Chapitre 21

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Cela fessais un mois que je n'avait plus mis les pieds à l'école.
Entre tabac, alcool et vol, je ne fessais plus rien.
J'étais devenue un voyou mais avec du rouge à lèvre et un sac à main.
Quand je commentais des merdes, les gens me disaient toujours "respect", "tu gère", "Aya t'es une vraie folle", "T'as des couilles"
J'aimais quand on me traitais comme une fille courageuse qui n'a peur de rien, mais j'avais peur justement et je savais que si
je plongeais, personne n'aurais plonger avec moi. Je me voilais la face toute seule, je savais que c'était pas des fréquentations avec qui je devais traîner mais je le fessais, comme si je devais me chercher, aller le plus loin possible pour connaître mes limites.
Mais j'en avait pas.

Aujourd'hui en me levant, j'ai pris mon déjeuné et je me suis maquillée. Je fessais tellement peur avec mes cernes, j'avais mis une couche de font de teint de le poudre de l'abri cernes et du mascara.
Je préférais avoir le teint orange que de montrer au gens et à ma famille mes cernes.
J'ai lissé mes longs cheveux et j'ai fais genre j'allais à l'école.

Moi à Siham :
⁃ J'arrive
⁃ Oke

C'était devenue une routine d'aller chez Siham au lieu d'aller en cours.
En rentrant chez elle, elle était pas bien du tout.
Hamza l'avait quitter.
J'ai essayer de la réconforter du mieux que je peux je la prenais dans mes bras.
J'étais très très forte pour donnée des conseils, mais pour ma gueule c'étais impossible de les appliquer.

Je lui est demander de se préparer pour sortir de changer les idées.

On a rejoins Bil et le reste de la bande.
On c'est rejoins au shopping à Anderlecht.
Quand on étais tous au toit moi et Houda on avais envie de prendre quelques trucs donc on est descendu au magasin Hema.
Rouge à lèvre, mascara, poudre tout était dans nos poches.
On vomis absolument tout et n'importe quoi aussi, comme des boite de rangement des choses inutiles qu'on auras jamais besoin.
On est remonter au toit et on a vidée nos poches et on a donnée quelque truc à Kenza et Siham.
On a fumé et ensuite on est redescendu.
On avais vu un cadis sur le trottoir alors je suis monté dedans.
Bil à commencer à courir avec, j'étais tellement morte de rire que j'avais peur qu'il me renverse avec le cadis.
Il a tellement foncé que quand il c'est arrêter le cadis à commencer à rouler dans les sens et je suis arrivé sur la route. J'étais à deux doigts de mourir, mais au moins j'ai ris.
Déjà 15h l'heure passais tellement vite avec eux, on s'ennuyait jamais.

J'ai demandée à ma mère si je pouvais aller faire un devoir chez Siham elle m'a répondu oui alors je suis rester avec elle.
Siham avait jamais son téléphone dans son sac, il était tout le temps dans ces mains elle parlais toujours à des milliards de gens en journée.
Elle parlait déjà à un autre garçon qui s'appelait aussi Hamza.

⁃ C'est qui lui ?
⁃ Un pote d'y a longtemps, il me colle il veut sortir avec moi depuis un moment la ?
⁃ Que ce qui t'en empêche, Hamza c'est barrée teste avec lui peut être que sa mâcheras ?
⁃ Ouais mais tu sais il est trop collant
⁃ Trop collant, trop absent t'es jamais contente !
⁃ C'est vrai je vais essayer.

D'ailleurs tu vas essayer demain !
Il étais pas mal le nouveau Hamza, j'avais jamais vue des dents aussi magnifique que les siennes, super droite et blanche de malade.

Siham :
⁃ Demain on vas en cours le matin pour régler nos absence et puis à midi on reviens à la maison.
⁃ Oke sa marche.

On a commencé à discuter de Nasser. Nasser Nasser et toujours Nasser. Il était trop dans ma tête. Je devais en parler.

⁃ Si vous devez vous retrouver vous vous retrouveriez. Laisse le mektoub se charger de tout sa.
⁃ C'est vrai

Mais dans ma tête je savais que tout servait à rien. Il me déteste je fessais que me dire sa dans ma tête. J'avais beau m'imaginer finir avec lui je savais qu'on allais jamais finir ensemble, il m'aimais pas, il s'en foutait tellement de moi il avait tellement de fille à ses pieds, pourquoi s'arrêter pour moi ? J'étais rien pour lui, peut être pas une de plus mais rien d'assez important pour qu'il s'arrête.


Sourire sous les larmes. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant