos Facebook et nos snap.
Ces gars là, on devais les revoir.

Après sa, Siham reçois un appel de sa mère qui nous demande de rentrée.
Il étais 20h. 
On leur a dit au revoir en leur promettant de repassée dans la semaine.

Dans le métro :
Siham :
_ C'est des gars trop cool sûr ma vie !
_ Ta vue sa ! On a trop bien ris à croire qu'on les connais depuis longtemps !
_ Je kiff les gens comme sa.

Avant d'arriver chez elle, on a fumée.
deux cigarette chacune avant demain.
On c'est parfumé et on est rentré.

Sa mère était sur le fauteuil, elle regardais la télé. Sa sentais tellement bon dans la cuisine.
Elle nous avait préparée à manger.
Du cordon bleu avec de la purée.
C'était tellement bon.
Elle était tellement mignonne. C'était ma deuxième maman. Elle est rentré si vite dans mon cœur, et moi dans le sien. Elle me considérais comme son autre fille.
Elle pouvais pas s'empêcher de me prendre dans ses bras quand je l'appelais Tati.
Sa vrai famille c'était Siham.
Elle était tellement forte cette femme. Elle fessais tout pour Siham. Elle lui donnais tout sur un plateau d'argent, mais Siham ne le voyais pas.

Ma mère fessais pas sa pour moi, c'est pour sa que je t'étais tellement attachée à sa mère et que j'essaie d'ouvrir un maximum les yeux de Siham.

On a débarrasser. Par respect je voulais faire la vaisselle mais quand je suis me suis dirigée vers l'évier elle m'a tout de suite dit :
_ Touche a rien ma chérie, allez dans la chambre moi je vais ranger.

Je lui est apporter les assiettes, j'ai essuyer la table et puis on est allé dans la chambre.

On a appeler Bil. On fais un appel video.
Sa fessais une semaine qu'on l'avait pas vu.
L'école il venait plus ét puis maintenant que c'était les vacances on pouvais le capter plus souvent.

Il étais chez lui complètement défoncé, il portais son peignoir rose il étais la à rigoler pour un rien sa nous fessais rire aussi. On lui a raconter notre soirée avec ses gars la il était tellement content qu'on c'étais amuser et qu'on avais rencontré Denny elles personnes.
On parlait d'un peu tout le monde. Surtout des ennemis de Siham.
Pleins de filles voulait la frapper, Bil était comme notre garde du corps. Il nous protégeait de tout le monde.
Siham adorais avoir des ennemis, des filles qui la déteste, elle était tellement forte face à toutes ces insultes et rumeurs qu'on pouvais dire sur elle.
J'ai vécu un peu de ce qu'elle a vécu, dans mon quartier, mais c'était pas plus grave que ce qu'elle endurais tout les jours.
J'allais mieux, je trainai tellement loin qu'on m'avais oublier.
Elle en avait tellement rien a foutre. Elle continuais à vivre sa vie. J'admirais son courage tout les jours.
Quand je trainais avec Siham, je voyais pas qui elle étais vraiment, ce que les gens disais pour moi c'était absurde, c'est ma meilleure amie, je voyais rien de mal en elle.

Mais c'est toujours après qu'on découvre les vrai visage ...