Le début de la fin

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     Avant de commencer à lire je tiens à vous dire que j'ai appris cette que @Petite-Reveuse avait été harcelée merci de l'aider et de la soutenir, merci d'avance.


    Je me réveilla en suffoquant dans mon lit. Il y avait un orage dehors. Je tourna la tête pour regarder l'heure. Et vis qu'il était 4 : 38. Je sais que je ne me rendors jamais après un orage car le dernier orage pendant le quel j'ai dormi est celui où ma mère est morte. Il me restait donc un plus de deux heures a tué. Je descendit dans le salon pour regarder la télé en attendant que mon frère, ma sœur et mon père se réveille. J'alluma donc la télévision et tomba sur une chaîne qui proposais un documentaire sur les împots. Comme le sujet de ce documentaire ne me plaisait pas je changeais de chaîne. Sur l'autre chaîne, il diffusait un "c'est pas sorcier."

   Pendant les deux heures, je m'amusa à apprendre plein de choses sur des sujets différents. Après, je pris mon petit déjeuner toutes seules et alla m'habiller pour ne pas être en retard.

   Sur le chemin, je croisa mon père et ma sœur. Je m'habilla et pris mon sac et partis attendre mon père dans la voiture. Il me dépausa ensuite au collège.

     Quand j'entra dans l'enceinte du collège, je vis Anthony s'approché de moi et me hurlé : " Qu'est ce que j'ai été stupide de parler à une fille comme toi. Tu es tellement conne ! Tellement moche ! Tellement débile ! Tellement bavarde ! Tellement collante ! Tellement chiante ! Tu es juste une grosse pute qui se maquille pour attirer l'attention de garçons comme moi ! Et pour détourner le regard de Louann qui elle au contraire est belle, intelligente, sympathique... Tu ne mérites même pas de vivre." À la fin de sa dernière phrase, tout le collège recommença à se moquer de moi mais en pire que la dernière fois car cette fois-ci personne ne me défendais. Je courus me cacher les toilettes pour me réfugier et faire mes besoins, malheureusement elle était toute occupé. J'étais donc obligé d'aller me cacher dans les couloirs mais tous le collège été déjà devant moi je ne pus faire que trois pas avant de me faire rouer de coup. Les coups était tellement plus fort que ce que j'ai reçu hier qu'il me déchiraire mes vêtements.

    Heureusement, aujourd'hui le collège fermait à 17h au lieu de 18h. Un peu avant 17h, je me releva. J'avais passé une très mauvaise journée, j'avais transformer des vêtements tous neufs en haillons, j'avais été rouer de coups tous au long de la journée. Je pris la direction de la voiture de mon père mais un bras me retiens. Je me retourna pour voir qui c'était et vis un garçon que je ne connaissais pas. Il s'approcha de moi et me vola un baisser. Comme il me lâcha le bras, je m'éloigne de lui et monta dans la voiture. A peine avais-je claqué la partiaire que mon père me dit ou me cria : " Emma, il faut qu'on parle" Il démarra la voiture et se gara quelques rues plus loin. Il se tourna vers moi et me dit : "Est ce que tu peux me dire ce qu'il se passe ?

   - Te dire quoi, répondit Emma.

   - Enfin, Emma me dire pourquoi tu es couverte de bleu continuellement et pourquoi tes habits qui était tous neufs se matins sont des haillons maintenant, rétorqua mon père.

  - Je sais pas.

  - Emma, tu sais très bien et je le sais.

  - Je sais pas.

  - Emma, tu sais très bien que je le trouverai de toutes façons avec ou sans ton aide.

  - Je sais pas.

  - Emma...

  - Bon d'accord, je te raconte ce qu'il se passe.

  - Ah, c'est pas trop tôt !

  - euh... il y a... des gens... qui ...me... frappent... et ...m'arrache... mes vêtements...euh... c'est tout je crois...

  - Tu me fais croire que tu es dans cette état juste parce que des gens te frappe.

  - Oui, c'est ça.

  - Sa serre à quoi que tu me racontes une histoire si c'est pour me mentir après.

  - Donc, tu me crois pas.

- Non, je ne te crois pas.

- Et pourtant, c'est la vérité.

- Tu me mens et si tu continues tu vas rentrer à pied à la maison.

- Je ne te mens pas.

- Très bien, tu prends ton sac, tu descends de cette voiture et tu rentre à pied."
  Je ne répondis pas, sortie de la voiture et attendis qu'elle s'en aille.

    Quand la voiture fût partis, je marcha dans les rues sans direction, sans but. Je marcha en pensant à mon père à la raison de sa colère contre moi. Je pensa à Anthony qui m'avait trahi aujourd'hui. Je pensais à tous ce que j'ai vécue.

   Au bout d'un moment, je me rendis compte qu'il fallait que je fasse un choix, soit rentrer à la maison et passer ma vie à me faire crier dessus et insulté ou mettre fin à se carnage et en même temps à mes jours. Je pensais le pour et le contre pendant de longues minutes mais fini par prendre une décision. Je décida de me suicider.

Un secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant