Première journée difficile (partie 2)

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    Après, une matinée passé à écouter ma chère prof principale, nous raconter des anciens potins ou nous expliquer en détaille le règlement du collège. Je me dirige vers le self.

    Sur le chemin je croise Anthony qui me vient à ma rencontre. Il me dit : "Vien je vais te montrais ou est le self.

   - Ok, je te suis", répondis-je.

   Nous nous dirigeâmes ensemble vers le self.

    Une fois dedans, je pris mon plateau et me dirigeas vers une table éloigné du bruit et de la foule. Anthony me suivit. Je m'y installa avec lui. Je commença à manger mon entrer. Quand soudain, je vis Louann et ses copine qui s'approché de notre table. Elle me dit : "Alors la pétase t'a trouvé quelqu'un avec qui bouffé tu la payer pour manger avec toi ?"

    Ces copine ou des filles trop maquiller et trop cruche pour ce rendre compte de la gravité de la situation ricanaient bêtement derrière elle. Je ne répondis pas a cette provocation. Je me contenta de regarder tristement mon assiette. Mais, Anthony, lui me défendis : "Tu l'as laisse tranquille t'as pas a t'en prendre a elle, ni a personne d'autre sous le prétexte que tu es soit disant supérieur a eux.

    - Oh, c'est trop chou, Anthony Dubois ce prend pour le prince charmant de mademoiselle... je sais plus comment, roucoula telle."

  Cette phrase fut la goutte d'eau qui fit débordé le vase ou comme disait une copine de mon ancienne collège la goutte de shampoing qui fait débordé la baignoire. Je l'attaqua en bégaillant : "Je... je... ne... ne... suis p... pas... une...

   - Oh, mademoiselle je ne sais pus comment et aussi mademoiselle je bégaye, railla t'elle Ou encore mademoiselle je n'arrive pas a aligné trois mots...

  Toute ces copines sont mortes de rire. Et a leur tour m'invente des surnoms ridicule

  - Mademoiselle, muette.

  - Mademoiselle, en retard.

  - Mademoiselle, trop conne pour parler.

 - Mademoiselle, cheveux gras.

  - Mademoiselle, plouc.

  - Mademoiselle, moche.

  - Mademoiselle, ridicule.

   Elle invente des surnoms pour m'insulter pendants encore deux minutes. Au bout de ces deux minutes, voyant que ce amies n'avait plus d'imagination, Louann dit : "Bon, c'est pas tout on doit aussi manger, vous nous faites de la place."

   Louann et ses copines s'installèrent.

    Là, je sentis que je m'énervait vraiment Anthony le vis et me murmura doucement a l'oreille : "Ne t'énerve, c'est ce qu'elles veulent alors soit plus maligne qu'elle surtout ne t'énerve reste calme."

   Sa voix si apaisante me fait l'effet d'un tranquillisant ; c'est dingue maintenant je suis super calme. Mais Louann comme tout le temps profite de la situation et déclarât : "Vous connaissait l'expression y a pas de messe basse sans curée. Vous comprenez c'est un peu ça."

    Elle marque une posse pour que ces copine ricane et enchaina : "Mais qu'est ce qu'on rigole avec vous, c'est hilarant."

  Louann et ces copines passèrent le repas avec nous en continuant a se moquer de nous; enfin surtout à ce moquer de moi.

    Après le repas, j'avais une visite rapide du collège. Elle ne dura que 10 minutes grâce aux prof qui l'animait car il était pressé de rentrer chez lui. Je rentra donc moi aussi chez moi. 

    En arrivant chez moi, je vis mon père qui me raconta une de ses blagues sans fin :" Alors, Emma j'ai mon collègue Jean-Louis-Philippe qui est trop drôle, je t'assure qu'il trop marrant comme par exemple la blague qu'il m'a fait ce midi. Attend, je te la dit ça faisait un truc du style..."

   Je ne l'écoutait avec lui ces toujours le même problème, il parle, il parle mais il nous écoute pas. Comment vous voulez raconter vos malheur a un père comme ça. Je repense a cette journée qui était plein d'émotion entre mon beau Anthony, Louann et ses copines.

    En repensent a cette journée, je pers dans mes pensées et n'écoute plus mon père qui me demande : " Emma, tu veux manger quoi ? ... Hé Ho... Emma...

  - Hein, quoi, déclarais-je, qu'est ce que tu disais ?

  - Ça fait cinq minute que je t'appelle, tu es sûr que tu vas bien, s'inquiéta t'il ?

  - Oui, oui, ça va, lui répondis-je sur ton proche de l'insolence.

  - Tu veux manger quoi, me demanda t'il.

   - Des pizzas, proposais-je.

  - Non, tu sais bien qu'on ne peux pas en manger. Ton petit frère préféré que tu aimes du fond du cœur n'aime pas ça."

  Je quitta la pièce indigné du manque d'égalité dans cette famille et décida d'aller me coucher sans manger. Je me dit tant qu'a avoir une journée pourris autant qu'elle soit pourri a fond, comme ça demain ma journée ne seras que meilleur. Je m'endormis dans profond someil sans rêve.

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