Max, un adolescent de 17 ans se retrouve, lui et ses amis, dans une expérience soi-disant inoubliable. Mais tout ne vas pas se passer comme prévue. Un seul mot d'ordre: se méfier de tout le monde!
Jules prit l'enveloppe et vit marqué : « Pour Jules ». Il rentra dans la maison, monta dans sa chambre et l'ouvrit. C'était une lettre qui était écrite à l'ordinateur en gros caractères. Il se mit à la lire.
"Bonjour Jules, concernant l'appel de cette après-midi, je tenais à te le dire, rien qu'à toi : tout va changer à partir de demain. Je compte sur toi pour ne rien dire à personne. Je veux juste une chose. Tu réunis tes amis demain à la table à 14h. Et le reste arrivera après. Tu comprendras très vite et tes amis aussi. Sur ce, je te dis à demain. Soyez ponctuels, sinon vous le regretterez. "
Ce mot était signé par John. Bouche bé, Jules resta muet et immobile pendant longtemps. Il repassait les images de la journée en boucle dans sa tête pour tenter de comprendre mais en vain. Il était perdu, il ne savait plus quoi faire, il ne pouvait en parler à personne. Perdu, il décida d'aller se coucher.
Le lendemain, après avoir très peu dormis, Jules envoya un message à ses cinq amis : « Salut à tous, rendez-vous à 14h à la table. Soyez à l'heure, j'ai quelque chose d'important à vous dire à tous. » Ils répondirent tous qu'ils seraient présents à l'heure et lui demandaient tous si c'était grave. Jules ne répondait pas. A 14h, tout le monde était à la table. Ils se demandaient tous ce que Jules avait de si important à leur dire. Il commença par ces mots :
- « Bon déjà je tenais à vous dire que...
- Attend deux minutes Jules. Moi aussi j'ai quelque chose d'important à vous dire. On doit tout se dire ici de toute façon. Romane vient là, s'il te plaît. » interrompu Théo.
Les deux adolescents se prirent la main et montrèrent leur amour aux yeux de tous. Les quatre autres en chœur :
- « Pooppopppooooooooo !! Waaahhouu !
- Je le savais que ça allait finir comme ça » continua Coline.
- « Félicitation à vous deux ! » dit Max.
Les autres dirent la même chose. Mais ils ne perdirent pas en tête ce que Jules avait à leur dire.
- « Bon, Jules, qu'est-ce que tu voulais nous dire ?
- Marine, Romane, Coline, Théo, Max, hier on a passé une très étrange journée. Après vous avoir vu, je suis donc aller à mon rendez- vous et à mon retour...
Jules fut interrompu par les vibrations de son téléphone. Il le sortit. Il avait un message d'un numéro inconnu. Ce message était signé John. Il disait : « Jules, dis-leur tout ! ». Jules reprit :
- « Excusez-moi, donc à mon retour j'ai trouvé une enveloppe sur le palier de ma maison. Je l'ai ouvert une fois dans ma chambre. John m'avait écrit. Je l'ai emmené je vais vous la lire : Bonjour Jules, concernant l'appel de cette après-midi, je tenais à te le dire, rien qu'à toi : tout va changer à partir de demain. Je compte sur toi pour ne rien dire à personne. Je veux juste une chose. Tu réunis tes amis demain à la table à 14h. Et le reste arrivera après. Tu comprendras très vite et tes amis aussi. Sur ce, je te dis à demain. Soyez ponctuel, sinon vous le regretterez ! signé John. »
De là ils se regardèrent tous.
- « Qu'est ce qui va nous arriver ? Je sens que c'est mauvais signe là. » s'inquiéta Marine.
- « Ce John n'est pas si neutre qu'il en avait l'air. Je ne le sens pas là.
- Ah mais Max de toute façon qui le sens ici ? Personne... Bon Jules je pense qu'on peut tous comprendre ici pourquoi tu ne nous l'as pas dit dès hier soir, ne t'inquiète pas. » finit Théo.
- « On comprend tous tout à fait ! » conclu Romane.
- « Euh ouais okai ça c'est normal ne t'inquiètes pas Jules. Mais regardez là-bas ! Je ne pense pas que ce soit très normal ça par contre. » s'étonna Coline.
Un fourgon noir blindé arrivait en face d'eux. Il se gara et six inconnus cagoulés et habillés en noir sortirent du véhicule.
- « C'est quoi ce bordel ?? Il se passe quoi là ? » cria Max en regardant les autres. « Jules ?
- Mais attend je ne comprends rien là !
- Il n'y a rien d'autre marqué sur la lettre ?
- Non, je ... » finit Jules.
- « Je crois que là, à partir de maintenant faut courir ! Mais on reste ensemble, ALLEZ VENEZ !! » dit Romane.
Théo pris la main de Romane et les jeunes tentèrent d'échapper aux six autres inconnus, mais ces derniers réussirent à les rattraper. Ils ne réussirent pas non plus à se débattre pour repartir. Ils étaient alors emmenés jusqu'au fourgon, ils montèrent. Une fois monté, les inconnus ne parlaient pas. Mais les six amis paniquaient. Dans le fourgon, il faisait noir, ils ne voyaient rien. Tout à coup, une fille enleva sa cagoule et chuchota dans l'oreille de Max :
- « Je vous promet que si vous faites tout ce que l'on vous dit, on ne vous fera rien, vous avez ma parole ! Fais passer à tes amis. Ne faites pas n'importe quoi sinon vous le regretterez... Au faite je m'appelle Lola.
- Pourquoi vous nous faites ça ? Tu crois vraiment que je vais te faire confiance là ?
- Je veux juste vous prévenir et vous aider, en aucun cas je veux votre mal. Bon fais passer à tes potes.
Max parla alors avec ses amis, il leur expliqua ce que la fille lui avait dit. Max leur fait comprendre qu'il va falloir se méfier d'eux et qu'ils verront par la suite.
- « Pour l'instant, on reste ensemble, en aucune excuse on se sépare, compris ? » faisait comprendre Jules à tous les autres.
Une énorme anxiété était présente dans ce fourgon, ils ne savaient pas où ils allaient et ils s'inquiétaient pour leurs parents car c'est seulement une fois entré dans le fourgon qu'ils se sont rendu compte que tous les portables étaient restés posés sur la table. Le trajet paraissait très long aux yeux des six adolescents.
Soudain, le véhicule s'arrêta, les six inconnus ligotèrent les mains des six adolescents et ils mirent un sac opaque sur chaque tête. Ils descendaient chacun leur tour du fourgon accompagné d'un inconnu et le conducteur sortit. Il commença à leur parler et les adolescents le reconnurent. C'était John.
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