Bon anniversaire

Chapitre 5: grande révélation

Kayth - Alors que je passais une mâtiné normal , que je faisais mes petites expériences , que je ne dérangeais personnes ... Il a fallut que la police m'appelle ... Quelle plaie ...

Au moment ou je vois au loin l'ancienne école totalement en ruine , je sens en moi un doute se créer

Kayth- j'espère qu'ils ne m'appel pas pour ça ...Surtout qu'ils ont parlés du fait que Aka et laury sont là-bas ...Je me disais aussi que cette adresse m'étais familière...

Je me gare et sors de la voiture avec une boule au ventre , car si mes enfants sont dans un endroit complètement détruit et ...En compagnie de la police...Qu'est ce qu'il leurs est arrivés ...?

Policier - Bonjour , vous êtes Kayth Clainer ?

Kayth - oui c'est moi ... pourquoi vous m'avez appelés...?

Policier - comme vous pouvez le voir , l'ancienne école s'est subitement effondrée, et ... vos enfants ont été pris dans l'effondrement...

Sur le coup , j'ai comme un arrêt cardiaque. Je ne sais pas quoi dire, quoi penser, mais la première chose qui me viens en tête à ce moments c'est...

Kayth - où sont-ils ?

Policier - dans l'ambulance là-bas , votre fille n'a rien , cependant vôtre fils lui ...

Je me retourne vers l'ambulance sans écouter la fin de sa phrase et me dirige rapidement vers celle-ci. Laury n'a rien, même si elle doit être choqué elle n'a rien, mais Aka lui... j'espère que ce n'est pas grave , qu'il va vite s'en remette...

Quand j'ouvre la double porte de l'ambulance, je vois avant tout Aka , branché , inconscient , assisté par deux ambulancier qui essaient d'appliquer les premiers soins au différent hématomes présent sur tout son torse, ses bras, et même son crâne...
Juste à côté de lui , je vois Laury fixant son frère en train de se faire soigner, le regard vide... elle n'as pas l'aire blesser... du moins physiquement... Mais le regard qu'elle porte vers Aka , est remplie d'incompréhension , de peur et de reconnaissance. Elle n'a pas l'air de m'avoir remarqué, elle est trop concentrée sur son frère. Je m'assois à côté d'elle et quand elle le remarque, se tourne vers moi.

Laury - p-papa ? Qu'est ce que tu fais la...?

Kayth - on m'as appelé comme quoi il vous était arrivés quelque chose... tu n'as rien...?

Elle me fait un non de la tête et répond

Laury - non... mais beaucoup de débris sont tombés sur lui en essayant de me protéger...

Kayth - mais qu'est ce que vous faisiez la...?

Laury - r-rien. Je ne sais pas si je peux lui parler du fait que lui et moi on ai cette magie... surtout que c'est à cause de moi si il est dans cet état la

Elle baissa la tête juste après avoir finit sa phrase.

*

Je me réveil difficilement. J'ai mal à la tête, au torse, au dos, aux jambes, partout. Je me redresse malgré la douleur et je vois ma Soeur qui dors les bras croisées et la tête plongé dans ceux-ci au bord de mon lit. Je regarde un peu partout dans la pièce, et je vois dans l'ombre un masse normal immobile que je ne reconnais pas tout de suite, mais qui s'avère être mon père...qui dors, ça ne m'étonne même pas de lui. Je lâche un petit rire et me crispe tout d'un coup à cause de la douleur présente partout sur mon corps.

Aka - note A sois même. Ne pas rire avant d'être rétabli.

Le fait que je sois crispé d'un coup réveil mon père. Même si il dort beaucoup, celui-ci a le sommeil léger.

Kayth - comment tu te sens...?

Aka - ç-ç-ça va... j'ai juste un peu mal partout mais sinon rien de grave. Du moins je crois...

Kayth - apparement tu n'as que des hématomes... mais ce n'est pas ça qui m'intrigue...

Aka - quoi alors...?

Kayth - comment tu as pus sauver ta Soeur , de plusieurs plaques de métal en créant un trou parfait autour d'elle, sans pour autant te sauver toi même...?

Aka - j-je ... c'est à dire que... est ce que je devrais lui dire la vérité...

Kayth - Aka... j'attends...

Aka - l-laury et moi on... a découvert quelque chose quand on a eu nos 17 ans...

Kayth -...continu...

Aka -c-c'est ..... Une sorte de .....

Il y eu un grand silence. Je n'ose pas parler. De peur qu'il pense que l'on soit rentrés dans son laboratoire. Mais son regard est, comme à chaque fois qu'il nous grondes où nous parles sérieusement, si insistant, que je ne peux pas lui cacher plus longtemps. Je fais alors volé le vase se trouvant juste à côté de moi et le repose juste après.

Son regard, à présent, est remplie d'incompréhension et de je ne sais quoi, une émotion que je ne serais pas expliquer, mais, d'un côté il a l'air comme... heureux.