Chapitre 12

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- Bulma : Oh mon dieu, c'est magnifique !

- Végéta : Heureux que ça te plaise. Cette colline est très importante pour moi. J'ai eu mon premier ami ici.

- Bulma : Vraiment ?

Il acquiesça et répondît d'une voix calme.

- Végéta : Je n'avais pas beaucoup d'amis en grandissant. J'étais maigre, plus petit que les autres, et j'aimais lire bien plus que jouer avec les autres. Mais même avec toutes ces histoires pour me tenir compagnie, je me sentais seul. Je suis venu ici un jour après avoir emménagé, en espérant lire un livre en toute sérénités. Le plus petit chat est venu miauler jusqu'à moi. Elle était d'un blanc pur et était la chose la plus mignonne que j'avais jamais vue. Je l'ai donc ramené chez moi, et on fut inséparable. Elle m'a inspiré à écrire ma première série.

- Bulma : Tu t'es basé sur elle pour écrire les Aventures d'un Chat, pas vrai ?

- Végéta : Oui, en effet. Elle était à mes côtés pendant des années, mais un jour elle tombée malade. On l'a emmené au vétérinaire, fait tout ce qu'on pouvait, mais.. elle a éventuellement fermé des pour entrer dans son dernier sommeil. J'étais inconsolable pendant longtemps, renfermé, seul, et en colère.

Il sourit, avec une expression douce-amère allant avec son ton étouffé.

- Végéta : Et puis Baba m'a fait le petit chat en peluche dont tu as entendu parler. Même si ça n'as pas remplacé mon amie, ça m'as rappelé les bons souvenirs que j'ai eu avec elle. Aucune quantité de temps ne pourrait me les enlever. Je garde cette peluche pour le souvenir de tout chérir, car tu ne sais jamais ce qui peut arriver. Et.. Et quand cette voiture t'a percutée, je m'en suis rappelé à nouveau.

Cette douce tristesse toucha mon cœur, et j'ai posé ma main gentiment sur son bras.

- Bulma : Je suis désolée de t'avoir fait traverser ça.

- Végéta : Ne le sois pas, ce n'étais pas de ta faute. Mais ça m'a fait réaliser que je voulais vraiment.. te dire quelque chose depuis un moment.. si j'attend plus longtemps, je n'aurai peut-être jamais la chance de le faire. Alors, j'ai pense que si je t'emmenais à l'endroit qui me donnait toujours tant d'inspiration, ça m'encouragerait peut-être à te dire ce que je voulais.

Je me suis tournée vers lui pour le regarder dans les yeux. Son expression était encore une fois gentille, ouverte et honnête. J'étais noyés d'admiration, pour son talent, sa personnalité, sa sincérité et sa gentillesse. Je ne pouvais qu'espérer qu'il me dise ce que j'espérais qu'il allait me dire.

- Végéta : Je sais que je suis souvent occupé, et que je peux disparaître d'as mon bureau pendant des jours. Mais je chéris chaque minute depuis que Tu est entrée dans ma vie. Le thé que tu laisse devant la porte, les fois où tu te rappelles des histoires. Tu es tout ce à quoi un personnage fascinant que j'ai toujours écrit doit ressembler. Sauf que tu es réel. Et tu me fais sentir réel. Alors s'il te plaît, ne m'enlève jamais ce sentiment, Bulma. Je t'aime.

Mes sentiments m'inondèrent dans un déluge exaltant. C'était dur de croire que cet homme incroyablement intelligent et talentueux puisse m'aimer.. Une scientifique qui ne pouvait même pas décrocher un emploi. Mon propre père n'avait même pas voulu rester à mes côtés. Pourtant il était là, me regardant avec tant d'amour et de gentillesse. Essayant de rassembler mes idées, j'ai sorti mon téléphone et si tapé un numéro.
Végéta attendit patiemment, même s'il avait l'air déconcerté.

*Conversation téléphonique*

- Bruker : Allô ?

- Bulma : Bonjour, c'est Bulma, j'ai reçu une offre dans votre bureau à Tokyo.

- Bruker : Oh oui, je m'en souviens !

- Bulma : Je vous remercie tellement pour cette opportunité, mais je vais devoir décliner. J'ai eu ma fin heureuse, et je ne souhaite pas la changer.

- Bruker : Euh.. je pense comprendre. Je garderais votre dossier pour un emploi local.

- Bulma merci beaucoup. Passez une bonne journée.

**

J'ai raccroché et au rangé mon téléphone.
Le coeur montant en flèche, j'ai levé la tête pour donner une réponse à mon auteur très patient, mais je fus interrompu par de douces et chaudes lèvres pressées contre les miennes.

- Végéta : Heureux jusqu'à la fin des temps, hein ? Ça me semble être beaucoup de responsabilités.

- Bulma : Je suis absolument positive que tout ira bien.

Il rit, un rire doux et gentil, puis il pressa ses lèvres contre les miennes. Et soudain, tout le dur labeur, les longues heures, la frustration, tout en valait la peine. L'action était enfin finie, et je pouvais en profiter, mon épilogue avec l'homme que j'aimais.

                                     ~Fin~

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« MAMAAAAAAAANNN C'EST FINIIIIIII »

Voilà pour ce dernier chapitre mes loutres au chocolat. Il est un peut court désolé..
En tout cas j'espère que cette histoire vous auras plus ! Laissez-moi des avis comme d'habitude.

Dites-moi qu'est-ce que vous souhaiterais  comme prochaine histoire, ou les personnages qui vous intéresse plus particulièrement, je suis ouverte à tout, et je voudrais écrire des histoires qui n'attendent que vous alors n'ayez pas peur ! LÂCHEZ LES COMMENTAIRES MES OTAKU !!! ❤️😏😋

Je vous kiff ! A plus mes chatons ! ❤️❤️❤️❤️😸

Ps : Je posterais dans 2-3 semaines l'histoire sur « Eren Jäger et Levi Ackerman » (personnage repris de l'attaque des titans)

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