Chapitre 3

50 4 18
                                    

J'avais super mal, le lapin était couvert de poussière, de sang, et semblait immangeable. Ombre se tortillait, gigotais par terre, les plusieurs loups qui le tenait par terre avait du mal à l'immobiliser. Je déposa la lapin par terre, et m'approcha d'ombre, Ténèbre restait à l'arrière, il semblait surpris de voirs son chasseur se comporter telle une bête assoiffés de sang. Je me tenait devant lui, il grognait, jappait, criait toujours, ses yeux était fixer sur les miennes, ses griffes toujours sorties, son pelage ébouriffée. Il rigola, il rigola si fort que son rire résonna dans tous le camps, il me regarda de nouveau et disa d'une voix tellement forte, que j'en ai eu un haut au cœur.
-Rubis, je te chercherais, je te trouverais, je te tuerais, ton pelage servira de couverture, ta viande sera mon dîne, et ton âme sera abandonnée. Il rigola de nouveau, Ténèbre s'approcha si près du jeune chasseur que leur museau se touchèrent.
-Ose toucher un poil de Rubis, je te tuerais de mes propres griffes, et tu seras jeter au oubliettes.
Les oubliettes, était un trou si profond qu'aucun loups n'était sortit, cela fesait peur au louveteaux qui n'écoutait pas, on les menaçait de les jeter dans les oubliettes et de les laisser la. Quand le propre chef parlais de ce trou, c'était un avertissement, Ombre ne semblait pas avoir peur de ce trou sans fond, il continuais à grogner. Ténèbre le griffa sur le museau, et ordonna à ses chasseur qui le tenait par terre de le chasser. Ombre courut en direction de la forêt, son rire résonna de plus belle. Ténèbre cria plus fort que son rire diabolique.
-Ombre ! Si tu reviens ! Nous te ferons la peau !
-fais attention à tes arrières Ténèbre, je ne partirais pas pour toujours cria Ombre qui semblait déjà assez loins.
Le calme revenait à nouveau au camps, la moitié des loups semblait subjugué par le comportement d'ombre et ne semblait pas comprendre. Ténèbre, lui, alla de nouveau dans sa tanière, tête et queue basse, il traînait des pattes. Je resta au milieu du camps, mes griffures me firent grincer des dents, mais je ne voulais pas pour autant reste la au centre. Je pris alors sur moi elle et me dirigea vers ma mère où elle m'attendais avec impatiente. Un loups roux, m'arrêta, il me regarda de toute part.
-Bonjour, je me nomme Klaro, je suis le commandant de ténèbres, il m'a donner l'ordre de savoir si tu allais bien.
-oui J-je..
Il n'attendais pas de réponse de ma part, il renifla chaque griffures que j'avais sur mon pelage, je sentais sa respiration, j'en rougissais d'avance. Il hocha la tête, et il dit d'une voix incroyablement douce.
-C'est bon, rien à signaler.
Elle est magnifique
Les pensées de Klaro me toucherent au pleins cœur. J'allais vers ma mère, Klaro lui alla directement vers la tanière de son chef afin de faire son rapport. J'entendis les pensées de Ténèbres qui visiblement semblait en pleine réflexion.
Je dois protèger Rubis, Klaro devra rester près d'elle, si il est pas disponible je viendrais avec elle. Elle court un très grand danger, et la savoir seule, me met en stresse total, à partir de demains, je vais choisir 4 loups pour tuer Ombre.
Les paroles de Ténèbres me réconfortais, je m'endormis près de ma mère qui me lécha le pelage avec douceur et enleva tous le sang qui continuait à couler.

Un pouvoir pour Une Louve Où les histoires vivent. Découvrez maintenant