Une fin de semaine tumultueuse

81 15 0
                                    

    Aujourd'hui, je me réveilla plus libre, plus joyeuse qu'hier en espérant échapper à ce malheur continuelle. Je me sens de plus en plus dépressive, mais heureusement qu'Anthony m'aide à tenir le choque car sans lui cela serrais vraiment très difficile. Il est tellement beau. Il faut pourtant que j'arrête de perdre mes moyens à chaque fois que je le vois.

    Pour une fois, je pars en bus de la maison, j'arrive pile a l'heure de la sonnerie. Ça présage peut être quelque chose. Bon ou mauvais, je ne sais pas.

    En première heure, j'ai cour de latin heureusement Louann n'a pas choisi cette option. Le cour se passe très lentement car le latin c'est très ennuyant. Mais en deuxièmes heure j'ai maths tous comme Louann. Et cela ce complique car les maths et moi ça fait deux et Louann profite toujours des faiblesse des plus faible qu'elle. Mais, finalement je n'ai le droit qu'a quelques regards noirs tout au long du cour.

    Puis, à la récréation, pas une moquerie ou un regard noir d'un seul élève, comme si les événements troublant de ce début de semaine n'avait pas eu lieu. Pendant le reste de la matinée, il n'eut aucune allusion a ces deux premier jour de cour. Sauf de la part d'Anthony qui me demanda si Louann m'avait encore énervée. Je lui répondit que non. Il parut surpris ce qui confirma mes soupçons.

   Cette situation dura également le jeudi. Tout le temps, je me demandais ce que Louann tramait. Ma question restait toujours sans réponse, sauf que cela n'augurait rien de bon. Et j'avais malheureusement raison.

    Le vendredi, un peu après 16 heure, il nous restait une heure de cours, je croisa Louann. Son regard me glace le sang, je me sentis toute pâle d'un seul coup. Louann me dit : " Je crois que nous avons trouvée le vampire du siècle." Elle mit un point d'honneur à ponctuée sa phrase par un gloussement, qui fût repris par sont groupes de glousseuses de service. Ce qui accentue ma blancheur.

   Mais heureusement (ou malheureusement dis-je en y repensant plus tard) pour moi la sonnerie qui annonçait le début des cours retentit. Quelques gros bras qui venaient de débarquer dans le couloir, commencèrent à bloqué les sorties. Je leur demande donc poliment de ce décaler pour que je puisse passer. Ils ne répondes pas à ma demande. Puis, Louann arrivé à mon niveau et me déclare : " Ah, Emma, je t'attendais pour te présenter mes amis les footballeurs du collège, lui c'est Éric, lui Mathieu, lui Gérard, mais j'oubliais que toi tu n'as besoin de connaître leurs noms, il faut juste qu'eux sachent où te trouver tous le temps." Je ne réponds pas. Mais, elle reprend : " Tu m'entends, car il serait fort dommage que tu sois punis parce que tu ne m'as pas écouter. As-tu quelques choses à dire pour ta défense.

   - Je vais te faire payer pour ce que tu as fait, répondis-je." 

   À ce moment-là, les gros bras s'approchent et me maintenir face ma pire ennemie. En y repensant plus tard j'étais comme même fière de cette phrase car pour la première fois j'arrivais à aligner une phrase entier devant Louann. Qui me dit  : " Tu ne mérites pas de vivre". Puis, elle partis pour éviter d'être trop en retard sans me jeter un regarder. Pendant que je la regardai partir au bout du couloir, ses copains commence à me frappé de plus en plus fort.

   Une heure plus tard, Anthony arrive et ceux qui me frappait partirent en courant. Anthony me releva et me dit : "Comment ça va ?

   - Ça va, murmurais-je difficilement, en essayant de maintenir sur mes deux jambes sans tomber.

   - Tu essayes de me convaincre ou de te convaincre, me demanda-t-il ?

   - Je vais bien, répondis-je exaspérer qu'il ne me croit pas.

   - Tu veux que je fasse quelque chose ?

   - Tu vas rentrer chez toi et tu vas oublié ce qu'il c'est passé et lundi tu feras comme si il ne s'était rien passé.

   - Tu veux pas que j'en parle à quelqu'un ?

   - Non, tu n'en parle à personne vu qu'il ne sait rien passé, répliquai-je. À lundi !"

   Et je rentres chez moi en ne fessant pas attention aux contestation d'Anthony, qui cris et essaie de me rattraper.

   Je suis allé m'acheter un peu de maquillage avec ce que j'avais comme argent dans ma poche. Puis je me maquilla rapidement. A la fin de cette séance de maquillage, on voyait encore quelques bleues et hématomes mais la plupart été masqué ou diminuer. Je rentras chez moi en bus. Je ne dit rien sur ce qu'il s'était passé cette semaine. Et personne ne me posa de questions sur mes hématomes et bleus restant. Ensuite, je pris le repas avec des personnes qui été trop occupé avec leurs petits soucis pour s'occuper du vrai problème qui me préoccuper. Ce qui m'exaspèra.

    Je passa donc un weekend à chercher une solution à mon problème, en vain.

Un secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant