Pervertis

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Je m'excuse pour ma longue absence, j'étais pas mal occupé à préparer mon bacc... L'important c'est que je suis là.

Depuis le jour où Patricia m'avait avoué ses sentiments et m'aies dit qu'elle serait toujours là pour moi, elle est devenue la personne la plus présente et la plus importante de ma vie étant donnée que ma mère et ma soeur ont voyagé, épreuve que j'ai difficilement surmonté grace à son aide mais aussi de pas mal de mes proches amis que vous connaissez déjà. J'ai fini par comprendre que ce genre de chose arrive et qu'il faut quoi qu'il en coûte, aller de l'avant.
Ça fait déjà 6 mois maintenant, que Patricia et moi nous nous fréquentons. 6 mois depuis que je vis mon rêve de gamin : fréquenter une femme largement plus âgée que moi... Cela dit je qualifierais pas encore notre relation comme étant une vraie relation amoureuse car même si durant ces 6 mois, on a appris à se connaître beaucoup plus, à mieux communiquer mais on à jamais discuter sur le type de relation que nous entretenons et le pire dans tout ça, on a pas encore couché ensemble... Et oui ! 6 mois à ne faire que l'amour, elle m'avait suggéré de faire une petite pause sur tout ca, je veux dire le sexe et tout ce qui va avec, dans le but de prendre du recul afin de mieux me retrouver pour savoir ce que je veux vraiment, ce qu'il me faut. Ce que j'ai accepté sans broncher car, finalement elle n'avait pas tort si on considère mes aventures passées...
Je suis maintenant en vacances et à un moment de ma vie ou je me questionne sérieusement sur mon avenir. J'ai quelques doutes en ce qui concerne mes deux choix principaux, à savoir la psychologie et la diplomatie mais aussi en ce qui concerne le choix de l'université.  Mes journées se ressemblent presque toutes: Préparer mon petit déjeuner, jouer à la console, faire des exercices, aller chez Patricia puis rentrer chez moi pour regarder mes series...
Il est déjà 11h ce matin et je me reveille après avoir rêvé d'elle pour la énième fois depuis le debut des vacances. Mon premier reflex est de prendre mon téléphone dans le but de vérifier si Patricia m'a écrit... Et ouais, en effet: «Bonjour mon cheri»
[05/08/2019 09:56:55] Patricia: Bonjour mon cherie!
[05/08/2019 11:43:52] Giovanni Adrien: Bonjour mon coeur.
[05/08/2019 12:02:35] Patricia: Tu vas bien??
[05/08/2019 12:02:44] Giovanni Adrien: Oui et toi?
[05/08/2019 12:03:00] Patricia: Oui mon coeur.
[05/08/2019 12:03:09] Giovanni Adrien: J'ai encore rêvé de toi hier soir.
[05/08/2019 12:11:48] Patricia: Ah oui? Et tu as vu quoi cette fois ?
[05/08/2019 12:20:44] Giovanni Adrien: Je t'expliquerai lorsqu'on se verra ma cherie...
[05/08/2019 12:25:33] Patricia: D'accord, en parlant de se voir, il faut vraiment qu'on  ce voit.
[05/08/2019 12:28:39] Giovanni Adrien: Il y a un problème ?
[05/08/2019 12:42:19] Patricia: Non, rien d'inquiétant. J'ai juste envie de te voir et de te parler de quelque chose.
[05/08/2019 12:51:41] Giovanni Adrien: Bah, je vais venir tout à l'heure. Laisse moi le temps de prendre un bain.
[05/08/2019 12:52:01] Patricia: Ok, je t'attends.

Sur ceux, je me lève rapidement du lit et cours sous la douche. Ce n'est qu'après être rentré, que je réalise que je n'ai pas pris de serviette. Aussitôt terminé, j'en sors et attrape la serviette pour éviter de mouiller davantage le sol. J'enfile méticuleusement mes vêtements et prend tout mon temps à me regarder devant le miroir. Immédiatement terminé j'appelle un chauffeur. Je suis impatient à l'idée de me rendre chez elle, bien plus que les autres fois car elle me dit que rarement qu'elle a envie de me voir et surtout en considérant aussi le fait que ça ne fait même pas encore deux jours depuis qu'on s'est vu chez elle. Quelques minutes plus tard, le chauffeur est là et nous voilà maintenant en route. Je passe d'abord au supermarché le plus proche afin d'acheter de la crème. Je me souviens que son parfum préféré est le rhum raisin mais vu qu'il n'y en pas je choisis la vanille. Je m'empresse de payer et de ressortir vite retrouver le chauffeur à qui je ne voulais pas trop faire attendre, enfin c'est ce que je me disais car je ne voulais pas accepter l'idée que je sois aussi impatient de voir Patricia.
M'ayant déposé à l'entrée, je continue cette longue entrée, écouteurs a l'oreille, avant de recevoir un appel de Luigy:
«Bro!
_Brother!
_Comment vas tu ?
_Ça va et toi ?
_Ça roule. Ecoute les gars de la classe viendront à la maison tout à l'heure, il y aura de la vodka, de la weed, des meufs en gros tout ce qu'il faut... Tu viens ?
_Non, mon frère, je suis devant chez Patricia. Je passe la journée avec elle aujourd'hui.
_Tu préfères choisir Patricia qui veut pas encore baiser! Et nous laisser en plan?
_Ouais, mec je préfère!
_Tu es passé à l'ennemie!
_La beauté ne l'a jamais été.
_Ok, ok, le romantique à plus!
_A plus mec, amuse-toi! »
Au pas de la porte, j'enlève mes écouteurs que je mets dans ma poche puis je frappe et quelques secondes plus tard elle vient m'ouvrir, encore une fois presque nue: une culotte et une grande chemise africaine lui arrivant presqu'aux genoux, qui ne cache cependant pas ses rondeurs.
«Faudrait qu'on parle sur la façon dont tu t'habilles quand tu es chez toi. Lui dis-je
_Elle a quoi ma façon de m'habiller ?
_J'espère que tu n'ouvres pas la porte à tout le monde comme ça ?!
_C'est moi ou tu es jaloux?
_Tu aimerais ?
_Réponds-moi et tu sauras.
_Faut croire que si.
_C'est bon à savoir !
_Ouais, ouais. J'ai apporté de la crème, il n'avait pas ton parfum préféré malheureusement alors j'ai improvisé, j'ai pris vanille, j'espère que tu aimes !
_Oui, c'est bon, mon chou. Merci, tu es un ange. »
Elle prend le pot de crème, le depose sur la table puis l'ouvre. De son index, elle goûte puis le mets au frigo. Elle revient ensuite vers moi et me demande:
«Ce rêve, tu me le raconte ou?
_Ah ouais, le rêve ! Pas avant que tu me dises pourquoi tu voulais tant que je vienne.
_Toi d'abord.
_Ecoute , je pense qu'on peut plus se permettre d'entretenir la même relation psy-patient donc arrête de faire en sorte que je passe en premier.
_Tu as raison...
_Alors vas-y, tu as toute mon attention.
_Ok, je me lance. Pour commencer, parlons de notre relation. On a jamais pris le temps de déterminer quel genre de relation c'est! Donc, tu en penses quoi ? Je veux pas te mettre la pression sur le fait qu'il soit obligatoire de déterminer tout ça, mais faut bien qu'on se mette clair la dessus.
_Tu comptes beaucoup pour moi, tu es même tout ce qu'il me reste et je suis sur de ne pas vouloir qu'une personne rentre ni dans ta vie ni dans la mienne et finisse par menacer tout ça. J'aime ce que tu vois en moi, contrairement aux autres tu vois en moi l'homme que je peux devenir et non pas celui que je pense devenir. Et si toutes les souffrances que j'ai pu subir avant de te rencontrer étaient le prix à payer pour qu'il y ait quelque chose entre nous, je serai prêt à souffrir beaucoup plus. Je te dis pas tout ça dans l'espoir que tu baisses ta garde et tout, non, je pense et ressens chacun de mes mots comme je ressens chaque battement de mon coeur.
_Waw, Giovanni, tu me laisses sans voix, je sais pas quoi dire.
_Faut croire qu'on apprend pas ca en psychologie...
_Faut croire que non😅. En toute sériosité, je m'inquiétais plutôt du comment tu allais supporter tout ça. Du genre, je suis pas jeune et ... »
Je l'interrompt et reprends:
«Laisse moi finir, et je te veux quelqu'en soit l'obstacle à surmonter. Arrête de me sur protéger et laisse moi commencer à apprendre à te protéger.
_Et ta mère qu'est-ce qu'elle pensera de tout ça.
_On en est pas encore là.
_On pourra pas lui cacher une telle chose très longtemps.
_Shutt, elle saura quand il le faudra mais en attendant concentrons nous sur nous...
_Tu fuis!
_Non, je vis.
_Et pour tes amis ? Tu pourras supporter leurs dires ?
_Et pour mon coeur? Il pourra supporter ton absence ?
_Bon, dis plus rien!
_Tu sais quoi, c'est toi que je veux et personne d'autre. Je me sens en sécurité nulle part d'autre qu'avec toi et je ne cesserai jamais de croire que tu sois la dernière chance que mon coeur aura.
_A t'entendre, je n'arrive même plus à mettre de l'ordre dans ce que je ressens. J'ai super envie de toi et d'un autre côté je veux juste rester dans tes bras. Je me sens comme une gamine amoureuse.
_Bon retour à l'enfance. Tu sais, allons dans la chambre. On aura les idées plus claires pour penser auquel de tes désirs il faut assouvir...
_Faisons ça. »
Elle me prend la main et nous prenons la direction de sa chambre, passe par la cuisine et récupère le pot de crème. A première vue, je sens qu'on va se mâter un film. On rentre dans la chambre et je m'allonge le premier. Elle, elle dépose le pot sur la table de nuit, prend deux tasses, en met pour moi et me le donne puis se sert avant de s'allonger à son tour. On est tous les deux allongés sur le côté, dégustant cette texture malléable et en même temps se regarder passionnément, à se regarder comme si la notion du temps n'avait jamais existé, comme si Dieu n'avait créé que nous deux. Personne avant elle n'a su me regarder avec tant de passion. Dans ses yeux je peux voir cette peur de me perdre, cette satisfaction du fait que je sois là... Je dépose ma tasse puis commence à lui caresser le visage, elle répond à mes caresses en tournoyant la tête et fermant les yeux. Voyant ceci, je glisse délicatement mes doigts de sa joue jusqu'à son cou, où de là, je laisse ma main prendre la forme de son cou que je presse doucement et continuellement. Face à ça, elle soulève légèrement la tête et pousse un petit gémissement à peine audible. Je me fais pas prier, je lui enlève la tasse des mains et elle se met tout de suite sur le dos.
Je passe au dessus et commence à l'embrasser. Je sens monter l'excitation puisque ce baiser au début rempli de passion se transforme petit à petit en bataille de lèvres, ce que je calme rapidement. Nos fronts collés, nos lèvres humides séparées de quelques centimètres, nos souffles se synchronisant, on savoure ce moment comme si chaque seconde était la dernière.
Je déboutonne sa chemise bouton par bouton en prenant soin de déposer un baiser à chaque partie de son corps libérée jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de bouton. C'est pas ça qui va m'arrêter alors je continue mon chemin avec mes baisers jusqu'au dessus de sa culotte tout en lui caressant le corps, plus précisément ses seins et elle, elle répondait en enfonçant ses doigts dans mes cheveux. Après avoir déposé une bonne dizaine de baiser sur sa culotte légèrement humide, je lève les yeux vers elle et souris. Je remonte l'embrasser en me laissant par mon excitation. Elle n'hésite pas à son tour à enlever avec rapidité mon maillot avant de glisser sa main dans mon jeans juste après avoir défait ma ceinture. Quelques secondes après, voulant prendre le contrôle, je redescends jusqu'à son sein droit que je commence à sucer puis de ma main droite, je lui caresse le vagin à travers la culotte. Je me décide enfin à lui enlever ce morceau de tissu qui m'empêchait de lui caresser comme il le faut son vagin. Ses gémissements s'amplifient de plus en plus, elle essaie d'enlever mon pantalon mais je la retiens. Je saisis sa main et la plaque contre le lit. Juste après, elle me regarde avec des yeux de tigresse affamées alors je lui dis:« Tu es trop pressée, j'ai pas encore jugé que ça soit le bon moment.
_Mes pulsions sexuelles auront à augmenter à chaque fois que tu me diras non.
_Bah, tant mieux!
_Je te déteste !!!
_Tu es une très mauvaise menteuse!»
Je recommence à l'embrasser pour la faire taire. J'arrête un moment, me lève et récupère ma tasse de crème qui, est sur le point de fondre. Je me remets a ma place d'avant: à genoux au dessus d'elle et je mange tranquillement ma glace en regardant ses seins magnifiques. De son côté, elle me regarde avec des yeux remplis à la fois de haine et de désir comme si elle veut me dire « Mais qu'est-ce que tu fous, putain. Tu vois pas que j'ai envie de toi?»
Je fais volontairement tomber une goutte de crème sur son ventre et le contact glacé sur son corps chaud la fait sursauter et gémir. Je m'excuse finalement avec un air pervers et essuie tendrement ma maladresse calculée avec ma langue. Je recommence de plus belle mais cette fois je vise mieux, cette première goutte tombe exactement sur son clitoris, la deuxième, troisième sur ses grandes lèvres et une dernière à l'entrée de son vagin, jackpot, il ne me reste qu'à nettoyer tout ça, en tant que travailleur appliqué, je ne tarde pas à commencer mon travail. Je commence d'abord par son clitoris et a peine l'avoir effleuré elle se met déjà à gémir et ceci beaucoup plus qu'avant. Ayant fini de nettoyer, je m'occupe maintenant, outre-nettoyage de ce clitoris avant et par la suite je me laisse guider par sa main qui entrelace mes cheveux vers les parties lui procurant le plus de plaisir. Je prends enfin les commandes et lui enfonce délicatement un doigt. Mes mouvements de va-et-vient s'amplifient de plus en plus et suivant le même rythme mes suçons de son clitoris. Les malheureux, mes cheveux, je les sens presque sortir de force de ma tête mais c'est un prix que je suis prêt à payer pour qu'elle passe un moment d'extase. Elle me serre la tête de ses cuisses, et l'enfonce de ses mains, j'arrive à peine à respirer mais je m'en fous car je me dis que je ne serai pas le seul à mourir car si je meurs asphyxier, elle, de son côté elle mourra de plaisirs.
Et boom, subitement un liquide froid m'éclabousse le visage. Sans prévenir, elle a jouit.
« Je suis désolé!» Me dit-elle, choquée.
_Mais, ce n'est pas grave.
_Si, c'est gênant! »
Dans le but de la rassurer, j'introduis délicatement deux doigts dans son vagin. Toujours avec mon regard pervers le mets dans ma bouche ensuite et avec l'air d'aimer ça. Je recommence cette même action mais cette fois, ces deux doigts vont plutôt dans sa bouche.
«Maintenant, c'est le bon moment !»
J'enlève d'un éclair mon pantalon et mon boxer. Je récupère dans la poche arrière un préservatif que et me dirige vers pour finir ce que j'ai commencé. M'apprêtant à monter du lit je suis interrompu par une main se déposant sur mon torse.
« Laisse moi faire et ne me touche pas!» me dit-elle.
Elle me pousse sur une chaise pas loin du lit prend le préservatif mais ne le déchire pas tout de suite. Nous étions nus tous les deux et tout d'un coup, elle se met à quatre pattes, dirige sa tête vers mon gland et commence une fellation. J'inspire un grand coup et expire un gémissement involontaire. Surpris mais heureux de cette action, je ne peux que la laisser faire, impuissant. Après quelques minutes de montée et de descente à des rythmes irréguliers, elle sort mon penis de sa bouche juste après m'avoir faite une gorge profonde et s'attaque maintenant à mes testicules. La tête en l'air, les mains derrière le dos et des gémissements insoutenables, je ne peux que savourer tant de plaisirs. Je suis au bord de l'éjaculation alors je l'arrête et la demande de s'asseoir face a moi. Elle se lève, laisse tomber le préservatif, lèche ses doigts et caresse l'entrée de son vagin avant d'attraper mon penis. Va-t-on le faire sans préservatif ? Ça va être ma premiere vrai fois sans préservatif et faut dire que mon excitation a doublé. Elle avance beaucoup plus vers moi et s'assied doucement... je sens entre mon gland dans son vagin chaud et je me contrôle à peine pour me ne pas éjaculer sur le coup. Elle continue jusqu'à tout prendre et ceci en gémissant tres fort mon nom durant.
Je la regarde me chevaucher toujours sans permission de la toucher. L'excitation est à son comble et les gémissements envahissent toute la maison, je ne peux plus supporter ne pas pouvoir la toucher. Je désobéis et agrippe ses fesses afin d'accélérer ses mouvements, ma bouche, elle cherche a trouver un teton qui, finalement l'ayant le suce comme jamais auparavant. Elle monte et descend, va et vient, elle commence à tourner ses hanches sur mon penis dans une danse tout à fait hypnotique. Et subitement, je sens trembler ses jambes, ses cuisses, ses bras. Ses gémissements sont tellement forts qu'on se croirait à l'opéra. Elle a un autre orgasme mais n'arrête pas pour autant ses mouvements de reins. Trop c'est trop, je ne peux plus me retenir et lui fait savoir . Elle se lève, rapidement se met une nouvelle fois à quatre pattes et prend à pleine bouche mon penis tout en n'arrêtant pas totalement de trembler.
«Aaaaah aaah aaaaah ah aah...»
J'ai tout envoyé et elle a tout reçu, sans en perdre une goutte! Elle s'est allongée par terre, se caressant le clito en me regardant affalé sur la chaise.
Essoufflé, je la regarde à mon tour et lui dis :
« Je ne me lasserais jamais de visite chez le psy ...
_Tu as intérêt à n'avoir personne d'autre que moi comme psy...» me répond-t-elle tout en s'essuyant le coin de la bouche de sa main libre. Elle reprend en me demandant:
«Tu me racontes ce fameux rêve finalement?
_Il vient de se réaliser !
_Ah ouais!!!
_Si, si.
_Tu en dis quoi, si on allait réaliser encore une fois ce rêve mais cette fois dans le jardin ?
_...

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