Les hivers méditerranéens ont dans leur essence quelque chose d'infiniment nostalgique, composé par ces lieux que l'été a sublimé si intensément et qui sont à présent comme vides de sens, de chaleur, d'humanité, plongés dans une si triste torpeur.
Après le vacarme, le silence. Après la présence, l'heure de l'absence. Le bonheur est semblable à l'été. Il est éphémère, il est cyclique. Il n'est jamais gagné du tout, mais il n'est jamais complètement perdu.
VOUS LISEZ
Le fruit des insomnies
PoesiaIl y a bien des hommes sur cette terre, qui ne voient que simplicité et banalité autour d'eux. Je ne suis pas de ceux-là. Chaque instant, du plus pathétique au plus merveilleux mériterait d'être raconté. Car il y a toujours une chose à prendre. La n...