Avant toutes choses merci beaucoup à Sunshines pour la couverture, le dessin de Kayth et le prochain dessin qui va suivre ^^ Bonne lecture ^^
Je voyais enfin la clef de la réussite, j'y étais presque. Si Aka s'était laissé faire, j'aurais pu analyser Laury. J'aurais eu la réponse à toutes mes questions, mais il a fallu qu'il gâche tout !
J'en ai encore mal à la mâchoire et des frissons dans le dos. Il avait l'air d'un véritable démon... Mais bon, comme ils voudront. Si je ne peux pas disséquer Laury, alors je me défoulerais sur elle pendant la nuit. J'empêcherais même Aka de manger le matin et je lui ferais faire des exercices physiques tellement intense qu'il en tombera de fatigue, peut-être même s'évanouir. Comme ça il n'opposera aucune résistance et il ne pourra pas défendre Laury.
Une pierre, deux coups.
Mais bon, pour l'instant on n'est pas là pour ça. La connaissant, elle ne dort pas. Elle et ses problèmes qui m'en auront apportés que d'autre. Son asthme, ses insomnies, tout ça m'as fait perdre beaucoup trop de temps de travail, mais maintenant, je peux enfin me venger, nous venger...
Seiza ....
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si Laury n'était pas venu au monde, tu serais encore en vie, tout se serais bien passé. On aurait pu éduquer Aka ensemble... mais il a fallu que cette ... garce viennent au monde et t'emmène au royaume des morts... tandis qu'elle prenait ta place dans ce monde. Mais ne t'en fais pas ... je vais te venger de tout ça, je suis juste devant sa porte, je n'ai qu'à l'ouvrir et tout commencera, je l'emmènerais dans la partie insonorisé du labo, là où personne ne peut l'entendre crier, pleurer, implorer, être puni, recenser tous les pécher qu'elle a accumulé, demander la vie tandis que moi me serais libéré, soulagé, apaisé ... tout ça ne fais que commencer...
J'entre, je la vois, inspiré l'incompréhension et l'effroi, elle ne comprend pas, tant mieux pour moi.
Je lui dis de me suivre, ce qu'elle fait sans soupçons, juste de la peur et de l'appréhension de tout ce que je pourrais lui faire dans quelque secondes.
On descend dans le salon, on descend dans le labo, mais pour elle, on descend au enfer tandis que moi je monte aux cieux.
Kayth – entre la dedans et attends-moi...
Je la rejoins quelque secondes après. Un fouet électrique à la main, prêt à me venger. Je l'attache avant tout au mur avec une simple corde et un crochet que j'ai passé la journée à installer pour être sûr qu'il tienne.
Kayth – et maintenant... tu vas payer ...
Laury – p-pourqu-
Je la frappe avant même quel ne termine sa phrases, elle crie de toute ses forces de douleurs... c'est... tellement soulageant. Je me sens un peu plus léger à chaque coup de fouet que je lui inflige. Je n'aurais jamais pensé que la frapper, la faire saigner serais si... agréable.
A chaque coup, je vois, en plus, une entaille sur son ventre, une marque de vengeance, un soulagement.
Laury – a-arrête ça s'il te plait ... ça fais trop mal ...
Je continue, sans l'écouter, je prends tellement de plaisir et de soulagement à faire ça que je ne veux pas arrêter.
Laury – arrête ç-ç-ç-ça ... s-s-s'il te plait
Kayth – LA FERME SALE GARCE !!
Je lui mets un coup plus violent que tous les autres, une énorme entaille apparait sur son ventre, elle cris de toutes ses force, à s'en casser la voix.
Je continue de la frapper tout la nuit, au bout d'un moment elle s'évanouie, ça m'importe peu, j'ai continué de la frapper quand même, je frappe plusieurs fois au même endroit pour lui laisser des marques, des cicatrices prononcer, pour qu'elle se souvienne de ne plus jamais me résister, qu'elle est impuissante contre moi si son frère n'est pas là, qu'elle n'est rien, rien de plus qu'une garce... quand je me sens enfin libéré, je m'assoie quelque instant, et je regarde mon œuvre. Une véritable prouesse artistique, je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi beau, je vais l'appeler.
« Vengeance sur une garce »
Après ça, je me lève, lui mets un bandage pour éviter que son frère ne vois les marques et recommence à me frapper au visage, je la porte et la remonte dans sa chambre en la jetant sur le lit, comme un objet dont on veut plus, comme d'un jouet avec lequel on a trop joué.
Je me sens enfin, vengé, léger, et soulagé. Je nous ai vengé, Seiza ...
