Et c'est là que je vis Louann entrain d'embrasser Anthony. Ne croyant pas à ce mirage, je me pinça et compris que ce que je vois est réalité. Je couru donc me cacher dans un recoin du collège. Tous en courant, je sens mes larmes coulés de plus en plus vite le long de mes joues. J'était tellement en colère que je ne me rendis pas compte que tous le monde me regardai et s'écartai sur mon passage, ni qu' Anthony m'appelai haut loin. À la place, je courus, je courus comme si ma vie en dépendait, je courus en ne pensant qu'à courir... Je continua aussi de pleurer, en me lamentant sur ce baiser, sur ma vie, sur mon existence... Au bout d'un moment, je perdis le fils du temps, les secondes dévernirent des heures. Je me laissa tomber dans un coin du bâtiment que je ne connaissais pas. Et puis, je vis Louann arriver avec le groupe de garçon qui me frappe. Je ne bougea pas, tétanisé par la peur, l'angoisse, la tristesse. Louann ordonna aux brutes de faire lever il exécutèrent. Une fois que je fus debout, elle me déclara : "Tu as pensé quoi du spectacle de toute à l'heure ?" Je ne répondis pas à sa provocation. Elle enchaîna donc : "Bah, alors, on a perdu sa langue." Comme je ne réponds toujours pas. Elle reprend : "En plus il embrasse très bien Anthony !" Cette phrase fût la phrase de trop je m'approcha d'elle et lui mis une gifle. À peine ma main avait-elle toucher sa joue que ces gros bras me donnèrent un coup de pied dans le milieu du ventre. Aussitôt, je m'écroula. Après ce moment-là, mes souvenirs ne sont pas très clair. Je me souviens juste qu'on m'a frappé et que je me suis réveillée au moment où le collège fermait. Je sortie du collège en direction des toilettes publiques.
Une fois arrivé à destination, je me rendis compte que j'avais oublié mon maquillage, enfin surtout mon fond de teint, chez moi. Je réfléchis aux différents choix qui se présentaient à moi. Je pouvais en voler au centre commercial du coin. Ou, je rentre chez moi comme sa. Après une mure réflexion, je choisis le second choix. Je n'ai jamais volé personne et je ne vais pas commencer aujourd'hui et surtout pas à cause de Louann.
Je franchis donc la porte de chez moi, non maquiller, c'est à dire avec des bleus partout, un œil au beurre noir et du sang qui coule de mon nez. Mon père se trouve dans la cuisine. Il jetta un regard vers la porte et me vois dans cette état. Il me cris : "Avec qui tu t'est batus ?" Comme je ne réponds pas il enchaîne : " Pourquoi tu t'est battus ?" Il continue : "Réponds ! Tu ne veux pas répondre très bien tu vas au lit sans manger !" J'exécute son ordre sans bronché. Devant ma chambre, je croise mon petit frère qui me demande se qu'il y a. Je ne lui répond pas je vais dans ma chambre. Pour le repas du soir, je finis de manger mes réservés de nourriture qui était caché au quatre coins de ma chambre.
Le lendemain, je m'habille, descend prendre mon petit déjeuner. Je commence ma tartine quand au milieu de ma bouché, j'entends mon père qui me dit : "J'ai appelé le collège. Ils m'ont dis que tu avais été aperçu dans la cour hier mais que tu n'avais été en cours de la journée. Pourquoi ?
- Parce que j'étais occupé, répondis-je.
- Tu fessais quoi, me hurla-t-il ?
- Moi, rien, lui répondis-je.
- Alors, pourquoi tu n'es pas aller en cours s'énerva-t-il ?
- J'étais occupé.
- J'espère que devant le proviseur toute à l'heure tu en diras plus sinon sa va barder." Je ne réalise pas tout de suite se qu'il me dit. Je vais revoir monsieur vélo, ça ne réjouis pas du tout. Je finis mon petit déjeuner. Mon père se gare devant le collège.
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Un secret
Fiksi RemajaEmma commence sa cinquième sauf qu'elle vient de déménagé. Elle ne connait personne dans son nouveau collège. Elle va essayer de ce faire des amis malgré leur différence. Mais ça ne fonctionne pas vraiment et se fait plutôt des ennemis. Elle fini pa...