Janvier !
Ma fête a été le meilleur moment de cette année, pour mes 18 ans, je ne pouvais demander mieux...
Je sais, je sais, vous n'aimez pas quand je zappe autant de détails... 😂😂😂
On en était où?
Oui! Cette fameuse matinée...Je m'avance vers elle, monte sur le lit, rentre sous les draps, me dirige vers sa chatte. Le morceau de glace en main, je le mets dans ma bouche :
IMPOSSIBLE QU'ELLE NE SE LEVE PAS !
Elle n'arrête pas de me demander qu'est ce j'allais faire et ca devenait agaçant. Elle va se la fermer bientôt. Je mets la glace dans ma main et je la vois qui lève le drap afin de regarder ce que je fais. Je remonte pour l'embrasser mais elle refuse. Et argument à l'appui, elle avance:
"Je veux pas de ta bouche, tu me cache des trucs, je veux savoir ce que tu vas me faire.
_Pourquoi je devrais te le dire?
_Donc, tu vas pas me le dire?
_Tu as tout compris!
_Alors ne m'embrasse plus et ne me parle plus.
_Tu es sérieuse!
_Très!
_D'accord, c'est comme tu veux"
Je prends mon temps pour regarder son visage magnifique qui me fais tant sourir. Elle veut pas de mes baisers, je sais quoi faire. Je me recouvre la tête et dépose mes lèvres sur ses seins et elle sursaute aussitôt. Je commence à les sucer passionnément et ses mains entrelacent dans mes cheveux. Je continue de plus belle et voyant celà de ses dents elle cherche mes cheveux. Je m'arrête un moment et la regarde genre pour lui dire (yo sak pase w la) je te comprends pas! Je sentais la glace fondre dans ma main droite presque anesthésiée. Je la mets dans ma bouche après m'etre recourvert la tête encore une fois. Je suis paré à lui faire un cunni mais à peine sur le point de commencer qu'elle me retient. La glace, elle, commence a fondre sérieusement. Il n'y a pas 36 solutions: je mets ma main gauche dans son cou, et ma main droite, lui, tient ses deux mains. De ses 1m63, j'ai pas grand effort à faire. Je dépose la glace à quelques centimètres plus haut de son vagin, et je la regarde fondre. Sur le coup, elle essaie de bouger mais je la rassure. Je continue de plus belle suivant les conseils que m'avait donné EdwinWritter : suis le ruissellement que coupe le mont Clito et qui se verse au vagin et tu te délecteras de cette eau bénie, et que le cunni soit !
Elle me tenait les cheveux tellement fort que j'ai comme l'impression qu'elle les arrache, mais rien de tout ça ne peut me contraindre à arrêter. Je le fais avec une tels passion, comme si c'est la dernière chose qu'il me restait à faire dans ma vie. Finalement mon majeur aider de l'index, glisse la glace jusqu'à son vagin. À partir de là, elle commence a trembler, regardant ses cuisses, on aurait dit un vrai tremblement de terre. Je finis par la pénétrer de mon majeur avec la glace en surplument. Pour sortir de la monotonie, recommençant avec mon cunni, je lui mordille légèrement le clitoris. En réponse, surpris, elle recule d'un seul bond. Ne pouvant s'empêcher de laisser sortir un grand sourire.
"Cherieee!!! Tu veux me faire mal maintenant.
_Tu n'as pas aimé?
_J'ai adoré, même plus que ça.
_Et?"
Elle s'approche de moi, m'embrasse me mord les lèvres et me chuchote à l'oreille:
"Je veux que tu me fasses mal!"
Ne voulant pas paraître comme simple expérimenté, ce que je suis réellement, je lui réponds après m'être lécher les lèvres:
"Ce que de la souffrance tu ignores encore, je te l'apprendrai..."
On s'assied l'un en face de l'autre pour parler un peu de nous. Je commence par lui demander son nom évidemment et elle me répond enfin:
"Gaëlle!
_Ok, Gaëlle. Que fais tu dans la vie?
_Bon, benh je travaille à l'aéroport, ça fait déjà 3 ans. Et toi, dis moi ce que je ne sais pas.
_Tu sais pratiquement tout, avec qui je vis et qui sont-ils, donc. Si il y a autre chose, tu les sauras par toi même.
_Ok, je ne vois que ta ma mère et ta petite soeur. Et ton papa, il est où?
_Il fait sa vie de son côté, on se parle de temps en temps au téléphone.
_Qui s'occupe vraiment de toi? En considérant le fait que ta maman s'occupe de ta soeur et ton papa qui n'est pas là?
_Je m'occupe de moi, c'est simple.
_Je doute que ca puisse te suffir
_Il le faut.
_Je suis là maintenant peu importe le soutien, l'affection, tu peux compter sur moi. Sincèrement, quand je t'ai vu pour la première fois, avec tes lunettes et ton sourire pas mal de fois forcé, j'ai eu pitié. Personne d'aussi jeune devrait être aussi sérieux.
_Donc en gros tu feras ce que ma mère ne fais pas, c'est ca?
_Non, c'est pas ca.
_Éclaire ma lanterne alors.
_Je serai celle qui comblera les vides que ta copine sera incapable de combler.
_Et si je te disais qu'elle me comble totalement.
_Ce serait contradictoire, vue ce qu'on a fait hier et arrête moi si je me trompe tu n'as pas penser à elle en le faisant.
_...Donc?
_Donc, je sais que tu as besoin de moi en terme d'affection beaucoup plus que j'ai besoin de toi en ce qui concerne mes pulsions masochistes.
_Pourquoi moi! Je viens d'être majeur et je pense qu'il y a mieux que moi pour faire ça. Donc qui vous dit que je pourrai prendre les reines et assouvir vos fantasmes?
_Faut que tu saches que qui contrôle l'esprit contrôle le corps donc je pense que ce sera facile pour toi de faire ça."
C'est sur ces paroles que je décide enfin de rentrer chez moi et ceci en dépit de sa désapprobation, pensant que ce qu'elle venait de dire m'a quelque peu froissé.
Je sors difficilement de chez elle et monte enfin chez moi. Il est environ 9h, je me prepare à prendre un bain. Après quelques pompes, je file sous la douche. Automatiquement terminé, j'ouvre le placard, récupère des vêtements et les jette sur le lit. En prenant mon maillot je constate mon téléphone. Je le prends et l'allume, ca fait comme des lustres que je ne l'ai pas touché. À peine allumé je retrouve 24 appels en absences et 90 messages de Caroline, manmi et Edwin. J'appelle manmi afin d'éviter qu'elle ne s'inquiète:...
"Manmi chérie !
_Mon bébé, ou étais tu, je n'ai pas cessé de t'appeler.
_Je viens de me réveiller manmi, je dors depuis ton départ.
_Je me suis fait un sang d'encre.
_Ne t'inquiète pas manmi.
_Tu vas bien chéri ?
_Oui, ca va et toi ? Vous avez bien dormi?
_Tout va bien pour nous, à part que tu nous manque.
_Tu reviens bientôt, alors.
_tu as pris quelque chose ce matin? Il y a ...
_J'ai mangé manmi, ne t'inquiète pas pour moi, détends-toi.
_Ok mon chéri, on se parle plus tard, on va se déplacer, je t'aime.
_Je t'aime aussi manmi."
J'envoie un message à Edwin et je finis de m'habiller. N'ayant aucune réponse après, je décide d'appeler Caroline que je n'arrive pas non plus à joindre.
Je décide alors d'aller me préparer quelque chose à manger. J'entre dans la cuisine et me cuisine un sachet de nouilles.
Je n'arrête pas de repenser a cette nuit que je venais de passer, et a notre discussion de ce matin. Qu'est ce qui m'arrive? Je me mets a penser si vraiment je ne pensais pas a elle hier, si vraiment je n'avais aucun scrupule, franchement je n'arrive pas à y croire.
J'appelle encore une fois Caroline qui ne répond toujours pas. Je décide d'écrire mon papa, le fait que Gaëlle m'ait demandé pour lui ait fait que j'ai envie de lui parler.
"Papi.
_Gio!
_Comment vas-tu ?
_Oui Gio, le travail me fatigue et toi?
_Ca va papi.
_Comment va ta maman, ta soeur?
_Elles vont bien, elles sont sorties, je suis à la maison.
_Pourquoi tu n'es pas sorti toi aussi?
_Je finissais un devoir.
_C'est bien, filston. Prend soin d'elles, n'oublie pas que tu es l'homme de la maison.
_Promis papi!
_Écoute, qu'en dis-tu si on se fasse l'émission ensemble demain à la radio, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu.
_Avec plaisir papi, vers quelle heure?
_Disons 10h.
_D'accord papi, demain 10h.
_Je t'attends Gio.
À peine fini, je persiste à appeler Caroline, mais toujours sans réponse. Je commence à m'inquiéter et aussi a un peu culpabiliser, mes messages restent sans réponses, elles ne sont même pas délivrés. Je n'arrête pas de faire les 100 pas le long du salon.
Je ne veux pas que ca me pousse ni à boire ni à refaire la même erreur qu'hier soir.
Me sentant un peu crevé, je retourne dans ma chambre et m'allonge sur le lit avant de me laisser emporter par le sommeil. Je me réveille et ne vois plus rentrer le soleil, quelle heure peut il bien être? Je jette un oeil à mon téléphone... Putain, il est déjà 8h ! Je remarque que j'ai reçu 3 messages. Seigneur faites que ca soit elle!
Le premier est d'Edwin, le second de Gaëlle et enfin manmi qui me souhaite une bonne nuit. Celà fait deja deux jours qu'on ne c'est pas parler et cette attente devient lassante.
J'ai besoin de lui parler, elle me manque beaucoup et être seul dans la maison n'aide pas trop. J'ai le choix entre me recoucher et espérer que vienne le sommeil ou descendre trouver ma voisine et finalement j'opte pour la deuxième, vu les promesses de ce matin. Je prends mon téléphone cette fois, accompagné d'une bouteille de whisky je verrouille les portes pour ensuite descendre. Arrivé, je frappe et sans attendre, elle ouvre comme si elle m'attendait. Sans dire un mot, je lui montre la bouteille et elle répond par un sourire puis me fais rentrer avant de refermer derrière moi.
"Tu vas bien?" Me demande-t-elle se dirigeant vers la cuisine, à la recherche de verres.
"Ouais, ouais, et toi, la forme?
_Ca va! Tu veux de la glace?
_Non, merci mais pas ce soir."
Regardant ses anciennes photos posées sur ses meubles puis ensuite elle, revenant vers moi, je me demande ce que je fais là. Au fond, je savais qu'à chaque fois je viendrais, cela pousserait encore plus loin les limites de notre relation. Mais pour l'instant je veux juste avoir de l'attention et bizarrement que de sa part.
"Qu'est ce qui va pas" Demande-t-elle.
"Comment ca? Venir chez toi est synonyme de malaise?
_J'ai pas dit ça, mais vouloir boire un whisky sec à cette heure ca fait penser.
_Ouais peut-être.
_Tu veux en parler ?
_Non.
_Je vois. Pas la peine d'être agressif.
_Tu parles trop, vient, on va dans ta chambre."
Je finis mon verre d'un coup et je me lève, afin d'y aller en laissant mon téléphone sur la petite table du salon. Quelques secondes plus tard, elle se lève et me suis.
À peine rentré dans la chambre, que vibre mon téléphone:
Bonsoir Gio...
Quelque chose de très compliqué m'est arrivé, ca va pas très bien, je ne sais plus trop où j'en suis, j'ai passé la nuit à pleurer. Je t'expliquerai bientôt, tu me manques, j'ai tellement besoin de toi en ce moment...
je t'aime et s'il te plaît, ne reponds pas à ce message.
Caroline
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Pervertis
Teen FictionDe nos jours etre puceau/pucelle est un fardeau. Beaucoup de jeunes veulent s'en débarrasser par tous les moyens !