(Lemon scene)
Lorsque ces faibles mots furent prononcés au coin de mon oreille... mon souffle se coupa. Je ne savais pas si c'était l'alcool, le manque d'affection ou un simple mélange qui me donnaient envie de rentrer chez moi, de me déshabiller et de faire l'amour toute la nuit.
C'est ainsi que j'attrapai sa main, et que nous courrions, mes pieds nus contre ce béton, ses doigts joints au miens. Je ne pouvais m'arrêter.
Nous nous arrêtions des fois, pour s'embrasser comme deux ados fous amoureux, pour se caresser, et repartir de plus belle au petit galop.
Alors que j'enfonçai ma clé dans ma serrure, Tobias commençait de doux baisers dans mon cou, sa langue chaude chatouillait ma peau, mais l'envie était si folle que je ne pouvais résister.Tobias : You won't be able to walk tomorrow... Tu ne seras plus capable de marcher demain.
Elza : Give me everything.
Donne moi tout.Il sourit, et m'embrassai avec passion tout en ayant plaqué mes mains contre le mur.
Je ne me laissai pas faire, et poussai la porte de l'appartement...
sur le chemin de la chambre, nous faisions voler nos habits. Je ne portais rien, plus rien, alors que Tobias, le caleçon recouvrant son anatomie, enroula mes jambes autour de sa taille, ses mains accrochés à mes fesses, les baisers dans le cou, toujours plus intenses.Il me balança sur le lit, mon corps à nu face à lui, son regard me mitraillant, se mordant toujours plus les lèvres.
Il embrassa délicatement ma poitrine, touchant toujours plus mon corps, le caressant, l'admirant au touché. Il descendit sur mon ventre, continuant les léchouilles en dessous de mon nombril. Je riais silencieusement car il me chatouillait mais j'adorai ça... et soudainement, il écarta mes jambes d'une puissance incroyable que mes deux genoux venus claqué le matelas de chaque côté... j'adorai ça, même si ca faisait 3 ans que rien de tout ça n'était arrivé.Il passa un premier coup de langue sur mon anatomie. Mes yeux s'écarquillèrent. J'avais oublié cette sensation si folle, si amusante, si indescriptible, que... ça y est, je me laissai faire, je me laissai perdre contrôle de mon corps. Mon corps était sa propriété.
Les coups de langues s'intensifiaient, et dieu merci, c'était merveilleux.
Pendant une vingtaine de minutes, il ne cessait de me donner du plaisir, et honnêtement.. la première chose à laquelle je pensais, c'était " Comment ai-je pu me passer de sexe pendant 3 putain d'années!? ". C'est vrai ça, après tout, il y a des choses dont les femmes ne peuvent se passer, et je devine que le sexe en fait parti.Je me relevai de plus belle avec de l'assurance, le poussant, dos sur mon lit, et doucement, avec un regard de braise, je caressai le tissu qui recouvrait son anatomie, son sourire s'intensifiait, je le sentis même rire mais je ne pouvais plus rien contrôler, nos envies prenaient le dessus. Je ris, tout en enfilant ma main dans son caleçon, et de toucher son sexe à main nu. Je le sentais se durcir au passage de ma main, je frétillais davantage.
J'étais nerveuse sans vraiment l'être parce qu'à vrai dire, je savais le faire, je savais faire l'amour mais je ne savais le faire qu'avec une seule personne... Peter.Alors que son ex était calé entre mes lèvres et que je ne me gênais plus pour être une vraie chaudière et lui donner tout le plaisir nécessaire, je ne faisais que penser à Peter, à Yannis, à ces deux hommes qui me font du mal mais qui me font aussi faire du mal. Je ne comptais en aucun cas rappeler Tobias après cette nuit, je ne voulais pas son adresse, son Facebook, son snapchat, savoir comment il va, avec qui il traine, ce qu'il compte faire demain, si il est sur Tinder ou Lovoo.. je me foutais de sa vie, de lui même à vrai dire. Je voulais juste me vider l'esprit... et quitte à me faire fourrer par tout ce qui a un sexe masculin, je me foutais.
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Douce France
RomanceElle s'appelle Elza Chapuit, il s'appelait Peter Tamarua. Elle était amoureuse, il l'a trompé. Elle est repartit vivre en France, il est sans doute toujours en Nouvelle-Zélande. Elle a refait sa vie, lui aussi. Et 3 ans après, Elza a ré-apprit à v...