Lorsque finalement, je sors de la chambre et que je prends mon téléphone, je suis mort de trouille. Que peut-elle avoir de si grave?
Et au final quand je l'appelle, ceci en depit de sa désapprobation et fini par la joindre. Elle me raconte enfin que chez elle, ce n'est pas la joie et que c'est trop compliqué pour qu'elle puisse m'expliquer par téléphone et qu'il fallait qu'on attende que tout ça se tasse avant qu'on puisse enfin se voir et aussi se parler. Que vais-je faire, pourrai-je supporter ? Pourrai-je vivre ça? Le pire, elle a raccroché tout de suite après...
Gaelle, me voyant un peu bizarre me demande si tout va bien. Je ne sais pas quoi lui répondre d'une part je veux commencer à lui faire confiance par rapport à ce qu'elle m'avait dit hier. Bof, je décide de tout lui dire. Je vais pas en mourir quand même! Elle prend l'une des chaises de la table et s'assied en face de moi, et moi la tête baissée, je peine à tout lui dire. Remarquant celà, elle glisse sa main sur mon visage et arrivant a mon menton, elle me lève la tête et dit:
"Tu peux tout me dire, sans avoir peur. Fais moi confiance!... On peut pas entretenir cette relation, sans.
J'hesite beaucoup avant d'enfin tout lâcher et au final, tout fini par sortir.
Après avoir vidé mon sac, je fais un effort surhumain dans le but de contenir mes larmes. Je ne me vois vraiment pas pleurer devant Gaëlle, je me sentirai encore plus comme elle me décrit, déjà qu'elle ait pitié de ma sériosité, qu'en dire de ma faiblesse...
"Je commente ou pas ?
_Si tu veux.
_Pas maintenant, tu as plus besoin qu'on te remonte le moral qu'autre chose, tu as besoin de te changer les idées.
_Non, t'inquiète! Parlons en.
_Tu as peur pas vrai?
_De quoi ?
_Que tout s'arrête!?
_J'ai pas peur de ca, déjà que c'est en parti ma faute, j'ai plutôt peur qu'elle en souffre.
_Je pnse pas. Je pense plutôt que tu te crois tellement brisé par ce que tu viens d'apprendre que tu penses n'avoir plus rien à offrir en ce sens, que tu te pense incapable de la rendre heureuse, du genre un bonheur capable de couvrir tout ce qu'elle endure et aura a endurer à cause de ca.
_Bonh, ouais, c'est peut-être ça. En y repensant, j'ai un peu peur.
_Tu sais ce que j'ai remarqué?
_Non!
_La ferme! Hier, avant de partir lorsque tu me racontais ton passé et tout. Quand une personne devient trop proche de toi ca part en vrille. Tu te dis que si tu arrêtes tout que se sera pour une bonne cause, tu te mets meme dans une position d'être insensible pour arriver à tes fins, de t'éloigner de cette personne. Au final, dès que tu te te rends compte que quelqu'un tient à toi ou que tu tiens trop à cette personne tu fuis, tu te rétractes, tu t'eloignes.Tu te conforte à l'idée que tu fais ça pour protéger la personne, tu te dis "elle sait pas dans quoi elle s'embarque avec moi, elle va souffrir, mieux vaut partir avnt qu'il soit trop tard."
_Faut croire qu'il a trop de fois été trop tard! ...
_Hey, tu fais chier, putain! Ce ne sont que des excuses derrières lesquelles tu caches. Tu as peur de te donner totalement à la mauvaise persnne, tu pnses même avoir oublié comment aimé, comment montrer tes émotions, tes sentimnts.
_Qu'est ce tu racontes!
_J'étais sûr que tu voudrais pas avouer, ca servira à rien si tu continue comme ça.
_Bon, benh ok et alors! Je sais en avoir grandement envie mais au final est ce que ca en vaut vraiment la peine! Avec cette même personne que j'aurais envie de m'ouvrir, cette même envie est toujours passagère... Donc, si c'est passagère, ca en vaut pas la peine.
_Si ca en vaut la peine, tu peux pas tout supporter seul. Autre chose, le fait que tu penses que tu fais involontairement tomber amoureux les filles luttent contre une autre partie de toi qui veut s'accaparer tous les torts, franchement tu es compliqué.
_On se fait un petit déjeuner?
_Tu termines jamais une conversation importante! Cette fois, se sera différent.
_Hanhan.
_Je veux et je vais t'aider ...
_N...
_Tu n'as pas ton mot à dire, tu m'écoute en te la fermant, sagement. Il faut que tu commences à vraiment assumer ton insensibilité
_Hein!
_Tu as tout à fait compris.
_En temps normal, tu devrais pas me dire de changer et tout ça?
_Combien de personnes t'ont dit de faire ça ?
_Toutes les personnes qui me connaissent!
_Et tu as changé?
_Heu, non.
_Donc ? Arrête de les ecouter et commence par m'écouter!
_Pourquoi je ferai ca, laisser les personnes qui étaient présentes dans mon malheur juste pour toi, qui vient à peine de rentrer dans ma vie.
_Pour la simple et bonne raison que tu es toujours dans ton malheur.
_... Elles n'en sont pas la cause.
_Certes, mais elle ne t'aide pas aussi bien que ça non plus.
_Ces personnes là, au moins essaient.
_Moi, j'essaie pas, je fais.
_...
_Laisse gérer.
_Comment?
_Commence par avoir confiance en moi et à m'ecouter.
_D'accord.
_Voilà qui est mieux. Mais avant tout j'ai faim, ce n'est pas toi qui parlait de petit déjeuner? Tu veux quoi? Des oeufs ou pâtes?
_Va pour des oeufs. Je vais d'abord prendre une douche.
_Je t'attends.
Je marche jusqu'à la chambre et commence a me déshabiller. Je prends ma serviette puis ensuite rentre dans la salle de bain. Je me regarde dans le miroir et je pousse un grand soupire:"Gio que fais tu là? Est-ce cette vie dont tu t'imaginais avoir au début? Comment es-tu arrivé là ?...
Je rentre finalement sous la douche, ouvre la vanne. Les yeux fermés, la tête baissée, la main droite toujours sur le poignet de la vanne. Les gouttes d'eau atterrissent sur mon corps sec tels la pluie sur un sol aride. Je passe plusieurs minutes immobile, dans la lune. Avant qu'une main, se glissant de mon épaule jusqu'à mon torse me fasse sursauter. Gaëlle me rejoint avec rien d'autre qu'une culotte.
"Tu es tendu, toi.
_Gaëlle, que fais tu là?
_Ça ne se voit pas? Je prends un bain.
_Je suis dans la douche, je te signale.
_Je ne suis pas aveugle, je te signale."
Sa main explore pratiquement toutes les parties de mon corps pendant qu'elle me parle. Je peux sentir son visage et ses gros seins collés à mon dos, ( faut vraiment qu'elle grandisse ) mais le plus important, sa main me caressant le pénis jusqu'à ce que je sois en érection.
"Laisse moi commencer par te prouver que je fais plus qu'essayer de te faire aller mieux."
Elle passe devant moi, m'embrasse passionnément sans me laisser le temps de réaction. Une main passer autour de mon cou l'autre s'occupant de la branlette, de mon côté, les deux mains tenant ses hanches. Je détache ma main droite et la glisse en direction de sa culotte et elle, elle retire sa main de ma nuque afin d'empêcher ma main de l'atteindre et en plus de ça, elle pousse en arrière ses fesses.
"Du calme, laisse moi faire."
Sur ces mots, elle ferme le robinet, recommence à me branler avec des mouvements de va-et-viens plutôt différent de ceux de base avant de s'accroupir. Elle est face à mon pénis et continue ses mouvements, je ne peux rien faire qu'en profiter. Faut dire que les pensées qui me hantaient quelques minutes plus tôt ont complètement disparues. Elle se décide enfin à le mettre dans sa bouche, et se donne a corps perdu à une fellation en profondeur qui me donne enfin un sourire. Au bout de quelques secondes, je relâche toute la pression, je me laisse aller, quelle remède contre la tension!
Je garde toujours ce sourire, machiavélique puisque je suis sur le point d'éjaculer. Elle me prend la main et la pose dans ses cheveux et je continue le geste en les tenant comme si ma vie en dépend et en l'aidant à aller beaucoup plus en profondeur. Allant beaucoup plus vite, je contrôle plus rien, je ne peux exprimer mon bonheur qu'en me mordillant les levres et aussi par un sourire simultané. Je glisse ma main de ses cheveux jusqu'à son front puis je pousse sa tête en arrière avant de tout laisser sortir sur son visage. Les yeux fermés, la bouche entre ouverte, je peux voir la satisfaction sur son visage. Bon, je ne suis pas totalement sûr de voir que la satisfaction 😂mais quand même...
Elle se lève puis ouvre le robinet pour ensuite se rincer le visage. Fini, elle se tourne vers:
"Je m'occuperai de tout, crois moi !"
Je suis à la fois surpris, content, confus, une personne qui veut vous combler comme une mère (pou sa ladann tou!) bref je vais pas non plus m'en plaindre... Elle sort de la douche, nue, sans prendre de serviette. De la porte étant, elle crie:
"Comment veux-tu tes oeufs?
_Bien cuites."
Je ne sais pas quelle attitude adopter en entrant dans la cuisine quelques minutes ensuite. Je fais donc comme si de rien était et m'assied, elle dépose sur la table, l'assiette d'oeufs que je goûte sans tarder...parfait!
"Tu aimes?
_Délicieux !
_Ça fait plaisir ! Tu veux du jus ou du lait ?
_...Du lait, s'il te plaît.
_Je t'apporte ça."
À peine avoir apporter le lait, qu'elle dépose sur la table, elle recule un peu ma chaise, passe une jambe et s'assied sur mes cuisses, face a moi. Alors, je lui demande:
"Tu veux que je te mange aussi ?
_Non, bien que celà dit, c'est très tentant. Tu iras à l'école lundi?
_Comme tous les élèves!
_Benh, pas ce lundi faut croire.
_Ca fera de moi, un mauvais élève, je pense pas que t'accepterais en tant que mère!
_Je suis pas ta mère, arrête de te méprendre sur ce que j'ai dit. Tu seras mon élève et je doute fort que tu puisses être mauvais aux cours à venir...
_Donc, tu veux que je fasse l'école buissonnière pour venir à quelques mètres de chez moi.
_Je t'attends lundi..." dit-elle en m'embrassant pour m'empêcher de répondre.
Ce lundi là, je me lève normalement, me prépare pour l'école pareille à tous les autres jours mais à la seule exception, après avoir fait le grand calin pour les deux femmes de ma vie ma mère et ma soeur. Je descends les marches et j'arrive face à sa porte. Je me demande si je dois vraiment le faire ou non. Et si on fait l'appel? Et si on convoque ma mère? Je me retourne pour finir de descendre et subitement la porte s'ouvre et une voix dit:
"Rentre vite, je t'attendais!
_Je... oui, oui je viens!"
Je rentre vite et il fait sombre. D'après ce qu'elle m'a dit, elle ne veut pas allumer la lumière pour éviter tout risque qu'a ma maman de me voir à l'intérieur, même qu'on parle tout bas par précaution... Elle récupère mon sac et la jette dans un coin:"On aura pas besoin de ca. Et de ça aussi." Dit-elle en enlevant le maillot de l'uniforme... c'est parti pr une journée de cours très, non mais très particulier.
Tout ça n'est que le début: l'école buissonnière n'est rien du tout, j'ai même un des mes trois uniformes accrochés à son placard. Il m'arrive des fois, de laisser chez moi afin de venir chez elle au milieu de la nuit...
Les jours passent et passent. Caroline et moi ne parlons que rarement suites à ses problèmes et comme m'a dit un jour Rivee-Jess , la distance est un trop grand poison. On parle peu, les conversations sont monotone, des fois inanimées. Tout ça, c'est juste invivable, tellement qu'un jeudi soir, vers 11h, je sors par la deuxième porte et descend la trouver. Je frappe une première, une deuxième, une troisième fois mais aucune réponse, elle est sûrement endormi. Je frappe encore plus fort une dernière fois et quelques secondes après, la lumière s'allume et elle ouvre. Elle porte une culotte et un gros maillot:
"Hey! Tout va bien?
_Ca va pas trop, je peux rentrer?
_Bien-sûr, viens!"
Je rentre et atterri sur le canapé, elle ferme la porte et vient s'accroupir près de moi.
"Tu veux en parler, mon cherie.
_Je sais pas trop!
_Attends moi, je vais te chercher un verre." ...
"Tiens, prends ton temps.
_...C'est Caroline.
_Qu'est ce que je te dis toujours depuis quelques temps? Assume ton insensibilité, tu peux pas venir ici tous les soirs et te plaindre de l'absence de quelqu'un. Cette personne est là, ok. Elle n'est pas là, ok. C'est ça la vie.
_Mais...
_Shut, tu as la réponse en main, fini ton verre et tu verras.
_Cette fois, ce ne sera pas suffisant!
_Ferme la! Fini ton verre"
Je fais un cul sec, et tout de suite après elle rempli le verre.
"Demain, j'ai école." Lui dis-je. Et elle répond :
"Ca ne va rien te faire.
_Vu que j'ai un uniforme ici donc je dormirai."
Moi qui pensait dormir, mais non, nous passons la nuit à parler de nos envies, de nos fantasmes et de nos exploits sexuels. Je suis surpris face à son expérience, je me sens comme un nouveau né. Elle avait fait des choses qu'avant je n'aurais pas imaginé, elle est un vétéran du sexe. L'heure passe vite comme si j'étais en salle d'examen, il est déjà 5h12, je m'empresse de me baigner et d'enfiler mon uniforme. Je monte silencieusement à la maison afin de me préparer un petit-déjeuner et saluer manmi. Finalement, je redescend la trouver pour lui dire que je suis prêt à partir et je trouve un verre entre ses main, pour la route m'a-t-elle dit. Cul sec encore une fois, le cinquieme en tout, j'appelle le chauffeur qui me dit de lui donner 5 minutes. Durant ces 5 minutes, 3 cul sec s'ajoutent aux 5 premiers.
Enfin là, je m'apprête à descendre avant qu'elle ne me fasse une proposition qui pourrait me faire faire l'école buissonnière encore une fois :"Tu es sûre de ne pas vouloir une fellation avant de partir?
_Non, je serai en retard, si je reste.
_Tant mieux, je sais que tu sais ce que tu rates." Dit-elle, appuyé contre la porte, le doigt au coin de sa bouche.
Je rejoins le chauffeur en bas et monte sur la moto. Durant le trajet, je me sens bizarre, j'ai du mal a garder les yeux ouverts, à garder mon équilibre sur la moto, c'est l'alcool. Je ne vais pas me mentir, c'est exactement ça. Je dépose le bras sur son dos et m'appuie dessus. Peut-être arriver je me sentirai mieux.
À l'école, je prends beaucoup sur moi afin de faire semblant que tout va bien et heureusement je tombe sur EdwinWritter qui comprend tout de suite ce qui se passe:
"Yo, ou pa poukòw non jodia.
_Pourquoi tu dis ça ?
_Je sais que tu as bu, que c'est il passé?
_La voisine...
_Dis plus rien, ne parle à personne, arrivé en classe, tu te couches, je vais m'assurer de dire que tu es malade même si on t'appelle, ne te lève pas."
Tout ce passe bien, mais à peine rentré de la deuxième récréation que j'ai une subite envie de suivre le cours de maths. Je crie des réponses hasardeuses, lève la main à tout bout de champs. Edwin ne pouvant plus me supporter appelle Luigy, lui fait un signe pour me désigner et un autre caractérisé par le fait qu'il tournoie l'index près de son oreille. Voyant celà, il change tout de suite de place.
"Que pouvons nous faire?" Dit Luigy.
Edwin répond je sais!
"Vu qu'on peut pas le faire sortir sans qu'il ne le demande, je vais lui demander son téléphone, écrire sa voisine étant donné qu'on ne peut pas écrire sa maman."
Finalement, il prend mon téléphone et écrit Gaëlle.
Bonjour, Gaëlle. C'est Edwin, un ami de Giovanni. Vous l'avez mis dans un sal état et il commence à devenir incontrôlable, ce n'est qu'une question de temps avant que tout le monde ne s'en rende compte. S'il vous plait, venez le chercher, de grâce...
-Bonjour, Edwin. Je suis à quelques pâtés de maison de son école. Je prend ma voiture et j'arrive.
-Faites vite. Dîtes que vous êtes un parent et qu'il a un examen à faire chez l'ophtalmo.
-Je suis en chemin..."Adrien Giovanni, prenez votre sac, on est venu vous cherchez."Dit le senseur, en me cherchant. Sur le moment, je ne sais pas trop quoi faire, ni quoi dire. Je vois Edwin me mettre mon sac sur le dos et m'accompagner jusqu'à la porte. Pour eteindre tous soupçons, il pretexte que mes yeux me font mal, qu'il m'accompagne par pure précaution. Enfin dans les bras de Gaëlle, nous marchons rapidement et arriver à la voiture, elle me tend un cup de café que je descend en un clin d'oeil. Je me suis endormi durant tout le trajet tellement un mal de tête me fais des misères et quand nous arrivons à la maison, je ne fais rien d'autre que de m'assoupir sur son lit.
Je me réveille, il est 1h. Faut croire que je n'ai pas passé beaucoup de temps à l'école. Et voilà Gaëlle qui rentre:
"Sale journée!
_Faut croire.
_Je suis désolé, tu sais.
_Ouais, tu es peut être de mauvaise influence." Dis-je en éclatant de rire et elle me répond:
"Je sais que tu m'aimes comme ça.
_Pas faux.
_Avec toi, je ne suis jamais seul et ensemble nous ne sommes pas deux.
_Je m'en doutais un peu.😂
_Je veux que tu restes avec moi aujourd'hui.
_Je suis là non ?
_Je veux te montrer des choses que tu ignores encore.
_...
_Me fais tu assez confiance pour te laisser amarrer?Acceptes-tu de me laisser les reines de ton corps pour quelques instants et de m'obéir ?
...
VOUS LISEZ
Pervertis
Teen FictionDe nos jours etre puceau/pucelle est un fardeau. Beaucoup de jeunes veulent s'en débarrasser par tous les moyens !