Les ondes vagabondent sur les rythmes insolents
De ma détresse inaudible qui résonne pourtant
Contre les murs des villes qui s'endorment soudain
Au son des berceuses regrettées quand sonne le matin
Et ton cur ne réponds plus, et l'avenir fredonne
Des refrains insensés, dans les rues papillonnent
Contre tes reins enfin, l'avenir se fait mien
L'aurore fugitive t'emporte, il ne me reste plus rien
Mais au cur de mon lit, et pendant un instant,
Je revois ton sourire, tes sublimes présents
Accroché à ton cur, mes certitudes chancellent
Accroché à ta vie, la peur redevient chienne
Nos nuits bousculés, tes paroles glacées
Me rappellent soudain mes promesses oubliées
Je ne te souris plus mais je ne t'oublie pas
Et sur mes joues coulent des larmes de joies.
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Le fruit des insomnies
PoetryIl y a bien des hommes sur cette terre, qui ne voient que simplicité et banalité autour d'eux. Je ne suis pas de ceux-là. Chaque instant, du plus pathétique au plus merveilleux mériterait d'être raconté. Car il y a toujours une chose à prendre. La n...