La spirale infernale

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   Une fois descendu de la voiture je vis que le proviseur qui nous attendait devant le collège. Il apperçu mon père lui sera la main se présenta en lui disant de le suivre dans son bureau.

   Une fois arrivé dans son bureau, il s'assoit et nous fait signe de faire de même. Il prend la parole et dit : " Emma, sa ne va pas. On s'était déjà vu et je t'avais donné des heures de retenue que tu n'as pas fait.

   - Ah bon, tu as déjà vu le proviseur et en plus il t'a donné des heures de retenue que tu n'as pas fait, dit mon père.

  - J'avais oublié et je ne savais pas quand c'était la colle, bégaie-je. 

   - C'était hier comme tu finissais à 14h.

   - Je suis désolée, murmurais-je.

   - Il y a intérêt. Tu feras donc six heures de vélos pour donner de l'énergie pour l'électricité.

   - C'est une blague, marmonnais-je.

   - Emma, qu'est ce que tu as dis, me repris mon père ?

   - Je disais juste que je le ferai avec joie, parlais-je plus distinctement.

   - Je l'espère, me dit le proviseur. Passons au second problème, enchaîna le proviseur. Pourquoi tu sèche les cours ?"


   Je ne réponds pas à cette question car je sais que si je dit la vérité, il va m'accuser de mentir et si je ment, il ne me croira pas non plus. Il reprit : " Alors, Emma pourquoi tu sèches les cours ?
   - Alors, si tu ne réponds pas à sa question, peux-tu au moins répondre à la mienne Emma, dit mon père. Pourquoi tu as plein de bleus, un œil au beurre noir et de nombreuses coupures ?

   - Je crois que je me suis cogné contre une armoire plusieurs fois, mentis-je.

   - Je ne te crois pas, répond mon père.

  La sonnerie retentit ce qui me laissa quelques secondes de plus pour répondre à l'affirmation de mon père.

   - Je peux t'assuré que tout ce que je viens de dire n'est que la stricte vérité, rétorque-je.

    - Je suis d'accord avec vous M..., en s'adressant à mon géniteur.

   - Boulettes, compléta mon père.

   - Emma Boulettes vous nous mentez, vous séchez les cours et vous nous répondez, ça ne va pas se passer comme ça, vous allez faire six heures de vélos pour alimenter l'école en énergie pendant chaqu'une des semaines qui vont suivre jusqu'aux vacances de la toussaint, vous devez bien vous tenir, sinon je double la punition. Sur ce je vous souhaite une mauvaise journée mademoiselle."

   Je me leva donc sortie du bureau demanda à la secrétaire un mot pour excuser mon retard et partis en cours.

    Sur le chemin, je croisa une brute de Louann celui qui avait embrassé ma sœur qui me pris par le col me mis dans une salle non-utilisé. Il commença à me frappé. Je perdu de nouveau la notion du temps. Petit à petit tous le collège défilant pour me cracher à la figure se moquer de moi ou me tapé. Enfin, bien évidemment, il n'y avait que les élèves qui venaient me frappé les adultes eux ne savais pas où j'étais.

    Quand, on me laissa rentrée à la maison le collège été fermée je fus donc obligé d'escaladé le grillage ce qui ne fus pas une mince affaire. Sans le savoir en touchant le grillage, j'avais déclancher une alarme silencieuse. Un gardien me vis, s'approcha à petit pas de moi me menottas et appela les policiers.

    Cinq minutes plus tard, j'étais au poste de police. Le commissaire m'intérogea sur les faits, sur mes "amis"(qui était très nombreux) le moindre de les faits et gestes depuis mon arrivée dans cette ville. Bien évidemment, je disais que j'étais au collège ou entrain de manger au lieu de préciser qu'on était entrain de me frappé.

     Quand le soleil se leva enfin, mon père me ramène à la maison en me criant dessus. Je finis donc au lit avec comme punition que je devrais attendre mon père pour sortir du collège et interdiction de le faire attendre. Je me sors plutôt pas mal, pensais-je, jusqu'à qu'il me viennent à l'esprit que je ne contrôlé pas mes horaires de sortie du collège. Donc il va falloir que je trouve une solution pour résoudre ce problème avant demain car je ne retourne au collège que demain.

    Je passe ma journée à réfléchir ou à chercher une solution en vain. Même quand je mange cette histoire me travaille et comme tous le monde vois que je ne suis pas dans mon assiette personnes n'osent en parler. Je vais donc me coucher le ventre plein et la tête pleine de problème.

Un secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant