Max, un adolescent de 17 ans se retrouve, lui et ses amis, dans une expérience soi-disant inoubliable. Mais tout ne vas pas se passer comme prévue. Un seul mot d'ordre: se méfier de tout le monde!
Il y avait beaucoup trop de prénoms alors ils décidèrent d'aller boire un verre au bar de la salle commune. Ils s'installèrent dans un canapé rond autour d'une table rien qu'à eux. Ils parlaient entre eux quand soudain, un son retentit. C'était le téléphone de Marine. Gênée, elle ne su que dire et Coline sortit :
- « Ah tient, je croyais qu'il n'avait plus de batterie. Bai pourquoi tu es toute pâle ? Tu te sens bizarre ? Tu ne nous mentirais pas, tu serais peut-être pas comme ça !
Romane regardait Marine d'un air déçu car elle voyait qu'elle ne se défendait pas donc qu'elle avait mentit à tout le monde. Les gars tentèrent alors d'en savoir un peu plus. Mais Marine s'éclipsa et alla retrouver Lola dans son bureau sans être vu par ses amis.
- « Lola !!! Ils m'ont grillé, mon téléphone a sonné pendant qu'on était au bar alors que je leur avais dit qu'il n'avait plus de batterie !
- On a un sérieux problème alors ! Ne t'inquiète pas toute façon demain on vous envois dans le Labyrinthe. Alors ils ne se souviendront plus des deux derniers jours qu'ils auront passé. A part toi, je te passerais une oreillette qui sera très discrète pour qu'on puisse se parler pendant que vous serez là-bas. Par contre, à force de fouiner comme ça un peu partout, c'est vrai qu'ils veulent tout savoir, j'ai bien peur que ça tourne mal pour vous, même pour tout le monde...
- Dans quoi je me suis embarqué... Tu es au courant quand même que nos parents ne sont pas au courant de ce qu'on fait là... Ils ont accepté parce vous les aviez baratinés, et moi je suis en train de foutre mon amitié en l'air pour vous servir ? Mais c'est une blague ? En plus, vous ne m'aviez pas laissé le choix. Vos menaces, je ne pouvais que les prendre en compte...
Lola ne l'écoutait pas et lui passa l'oreillette.
- Marine, j'ai vraiment envie qu'on s'entende bien toutes les deux. Reste dormir là et demain matin tu rejoindras les ascenseurs après les autres. N'oublie pas, toi tu dois allez à l'ascenseur 73. Pour ne pas que tu oublies quoi que ce soit.
- Oui, je m'en souviendrais. Merci... Essayons de bien s'entendre alors.
Pendant ce temps, les cinq autres adolescents déçus par le comportement de Marine, retournèrent dans leur « suite » un peu inquiet de ne pas avoir vu Marine.
- « Elle sait où on est de toute façon alors elle reviendra sûrement. » dit Max.
Ils passèrent la journée sereinement, sans qu'il ne se passe quelque chose de particulier. La nuit arriva. Alors qu'ils dormaient tous paisiblement encore une fois, une alarme resonna et fit réveiller les jeunes. Ils se réveillèrent tous en sursaut et sortirent de leur chambre. Entendant des audacieux se déplacer dans les couloirs, ils firent de même et se dirigèrent vers le centre. Une voix s'imposa :
- « Les personnes qui suivront ce message devront impérativement se présenter devant les ascenseurs qui correspondront à leur numéro. Six personnes seront appelées ! : Le groupe de Jules : ascenseur 33 ; Coline : ascenseur 14 ; Max : ascenseur : 63 ; Théo : ascenseur 28 ; Romane : 54 et Marine : 73. Merci. »
- « C'est quoi ce bordel ?
- Je ne sais pas Théo ! J'ai peur !
- Non, ne t'inquiète pas je suis là. On se retrouve après !!! Tout le monde écoutez-moi, si on se retrouve séparez, on fait tout pour se retrouver okai ?
- T'inquiète Théo, on ne sera pas séparé ! » dit Marine en revenant les voir.
- « Mais tu étais où ?
- Je vous expliquerais Max ! Mais là faut y aller !
Marine pris exprès l'ascenseur 63 et convaincu Max que son ascenseur était le 73, celui qui ne supprime pas la mémoire. Anxieux, ils entrèrent tous dans leurs ascenseurs respectifs. Les portes se fermèrent et la lumière se coupa dans chacun des ascenseurs. Un gaz fut dégagé dans tous les ascenseurs afin de faire oublier les deux derniers jours vécus par les adolescents, sauf pour Max. Ils montèrent à une vitesse affolante, insupportable pour les six adolescents qui furent un malaise en plein milieu du trajet. Et puis les ascenseurs s'arrêtèrent ! Une sorte de portail s'ouvra, et la lumière du jour réveilla tout le monde. Ils étaient arrivés au bloc n°1 du labyrinthe.
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